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Fahui de Minghui | Faire des progrès diligents après un cancer du sein

29 novembre 2018 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province de Shandong, Chine

(Minghui.org) J'ai 56 ans cette année et j'ai une famille heureuse. Mon mari a un travail convenable et mes enfants vont bien. Il y a des années, Maître [Li Hongzhi] m'a sauvée d'un cancer du sein en phase terminale et m'a menée sur la voie du retour à mon vrai soi. Aucun mot ne peut exprimer ma gratitude pour le salut du Maître.

La lumière dans les temps les plus sombres

J'ai reçu un diagnostic de cancer du sein très aigu en août 2010, et le médecin a ordonné une chirurgie immédiate. Après l'opération, il a commandé deux séries supplémentaires de chimiothérapie. Au printemps de l'année suivante, j'avais perdu tous mes cheveux et j'étais si faible que je pouvais à peine manger et j'avais du mal à dormir. La mort n'avait pas l'air si terrible à l'époque.

Une parente qui m'a rendu visite en avril 2013 m'a dit : « Seul Dafa peut te sauver maintenant. » Dès que j'ai entendu le mot « Dafa », mon cœur a sauté, comme si un courant électrique m'avait traversée. « Qu'est-ce que "Dafa" et pourquoi cela donne l'impression d'être différent de tout le reste ? » lui ai-je demandé.

La parente, qui pratiquait le Falun Gong, m'a parlé de la persécution et a récité l'un des poèmes du Maître.

« Parvenir à la plénitude parfaite, obtenir le Fruit de Bouddha,

Prendre la souffrance comme de la joie.

La peine physique ne compte pas comme souffrance,

Cultiver le cœur est le plus difficile à supporter.

Chaque obstacle doit être franchi,

Il y a des démons partout.

Cent épreuves tombent en même temps,

Voyons comment il peut vivre.

Capable d'endurer les souffrances dans ce monde,

Sortir de ce monde, être un Bouddha. » (« Faire souffrir le cœur et la volonté", Hong Yin)

J'ai retenu mon souffle, ne voulant pas rater un mot. Bien que je ne savais pas ce que cela signifiait à l'époque, je me sentais superbement bien et tellement à l'aise. J'ai ressenti un sentiment de joie que je n'avais jamais ressenti auparavant. Je l'ai suppliée de le réciter encore une fois.

Mon cœur s'est allégé et j'ai oublié tous mes soucis. J'avais un grand sourire sur le visage et je me sentais comme une nouvelle personne. Je voulais apprendre Dafa et j'avais hâte de lire le livre. Elle a accepté de m'apporter un exemplaire du Zhuan Falun. J'étais si heureuse. Comme une petite enfant, je lui ai demandé de rester avec moi quand j'essayais de manger quelque chose. À cette époque, je pouvais à peine avaler. Avec elle assise à mes côtés j'ai mangé presque un pain à la vapeur entier. Je savais que je devais apprendre Dafa parce que j'avais déjà vécu un miracle.

J'ai fini de lire le Zhuan Falun d'un seul coup et j'étais convaincue que c'était un livre divin. Rien n'allait m'empêcher de devenir pratiquante. C'était le 13 mai 2013, le jour de la Journée mondiale du Falun Dafa, le jour de ma renaissance. J'ai rejoint le groupe local d'étude du Fa et j'ai tourné une nouvelle page dans ma vie.

Mener à bien la mission de sauver les gens

En discutant avec d'autres pratiquants, j'ai réalisé que je devais sortir et parler du Falun Dafa aux gens. Après un mois d'étude intensive du Fa, je suis sortie avec deux autres pratiquants et j'ai vu comment ils clarifiaient la vérité. Le lendemain, j'ai commencé à parler aux gens du pouvoir de guérison de Dafa en partageant ma propre expérience. Je leur ai également dit que le Parti communiste chinois (PCC) calomniait cette pratique dans sa propagande. J'ai pu aider une douzaine de personnes à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées chaque jour.

