(Minghui.org) Commémorant les dix-huit ans d'efforts pour mettre fin à la persécution du Falun Gong en Chine, les pratiquants et les sympathisants ont organisé une série d'activités à Martin Place, un centre financier et lieu des bureaux gouvernementaux à Sydney, en Australie, le 19 juillet 2017.
Les voyageurs du matin ont été impressionnés par la pratique solennelle des exercices du Falun Gong, et beaucoup ont accepté des dépliants pour en apprendre plus sur la persécution et les crimes des prélèvements forcés d'organes.
Les passagers du soir ont été touchés par la veillée aux chandelles sous le vent froid et ont signé pour soutenir les efforts visant à empêcher les prélèvements d'organes et mettre fin à la persécution.
Les pratiquants et les sympathisants du Falun Gong se sont rassemblés à Martin Place à Sydney pour commémorer les dix-huit ans d'efforts pour mettre fin à la persécution.
La veillée aux chandelles à Martin Place commémorait les pratiquants de Falun Gong qui sont morts sous la persécution.
Madame Lucy Zhao, présidente de l'Association du Falun Dafa d'Australie, a parlé au rassemblement.
Madame Lucy Zhao, docteur en philosophie, présidente de l'Association du Falun Dafa d'Australie, a parlé lors du rassemblement, disant que Jiang Zemin, dictateur et dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), a ordonné la persécution du Falun Gong il y a dix-huit ans, le 20 juillet 1999. La persécution a amené des millions de pratiquants de Falun Gong à être emprisonnés, torturés et leurs familles brisées. Et la persécution continue toujours en Chine.
Lucy Zhao a déclaré que le PCC prélève également des organes des pratiquants de Falun Gong et les vend à but lucratif.
Lucy Zhao a souligné que beaucoup de gens en Chine et dans d'autres pays ont poursuivi le dictateur dans les tribunaux chinois pour les crimes contre l'humanité et la torture et espèrent qu'il sera bientôt traduit en justice.
M. David Shoebridge, membre du Conseil législatif de la Nouvelle-Galles du Sud et du Parti vert, a écrit une lettre de soutien au rassemblement. Il a écrit : « Pendant dix-huit longues années, les pratiquants de Falun Gong ont été confrontés à une incrimination continue et brutale aux mains du gouvernement antidémocratique chinois. Ensemble, nous demandons que cette injustice se termine. »
Le révérend Bill Crews, fondateur de la Fondation Exodus et ministre de l'Église Unie, est également l'un des cent « National Living Treasures » du National Trust, membre de l'Ordre de l'Australie et lauréat du Prix des droits de l'homme de la Nouvelle-Galles du Sud.
M. Crews a déclaré : « Je suis ici, car je ne peux pas ne pas être là. Je crois beaucoup à la liberté de l'individu. Le Falun Gong n'est pas une menace. C'est une religion de paix. »
Il a déclaré que la liberté de l'homme existe parce que les gens se lèvent toujours et disent : « Ne nous dites pas quoi faire, nous voulons vivre notre vie d'une manière qui soit la meilleure pour nous. »
Le révérend Bill Crews, fondateur de la Fondation Exodus et ministre de l'Église Unie, est également l'un des cent « National Living Treasures » du National Trust.
John Hugh, porte-parole de l'Australian Values Alliance
John Hugh, porte-parole de l'Australian Values Alliance, a raconté une histoire de sa propre expérience. « Il y a plus d'une décennie, quand j'ai entendu parler de la persécution du Falun Gong, je me souviens que j'ai discuté de ce problème avec mon ami à l'église. Il a dit : ''Ne vous inquiétez pas pour eux, ils ne sont pas chrétiens, cela ne nous regarde pas du tout.'' Puis, nous avons vu des chrétiens clandestins en Chine aussi être persécutés. »
Il a dit qu'il était là depuis plusieurs années, témoignant de la façon dont les gens du Falun Gong, ses amis, se défendent contre les forces perverses et sont fermes dans leur croyance.
« Cela fait dix-huit ans. Il est clair que le gouvernement communiste en Chine n'a pas réussi. Le groupe du Falun Gong se développe… surtout à l'étranger. »
Pour finir, il a déclaré : « Je vous salue et je verrai un jour que le Falun Gong sera pratiqué en Chine librement. Et j'espère que ce jour viendra plus tôt que plus tard. »
Le professeur agrégé Paul Macneill de l'Université de Sydney
Paul Macneill, professeur agrégé à l'Université de Sydney, a déclaré : « Le gouvernement chinois n'a donné aucune preuve pour contester l'affirmation d'après laquelle les pratiquants de Falun Gong et d'autres personnes sont tuées pour fournir des organes pour la transplantation. »
Il est également membre du Comité australien End Organ Pillaging (EOP) Australian Advocacy and Initiatives Committee (AAIC), et professeur honoraire, Centre de valeurs, d'éthique et de droit en médecine, Faculté de Médecine de Sydney, Université de Sydney.
« Ils gardent cela secret car il n'y a aucun moyen d'expliquer d'où proviennent les organes. Ils le gardent secret parce que la source est indescriptible : les propres citoyens de Chine sont exécutés pour leurs organes. »
M. Macneill a poursuivi : « Si vous êtes comme moi, une fois que nous en ayons pris connaissance, on ne peut pas ne pas protester. »
L'avocat des droits de l'homme Bob Vinnicombe, rédacteur en chef de China Information, a déclaré que les médias occidentaux ont ignoré la persécution du Falun Gong pour deux raisons. Premièrement, les protestations du Falun Gong sont pacifiques et non violentes. Deuxièmement, le Parti communiste chinois a soudoyé les partis politiques et les gouvernements avec des dons politiques et des accords commerciaux pour se taire au sujet de la persécution.
Peter Rosengren, rédacteur en chef de l'Hebdomadaire catholique, a déclaré que le gouvernement communiste chinois vivait déjà dans la peur. Ils arrêtent des hommes, des femmes et des enfants innocents pour le crime de croire en le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance par crainte du pouvoir de ce en quoi qu'ils croient.
Keith Spencer, avocat et membre de End Organ Pillaging (EOP), a déclaré : « Lorsque j'ai commencé à enquêter, plus j'étais qualifié et franchement honteux, ce n'était que la persécution d'un groupe minoritaire, c'était scandaleux et honteux que la communauté occidentale le permette de continuer sans le condamner. » « Je vous exhorte à en savoir plus à ce sujet, voir ce qui se passe en ce moment. C'est un crime contre l'humanité. Il est temps d'y mettre fin. »
Susie Hughes, vice-présidente de End Organ Pillaging (EOP) et directrice de Advocacy & Global Initiatives, a encouragé les passants à accepter un dépliant, pour découvrir la persécution qui dure depuis dix-huit ans et se rendre sur le site Internet pour voir toute la documentation et les preuves qui sont là.
Le pratiquant de Falun Gong Eric Jia, représentant ceux qui ont été persécutés, a parlé lors du rassemblement.
Eric Jia a déclaré : « Mon père est une personne très gentille. » Son père a été arrêté et emprisonné à plusieurs reprises, totalisant dix ans d'emprisonnement et un an de travaux forcés.
Il n'a pas vu son père depuis qu'il avait trois ans, à cause de la persécution. « J'avais autrefois une famille aimante. Mon père n'a rien fait de mal à part exercé sa liberté de croyance. »
« Je rêve au jour où mon père pourra être libéré et que nous pourrons être ensemble à nouveau. »
Traduit de l'anglais au Canada