(Minghui.org) J'enseignais les technologies de l'information à l'école secondaire, mais je travaille maintenant comme garde scolaire. C'est un travail modeste, mais tout le monde pense que j'ai le meilleur travail de l'école. C'est parce que je ne travaille que le samedi et le dimanche, tout en gagnant le même salaire et avec les mêmes avantages que lorsque j'étais enseignant.
Mon changement d'emploi s'est produit parce que j'ai sans cesse clarifié la vérité aux enseignants et aux élèves de l'école et à ceux qui travaillent dans différents départements du ministère de l'Éducation et parce que j'ai déposé une plainte contre Jiang Zemin.
Clarifier la vérité à l'administration de l'école
J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa au cours de l'été 2013. En tant que disciple de Dafa de la période de la rectification de Fa, j'ai clarifié la vérité à ma famille et à mes amis, ainsi qu'à des étrangers dans la rue.
Peu à peu, j'ai commencé à parler du Falun Dafa à mes collègues et je les ai persuadés de faire les trois retraits sans aucune interférence du directeur. Cependant, les choses ont changé à l'arrivée d'un nouveau directeur et lorsque j'ai déposé une plainte contre Jiang Zemin en utilisant mon vrai nom.
En juin 2015, j'ai envoyé la plainte et j'ai reçu une réponse. Le mois suivant, la secrétaire de l'école et une personne du ministère de l'Éducation m'ont rendu visite afin de vérifier si j'avais effectivement déposé une plainte.
Au début de la nouvelle année scolaire, cinq personnes - le directeur, une secrétaire et trois directeurs adjoints - ont formé une équipe pour me faire changer d'idée et me faire annuler ma plainte. J'ai profité de cette occasion pour leur parler de Dafa.
Ils n'ont pas réussi à me forcer à abandonner la pratique du Falun Dafa ou à signer une déclaration : le 1er octobre, le nouveau directeur a menacé de m'empêcher d'enseigner.
Ma première pensée a été de lui dire : « Je continuerai à pratiquer même si vous ne me permettez pas d'enseigner. » Puis j'ai réalisé qu'il s'agissait de marcher sur le chemin tracé par les forces anciennes. Je devais marcher sur le chemin aménagé par le Maître, alors j'ai dit au principal : « Vous me persécutez. Vous n'avez pas le droit de changer mon travail à cause de ma croyance. »
Plus tard, j'ai appris que la direction de l'école avait déjà décidé quoi faire de moi, mais ne l'avait pas fait. C'est exactement ce que le Maître a dit dans le Zhuan Falun :
« Nous disons que le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. »
Clarifier la vérité au ministère de l'Éducation
Au printemps de l'année suivante, les autorités supérieures ont ordonné mon transfert dans une école rurale. Leur but déclaré était de m'empêcher d'enseigner aux élèves comment percer le pare-feu et trouver des sites Internet à l'étranger. Cependant, je savais que c'était une excuse, car je n'avais jamais enseigné cela aux élèves et cela ne pouvait pas se faire à cause du contrôle strict des ordinateurs et des adresses IP de l'école.
Le Maître a dit :
« Clarifier la vérité, sauver les êtres, voilà ce que tu dois faire, en dehors de tout cela il n’y a rien que tu doives faire, il n’y a rien que tu doives faire dans ce monde. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2015 »)
J'ai décidé d'expliquer la vérité aux fonctionnaires du ministère de l'Éducation et j'ai commencé par l'agent du comité du Parti qui est venu avec le secrétaire de l'Éducation pour vérifier la plainte que j'avais déposée.
Il y a eu un changement au niveau du trajet de l'autobus le jour où je me suis rendu de l'école rurale au ministère de l'Éducation. Un collègue a essayé de me dissuader d'y aller ; il craignait que je perde tous les avantages et privilèges que je pouvais avoir à l'école. Cependant, j'avais l'impression que les forces anciennes essayaient de m'entraver et j'étais déterminé à y aller.