Il y a un parc national derrière le village où j'habite qui attire de nombreux touristes et visiteurs locaux. D'autres pratiquants et moi-même sommes allés là-bas pour parler de Dafa et de la persécution aux touristes, et distribuer des dépliants. Nous avons même parlé aux ouvriers du bâtiment et les avons aidés à démissionner du PCC.

Un jour, un directeur du parc nous a fait partir. Le Maître dit dans Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi de l’Ouest des États-Unis au moment de la Fête de la lanterne de l’an 2003 :

« Là où surgit un problème, là on a besoin de clarifier la vérité. »

Quand nous sommes allés au bureau du village pour clarifier les faits, ils m'ont dit que la police était derrière tout cela. Pendant que j'y étais, je les ai encouragés à quitter le PCC.

En 2015, quelqu'un a posé une douzaine d'affiches du Falun Dafa sur ma porte et sur les murs extérieurs, et les a peintes en noir. Je savais que c'était quelqu'un du bureau du village. Je suis allée au bureau du village et j'ai trouvé le responsable.

Il m'a dit qu'il avait pris ce que j'avais affiché dans la rue et me l'avait rendu. Ne voulant pas qu'il m'empêche de sauver des gens, je me suis assise pour lui raconter les faits, à commencer par la façon dont je me suis remise du cancer. Nous avons parlé pendant la plus grande partie de la matinée et il a écouté attentivement. Plus tard, il m'a dit qu'il n'enlèverait plus jamais mes affiches, et lui et son collègue ont tous deux démissionné du PCC.

J'ai porté plainte contre Jiang Zemin, l'ancien dirigeant chinois qui a commencé la persécution envers le Falun Gong, et au printemps 2016, un homme est venu me prendre en photo. Quelques mois plus tard, deux policiers sont venus me parler.

J'ai admis que je pratiquais le Falun Gong quand ils me l'ont demandé, et l'un d'eux m'a suggéré d'arrêter. Je leur ai dit que d'y renoncer serait comme renoncer à ma chance de vivre. Ils voulaient ensuite contacter mon mari et lui demander où j'avais eu mes informations sur le Falun Dafa. Après avoir refusé de répondre à leurs questions, j'ai réalisé qu'ils m'enregistraient sur vidéo. Je leur ai dit d'éteindre la caméra et de ne pas violer mes droits. Ils l'ont rapidement éteinte.

Je leur ai expliqué les faits sur la persécution et j'ai suggéré à l'un d'eux de démissionner du PCC, parce que je savais que l'autre l'avait déjà fait. Celui qui n'avait pas démissionné a accepté de le faire en utilisant un pseudonyme. Alors qu'ils s'en allaient, celui qui venait de démissionner a crié : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Je lui ai dit qu'il aurait de la chance et j'ai vu un sourire sur son visage.

L'année dernière, au moment où j'allais prendre le train pour rendre visite à ma fille, trois policiers locaux m'ont arrêtée. On m'a demandé si j'étais une pratiquante et si j'avais poursuivi Jiang en justice. Après que j'ai admis l'avoir fait, ils ont refusé de me laisser monter dans le train sans me donner de raison. Comme nous discutions, les gens ont commencé à se rassembler autour de nous. Je savais que c'était une excellente occasion de clarifier la vérité. J'ai expliqué comment j'étais devenue une personne bonne et sans cancer grâce à cette pratique et que lorsque Jiang m'a refusé la possibilité de pratiquer, il m'a privé de la chance de vivre et c'est pourquoi j'ai intenté un procès. J'ai ensuite décrit comment Jiang a calomnié le Falun Dafa et brutalement torturé des pratiquants et je leur ai dit que démissionner du PCC était le seul moyen de rester à l'abri du danger lorsque le PCC sera tenu responsable de ses crimes.

Plus de gens se sont rassemblés et ils ont écouté en silence. Deux des officiers sont partis, et celui qui est resté était prêt à démissionner du PCC. Il a accepté de ne pas arrêter des pratiquants à l'avenir et m'a arrangé une voiture pour que je puisse rentrer chez moi.

