(Minghui.org) La vie n’est jamais à court de miracles si l’esprit est ouvert et accepte toutes les possibilités qui sont offertes.
J’ai reçu un appel de mon beau-frère un jour en 2014. Il m’a dit que ma sœur était hospitalisée et allait être opérée.
Je suis vite allé chez elle dans une autre province avec ma sœur cadette. Nous lui avons apporté des cadeaux très importants pour elle — des livres du Falun Dafa.
Quand nous sommes arrivés à l’hôpital, ma sœur était émaciée et très faible. Mon beau-frère, médecin, nous a éloignés de son lit et nous a dit, très pessimiste : « Quelque chose grandit dans son estomac et c’est très probablement une tumeur. »
Mon beau-frère avait deux jeunes patients dans son hôpital l’année dernière qui avaient aussi reçu un diagnostic de tumeurs de l’estomac. Les deux avaient subi une opération pour enlever la tumeur, mais aucun n’avait survécu.
J’ai suggéré qu’il demande à ma sœur d’apprendre le Falun Dafa. Il ne s’y est pas opposé, alors j’en ai parlé à ma sœur et elle a accepté.
Ce n’était pas la première fois que je lui demandais d’apprendre Dafa. À cause de la persécution et de la propagande du Parti communiste contre le Falun Dafa, ma sœur ne croyait pas aux avantages pour la santé de la pratique de Dafa même si elle avait vu des exemples réels avec moi et notre mère.
Cette fois, avec la dure réalité du cancer en face d’elle, elle a accepté d’essayer. Ma sœur cadette et moi lui avons passé les conférences de Maître Li et je lui ai demandé de réciter « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».
Nous lui avons raconté beaucoup d’histoires de gens qui ont récupéré de maladies incurables après avoir pratiqué Dafa. Ma sœur nous a crus cette fois et son état s’est amélioré graduellement.
Quand c’était le temps pour son opération, je lui ai dit : « Tu iras bien si tu crois vraiment en Dafa. »
Pendant l’opération, mon beau-frère était si nerveux qu’il s’est presque évanoui. Je savais que ma sœur irait bien.
Peu de jours après l’opération, une analyse pathologique de la tumeur a montré que le tissu était bénin. Ce n’était pas un cancer. Son médecin était vraiment confus parce qu’il était sûr qu’elle avait le cancer.
Après que ma sœur a quitté l’hôpital, j’ai étudié le Zhuan Falun avec elle et je lui ai appris les exercices. Nous lui avons laissé un exemplaire du Zhuan Falun, puis nous sommes rentrés chez nous.
Le Maître la sauve une deuxième fois
Au début, ma sœur a lu le livre et fait les exercices par elle-même. Sa détermination à pratiquer n’a pas duré très longtemps et elle s’est remise à faire des exercices physiques.
Mon beau-frère m’a rappelé, me demandant de venir. Il ne m’a pas dit ce qui était arrivé cette fois, mais de par sa voix, je savais que c’était urgent et important.
J’ai pris le train rapide avec ma sœur cadette cet après-midi-là. Dès que nous sommes arrivés, mon beau-frère m’a dit que ma sœur s’était bien portée, mais qu’elle avait commencé à avoir de violentes crampes d’estomac ces derniers jours. À l’hôpital, son médecin avait dit que c’était une grave pancréatite. Elle avait été mise immédiatement aux soins intensifs.
Connaissant tous les mauvais risques que cette maladie peut entraîner, mon beau-frère, un médecin militaire avec des années de pratique médicale, pleurait désespérément.
À l’hôpital, ma sœur nous a à peine reconnus. Elle était sous apport d’oxygène et son abdomen était très enflé.
J’ai pris le lecteur MP3 avec les conférences du Maître et je lui ai mis les écouteurs. « Ne t’inquiète pas », lui ai-je dit. « Écoutons les conférences du Maître. » Elle a hoché doucement la tête.
Chaque fois qu’elle était réveillée, ma sœur et moi nous nous relayions pour lui passer les conférences du Maître. Nous lui avons raconté des histoires d’autres pratiquants. Dans la soirée, j’ai fait les exercices près d’elle à l’hôpital.
Le médecin de ma sœur a dit plusieurs fois qu’il n’y avait pas grand-chose qu’il pouvait faire pour la sauver. Quelques collègues de mon beau-frère ont suggéré qu’il la transfère à un autre hôpital avec de meilleures conditions. Son assurance ne payerait pas pour cela et ils devraient payer près de 2 millions de yuans en frais médicaux même s’il n’y avait pas de garantie que ma sœur se rétablisse.
Mon beau-frère et leurs enfants ont même pensé à vendre leur maison pour payer les frais médicaux. Je savais que le transfert d’hôpital ne pourrait pas résoudre le problème fondamental. J’ai dit à mon beau-frère qu’étant donné l’état de ma sœur, ce serait dangereux de la transférer. La connaissant, je pensais qu’elle n’accepterait probablement pas qu’ils vendent leur maison pour l’aider à soigner sa maladie.
Mon beau-frère était d’accord avec moi et a abandonné l’idée de transférer ma sœur dans un autre hôpital.
Les jours suivants, l’état de ma sœur a empiré. Le fluide s’accumulait dans son abdomen. Sa pression systolique et diastolique devenaient presque pareilles. Elle avait une forte fièvre. Son médecin lui a ajouté une autre machine respiratoire, car l’approvisionnement en oxygène d’origine était insuffisant.
Après s’être réveillée, elle nous a dit qu’elle avait senti trois fois son âme quitter son corps, mais chaque fois, une force l’avait ramenée.
Le médecin et les infirmières entraient et sortaient souvent de sa chambre. Finalement, ils ont publié un bulletin de crise.
J’ai dit à ma sœur : « N’aie pas peur. Ayons foi dans le Maître. Il t’aidera. »
J’ai continué à lui passer les conférences du Maître et elle a récité « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».
Son état a fait tout à coup un revirement miraculeux ; même le médecin était surpris de voir la vitesse à laquelle elle s’est rétablie. Après être restée aux soins intensifs durant environ vingt jours, elle a été transférée dans un service général.
Une infirmière nous a dit qu’elle n’avait jamais vu quelqu’un se remettre d’une pancréatite si rapidement. Quelques jours plus tard, ma sœur a quitté l’hôpital. Ma sœur et mon beau-frère ont été tous deux témoins du pouvoir de Dafa.
Après deux expériences de mort imminente, ma sœur était pleine de gratitude envers Dafa et le Maître pour lui avoir sauvé la vie. Elle a finalement décidé de pratiquer Dafa. « Maintenant je comprends vraiment », a-t-elle dit.
Traduit de l’anglais en Suisse