Quand je suis arrivé, le directeur m'attendait et il n'y avait personne d'autre dans le bureau. Je lui ai demandé la raison de mon transfert, et il m'a répondu que c'était confidentiel.
Il a eu un sourire de connivence lorsque j'ai mentionné que le Parti communiste chinois est une organisation malhonnête, mais il a dit qu'il n'avait pas le choix. J'avais d'abord pensé que le résultat de la conversation ne serait peut-être pas bon, mais ça s'est très bien passé.
C'était exactement comme ce que le Maître a dit :
« En fait pour beaucoup de choses, si vous le dites ou en parlez avec un cœur paisible et une respiration harmonieuse, vous les traitez raisonnablement, vous allez découvrir que votre sagesse coule comme une source, en plus chaque phrase est pertinente, chaque propos est vérité. » (« Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain », Enseignement dans les conférences III)
Après avoir quitté son bureau, j'ai découvert que la signalétique à l'extérieur de chaque bureau contenait tous les noms et coordonnées des agents. Je les ai tous notés afin que d'autres pratiquants et moi-même puissions leur envoyer des documents de clarification de la vérité.
Clarifier la vérité à mes collègues de travail de l'école rurale
Dans le passé, j'avais essayé de clarifier la vérité à mes collègues sur une base individuelle afin que la direction de l'école ne soit pas au courant, et aussi pour protéger les enseignants. Mais à l'école rurale, j'ai clarifié la vérité plus ouvertement et j'ai seulement persuadé les enseignants de faire les trois retraits sur une base individuelle.
Il y avait un gardien de sécurité à l'école que j'ai aidé à faire les trois retraits, et je lui ai dit de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Après cela, il a commencé à me saluer avec « Falun Dafa est bon », et je répondais avec « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».
En moins d'une semaine, il m'a dit que les quatre doigts de sa main précédemment blessée pouvaient bouger à nouveau. Je lui ai dit de continuer à réciter les mots. Quand j'ai eu la chance de le revoir après avoir été transféré à l'école principale, il m'a dit que tous ses doigts pouvaient maintenant bouger librement.
C'est tout simplement comme le Maître l'a dit :
« Zhen Shan Ren – trois mots sacrés avec les pouvoirs illimités du Fa
Prononcer sincèrement « Falun Dafa est bon » – tous les désastres se transforment immédiatement » (« L'origine de tous les Fa », Hong Yin IV)
Clarifier la vérité au Bureau 610
J'ai eu le sentiment que le directeur était très aimable, car il m'a dit de ne pas faire d'aller-retour en raison de la longue distance entre l'école rurale et le ministère. J'ai pensé que je devais simplement bien faire mon travail, puisque je lui avais déjà clarifié la vérité et que je lui avais également envoyé les documents de clarification de la vérité.
Peu de temps après, cependant, il a dit à la secrétaire de l'école qu'il me cherchait. J'ai émis la pensée droite en chemin et je suis arrivé pour voir un document de « démérite » qui attendait ma signature. C'est parce que je pratiquais le Falun Gong et que j'avais porté plainte contre Jiang Zemin. Toutefois, selon la Constitution, un citoyen a le droit de déposer une plainte.
Au départ, je ne voulais pas le signer, mais le directeur m'a dit qu'il ne serait pas en mesure de terminer son travail si je refusais. Je ne voulais pas lui compliquer les choses et je lui ai dit : « Je vais signer que je ne suis pas d'accord avec cela et la raison de mon désaccord. Si je ne peux pas faire ainsi, je ne signerai pas. »
Il a accepté à contrecœur.
J'ai écrit que je n'étais pas d'accord avec le contenu parce que le Falun Dafa est un Fa juste et que tous les Chinois devraient déposer une plainte contre Jiang Zemin parce qu'il a apporté la catastrophe au pays et au peuple.