Au cours des cinq dernières années, je n'ai jamais eu peur quand j'ai clarifié la vérité. Je le faisais partout où j'allais et je m'améliorais dans ce que je faisais. Presque tous ceux à qui j'ai parlé ont fini par démissionner du PCC. Je savais que le Maître m'aidait.

Les tribulations sont pour m'élever moi-même

Après avoir commencé à cultiver, j'ai eu un karma de maladie à plusieurs reprises. Je n'ai jamais douté du Maître et du Fa. Il y a quelques années, j'avais mal au cou et aux épaules. J'ai pensé négativement que le cancer était peut-être réapparu et que j'étais en train de mourir. Je corrigé rapidement cette idée et me suis rappelée que le Maître a dit :

« entendre le Tao le matin, pouvoir mourir le soir. » (« Se fondre à la Loi », Points essentiels pour un avancement diligent)

Je n'en ai parlé à personne et j'ai continué à travailler pour Dafa. Cependant, j'ai secrètement fait mon testament et je l'ai remis à ma compagnie d'assurance. Quelques jours plus tard, j'ai parlé de la douleur à d'autres pratiquants pendant l'étude du Fa. L'un d'eux m'a dit que c'était le Maître qui m'aidait à éliminer mon karma et que je devais passer plus de temps à étudier le Fa, à émettre la pensée droite et à chercher les attachements en moi. Avec leur aide, j'ai compris que ce n'était pas une maladie et que je devais me débarrasser de mes attachements, continuer à faire ce qui devait être fait et laisser le Maître arranger tout. Une semaine plus tard, la douleur avait disparu.

Un jour, j'ai commencé à tousser de façon incontrôlable, mais cette fois je n'étais pas inquiète. Mon mari m'a ordonné de prendre des médicaments, mais je les ai cachés quand il ne regardait pas. Une semaine plus tard, la toux avait disparu. J'ai montré les comprimés à mon mari et je lui ai dit que la pratique m'avait guérie. Dès lors, il a vraiment cru au pouvoir de guérison du Falun Dafa.

J'ai fabriqué des documents écrits sur le Falun Dafa à la maison parce que mes deux enfants vivent en dehors de la ville et que mon mari travaille pendant la journée. J'avais beaucoup d'espace et de temps. Mon mari était d'accord, mais il voulait que je fasse attention. Mon fils, par contre, était furieux quand il a su ce que je faisais. Il n'a pas voulu m'écouter et m'a fait une crise. Il m'a accusée d'aller trop loin avec la pratique, il a brisé mon téléphone cellulaire et allait jeter mon ordinateur et mon imprimante. J'ai rapidement regardé à l'intérieur et j'ai réalisé que je ne lui avais pas vraiment clarifié la vérité. Ne voulant pas l'énerver davantage, je lui ai dit que je m'occuperais des choses s'il me laissait du temps.

Quelques jours plus tard, mon fils est venu dans ma chambre et j'étais prêt pour lui. En voyant toute les documents de Dafa, il s'est encore énervé. Je lui ai dit très calmement que c'était ma mission de sauver les gens et que je ne pouvais pas m'arrêter. Il a quand même insisté pour que je me débarrasse de l'équipement. « Je ne te cache rien », ai-je dit. « Dafa m'a sauvée, et les brochures que je fais en sauveront d'autres. La propagande diffamatoire du PCC empêche les gens d'être sauvés. Vous faites quelque chose d'extraordinaire en soutenant ce que je fais. Notre famille a bénéficié de cette pratique et nous pouvons aussi aider les autres à en bénéficier. »

Il s'est calmé un peu. J'ai appelé une autre pratiquante pendant mon fils et moi parlions. Elle a entendu la voix de mon fils au téléphone et a su immédiatement ce qui se passait parce que je lui en avais parlé auparavant. Elle a émis la pensée droite depuis chez elle pour éliminer la perversité qui persécutait mon fils avant de venir chez moi. Dès qu'elle est entrée, mon fils lui a demandé de me dissuader de fabriquer la documentation, car il croyait vraiment que je me mettais en danger. Elle s'est assise avec lui et lui a raconté les faits pendant que j'étais dans une autre pièce à émettre la pensée droite. Au bout d'une heure environ, j'ai entendu mon fils dire : « Tante, aide-moi à démissionner du PCC ! » Mes larmes ont commencé à couler et je ne pouvais pas remercier suffisamment le Maître et ma compagne de cultivation pour leur aide.

