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Genève : Attirer l'attention sur les prélèvements forcés d'organes en Chine lors du Congrès International sur le don d'organes

26 septembre 2017 |   Écrit par un pratiquant de Falun Gong en Suisse

(Minghui.org) Les pratiquants suisses du Falun Dafa (également appelé Falun Gong) ont tenu du 6 au 9 septembre des activités de sensibilisation devant le Centre International de Conférences de Genève (CICG) où se tenait le 14e Congrès de la Société internationale pour le don d’organes et l’approvisionnement (ISODP).

Afin d'accroître la sensibilisation sur le crime des prélèvements forcés d'organes perpétré sur des pratiquants de Falun Dafa et d'autres prisonniers d'opinion en Chine, ils ont distribué des dépliants, des DVD et des brochures ; ils ont déployé des banderoles dénonçant les prélèvements forcés d'organes perpétrés par le Parti communiste chinois avec l'aval de l'État ; et lu une déclaration lors du rassemblement.

Le Falun Dafa devant le Centre de Convention international à Genève le 6 septembre 2017

La déclaration publique, qui a été lue en anglais, français et chinois, mettait en lumière les débuts et l'étendue de la persécution du Falun Gong, initiée par l'ancien dirigeant chinois Jiang Zemin en juillet 1999.

Jiang a alors donné l'ordre d'« écraser » le Falun Gong en « ruinant leurs réputations, les détruisant financièrement et les éliminant physiquement. »

De nombreux pratiquants ont été arrêtés en conséquence et ont eu leurs organes prélevés contre leur volonté, certains alors qu'ils étaient encore vivants. Puis les corps ont été incinérés pour détruire toute preuve.

Lecture de la déclaration devant le 14e Congrès de la Société internationale pour le don et l'obtention d'organes, à Genève

Parler aux participants à la Convention

Des médecins de France, Suède, Turquie et de nombreux autres pays ont exprimé leur soutien.

Un médecin français a encouragé les pratiquants à participer à de futures conventions comme celle-ci et a dit qu'ils faisaient une grande chose.

Un fonctionnaire des Nations Unies, chargé de faire respecter la loi internationale, a confirmé que des preuves existaient pour les prélèvements d'organes forcés. « Nous savons qu'ils sont après l'argent. Ils peuvent faire n'importe quoi pour de l'argent », a-t-il dit.

Traduit de l'anglais en Europe