Initialement, le directeur a dit que le document ferait partie du dossier officiel. Cependant, il n'a pas été rendu public lors de la réunion des enseignants, et il n'a pas non plus été affiché sur le tableau d'affichage. Je savais qu'ils ne pouvaient pas l'enregistrer, car j'avais écrit sur le Falun Dafa dans le document.
Je sentais que c'était le Bureau 610 qui voulait punir ceux qui avaient déposé une plainte.
Le Maître a dit :
« En général, là où il y a un problème, c’est là que les disciples de Dafa doivent aller clarifier les faits avec persévérance et sans relâche. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi à New York 2007 »)
J'ai décidé de clarifier la vérité au directeur du Bureau 610 le 1er mai 2016. En clarifiant la vérité au directeur, j'ai réalisé qu'il avait subi un grave lavage de cerveau de la part du Parti. Heureusement, il avait lu les documents de clarification de la vérité qui lui avaient été envoyés précédemment et leur contenu l'avait choqué.
Quand je lui ai parlé de l'imposture de l'auto-immolation, il m'a dit : « Vous avez dit que Wang Jingdong avait mal placé ses mains. Peut-être que ça a changé après qu'il ait été brûlé. »
J'ai dit : « La position de ses jambes était complètement erronée aussi. Le feu ne pouvait pas les atteindre. »
Après notre discussion, il m'a raccompagné poliment à la porte.
Je m'étais demandé avant si je devais clarifier la vérité auprès de la direction du ministère de l'Éducation et du Bureau du 610, mais, lorsque je l'ai fait, ce fut un résultat inattendu, mais formidable. Lorsque mes collègues en ont entendu parler, ils ont exprimé leur respect pour mon courage.
Le Maître a dit :
« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Zhuan Falun)
Merci Maître, pour votre encouragement.
Clarifier la vérité aux élèves
J'ai écrit une plainte après avoir reçu la sanction de démérite et, en même temps, je me suis demandé si je devais clarifier la vérité à mes élèves.
Bien que je leur avais parlé du principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance », je n'avais pas spécifiquement mentionné le Falun Dafa. Mais quand j'ai dit à un élève qu'on recevra des bénédictions en récitant « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », les parents en ont entendu parler.
L'un des parents a appelé l'école à ce sujet et, très vite, la secrétaire de l'école principale m'a appelé pour me mettre en garde contre le fait de clarifier la vérité aux élèves.
J'avais d'abord voulu regarder à l'intérieur et faire mieux pour clarifier la vérité. Mais l'élève à qui j'en avais parlé plus tôt n'arrêtait pas de me demander de lui réapprendre les mots, car elle les avait oubliés. C'est ce que j'ai fait et les autres élèves de la classe voulaient savoir aussi. Un garçon l'a même écrit sur un bout de papier et l'a mis dans sa poche.
J'étais profondément ému et j'ai développé une pensée qui n'était pas dans le Fa : les élèves sont si innocents. C'est tellement utile que je sauterais dans un feu s'il le fallait. Plus tard, je me suis rendu compte que la pensée aurait pu donner aux forces anciennes une lacune pour me persécuter ce jour-là, la secrétaire m'a dit d'arrêter d'enseigner et de retourner à l'école principale pour attendre des instructions supplémentaires.
Clarifier la vérité aux parents
Un groupe de parents est venu à l'école et s'est plaint, mettant une pression énorme sur le directeur. Une fois les parents partis, l'administration m'a fait part de sa frustration et qu'il voulait en faire part au ministère.
Ils m'ont dit : « Comme tu n'as pas écouté et que tu as insisté pour dire la vérité aux élèves, tu ne peux pas nous en vouloir. Les parents ont peur que leurs enfants s'immolent par le feu. »
Quand j'ai entendu cela, j'ai décidé de chercher les parents pour leur clarifier la vérité.
Comme je n'avais parlé de Dafa qu'à une seule classe, j'ai demandé à l'enseignante les coordonnées des parents, mais on m'a répondu qu'elle ne les avait pas. Le directeur m'a également dit que l'école n'avait pas enregistré ces informations.
