(Minghui.org) J'ai été profondément touché et ému par les paroles et les actions des gens qui ont parlé à autrui de la bonté du Falun Dafa et des crimes commis par le Parti communiste chinois (PCC) même s'ils ne pratiquent pas Dafa.
Un fermier encourage les autres à lire les Neuf commentaires
Un fermier de 65 ans disait à tout le monde que l'histoire du PCC telle que décrite dans les Neuf commentaires sur le Parti communiste est authentique et qu'ils devraient les lire. Il est un comptable à la retraite pour une brigade de production et a donné le livre à ses employés à lire pendant leur pause de déjeuner. Ils discutent de leurs compréhensions et expériences personnelles après avoir lu chaque section du livre.
Un ouvrier raconte aux gens au sujet du Dafa
J'ai rencontré un ouvrier qui a dit : « Bien que je ne pratique pas, je sais que le Falun Dafa et Maître Li sont bons. J'en parle aux autres chaque fois que je les rencontre. »
Il a également dit : « Parfois, je rencontre des gens qui ne sont pas disposés à écouter. Ils me demandent pourquoi je ne pratique pas le Falun Dafa si c'est si bon. Je leur dis que les pratiquants de Dafa ne sont pas avides et ne prennent pas les choses des autres. Ils ne veulent pas les prix de loterie que leurs enfants ont gagnés et ils préfèrent donner de l'argent pour soutenir leur lieu de travail. Ils disent qu'ils sont bien, même quand ils sont heurtés par une voiture et ils n'essaient pas d'extorquer de l'argent ou de donner des ennuis aux autres. Le PCC pourrait-il tolérer de telles bonnes personnes ? Y a-t-il des cadres dans le PCC qui ne sont pas corrompus ? Le fait que le PCC persécute le Falun Dafa prouve que le PCC est pervers ! »
Tout le monde veut lire Le but fondamental du communisme
Les ouvriers sur un chantier de construction s'asseyent et écoutent tandis que quelqu'un leur lit Le but fondamental du communisme. Parfois, ils s'impatientent et disent au lecteur de se dépêcher. Un pratiquant leur avait donné le livre après leur avoir parlé du Falun Dafa et de la persécution du PCC. Désireux de le lire, ils ont décidé de le donner à leur contremaître, qui lit maintenant plusieurs pages par jour.
Traduit de l’anglais au Canada