Mais sous les arrangements du Maître, j'ai rencontré par hasard un élève d'une autre année d'études et je lui ai demandé son adresse. Quand je suis arrivé au village, la première personne que j'ai rencontrée était le parent qui s'était rendu à l'école pour se plaindre.
Elle a rassemblé tous les autres parents quand elle m'a vu. Je leur ai dit : « Je suis comme tous ceux qui ne veulent que le meilleur pour leurs enfants et je veux leur apprendre à être honnêtes, gentils et tolérants. »
Ils se sont vite rendu compte que le principe du Falun Gong est bon et je leur ai assuré que croire en Dafa ne peut que leur apporter des bienfaits et n'affectera pas négativement l'avenir de leurs enfants.
Je leur ai ensuite parlé de Dafa et de l'imposture des auto-immolations. Après avoir écouté, ils se sont calmés et ont même appelé le directeur pour dire qu'ils n'avaient jamais voulu que je cesse d'enseigner.
La secrétaire m'a alors appelé pour que je retourne à l'école principale. La secrétaire m'a même dit qu'ils avaient aidé à renvoyer mes affaires de l'école rurale et qu'ils étaient prêts à me prêter une voiture pour les reprendre si le directeur ne m'en avait pas trouvé une.
C'est simplement comme le Maître l'a dit :
« Quand le disciple a une pensée droite suffisante, le Maître a le pouvoir de changer la volonté du Ciel. » (« Vingt ans d'enseignement du Fa »)
Clarifier la vérité aux autres
À l'approche des vacances scolaires de l'été 2016, on m'a dit de copier les règles sur le métier d'enseignant et sur l'éducation en attendant des instructions. Comme j'avais déjà clarifié la vérité au ministère et à l'école, je ne me sentais pas mal à l'aise et j'ai décidé d'utiliser le temps pour étudier le Fa davantage et aussi, pour faire les exercices.
La secrétaire m'a dit que je reprendrais mon poste d'enseignant si je m'engageais à cesser de dire la vérité aux élèves. J'ai rejeté cette demande.
J'ai continué à faire ce que j'étais censé faire et je suis sorti pour clarifier la vérité avec d'autres pratiquants. Je me suis même rendu au ministère et au Bureau 610 pour déposer ma plainte sur ma sanction de démérite et j'ai vu les deux directeurs.
Le directeur du bureau du comité du Parti m'a dit de ne pas continuer à les chercher et à m'attirer des ennuis. Je lui ai conseillé de m'écouter plutôt et de faire les trois retraits.
Quand le directeur du Bureau 610 a vu ma plainte, il a dit : « Vous avez reçu la peine la plus légère, mais vous vous plaignez encore ? »
J'avais entendu dire par le directeur du bureau du comité du Parti que ma punition était considérée comme la plus légère. J'ai décidé de le croire et je lui ai dit que la plainte était en fait une lettre de clarification de la vérité et je lui ai demandé de la lire.
À la fin des vacances scolaires d'été, je n'ai pas pu me présenter à l'école le premier jour, car mon neveu allait se marier. J'ai appelé le directeur pour demander un congé et on m'a dit qu'on m'avait assigné comme garde à l'entrée de l'école.
Il m'a dit que je pouvais me reposer à la maison du lundi au vendredi et travailler seulement le samedi et le dimanche. Cela m'a donné plus de temps pour faire les trois choses. Grâce à cet arrangement, je peux aussi clarifier la vérité aux enseignants, aux familles, aux parents et aux autres personnes qui viennent à l'école pour faire un peu de travail les week-ends.
Je remercie sincèrement le Maître pour son salut compatissant et l'organisation d'un si bon chemin de cultivation et pratique. Je ne peux rembourser le Maître qu'en devenant plus diligent, en étudiant le Fa, en faisant bien les trois choses, et en sauvant plus de gens.
Merci Maître, merci compagnons de cultivation.
Traduit de l'anglais au Canada