Mon fils est entré dans ma chambre et m'a dit doucement : « Maman, à partir de maintenant, fais ce que tu veux et je te soutiendrai. Si tu as besoin de quoi que ce soit, je t'aiderai. » Il s'est retourné et a demandé à la pratiquante de rester et il a cuisiné pour elle. Il est devenu une personne différente à partir de ce moment-là. Il m'a même aidée avec d'autres travaux de Dafa et a célébré la Journée mondiale du Falun Dafa avec d'autres pratiquants. Plus tard, il a trouvé un bon emploi juste après avoir obtenu son diplôme.

Aider les autres à devenir des pratiquants

Ayant expérimenté le pouvoir miraculeux de guérison du Falun Dafa, j'ai voulu le partager avec les autres. J'ai appelé deux femmes qui avaient été dans le même service que moi à l'hôpital il y a des années. Elles m'avaient aidée et avaient pris soin de moi quand j'étais très malade. Je suis allée en voir une à Jinan, et elle a accepté Dafa sans hésitation après que je lui ai raconté mon histoire. Elle est maintenant une pratiquante très diligente. L'autre elle aussi est rapidement devenue pratiquante.

Un de mes oncles a reçu un diagnostic de cancer du poumon en 2014. Je lui ai rendu visite et lui ai parlé de Dafa. Il a cru et il a été d'accord avec ce que j'ai dit. Je lui ai appris les exercices et lui ai apporté deux exemplaires du Zhuan Falun parce qu'il voulait que son épouse pratique aussi. Il a étudié les enseignements et fait les exercices tous les jours. Cela fait quatre ans et sa santé n'a jamais été aussi bonne.

Les gens choisissent de démissionner du Parti communiste chinois

Un homme d'une soixantaine d'années s'est récemment approché de moi dans un marché et m'a dit : « Maintenant je vous ai trouvé ! Avez-vous d'autres dépliants ? J'adore les lire et je tiens à vous remercier. Vous m'avez dit de réciter "Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon" et je le fais depuis un an. Ça a marché ! Regardez comme je suis en bonne santé maintenant. »

Je me suis souvenue que je l'avais rencontré l'année précédente au marché. Il avait l'air très malade et était très maigre. Il m'a dit qu'il avait une maladie du foie et que l'hôpital avait abandonné son cas. Il avait dépensé beaucoup d'argent et maintenant il lui restait peu de temps. Je lui ai parlé du Falun Dafa et des faits et je l'ai aidé à démissionner du PCC. Je lui ai aussi dit de réciter les phrases et d'avoir foi dans le pouvoir de guérison du Falun Dafa. Les pensées positives et la foi en Dafa lui ont sauvé la vie. Il pleurait en me racontant son histoire et était très reconnaissant pour le salut du Maître.

Mon mari souffre d'une maladie respiratoire depuis qu'il est tout petit. Il a dépensé beaucoup d'argent en médicaments et pourtant, il était hospitalisé de temps en temps. Il m'a soutenue dans ma pratique et dans le travail de Dafa. Depuis que je suis devenue pratiquante, il n'a eu aucun symptôme. Une fois, alors qu'il travaillait dans un puits, une lourde cage lui est tombée sur les jambes, mais elle a rebondi. Il allait bien, même s'il aurait très bien pu être grièvement blessé. Il savait que le Maître l'avait protégé et il est sincèrement reconnaissant envers le Maître depuis lors. Il a même publié un article sur Minghui pour remercier le Maître.

Je ne peux rembourser l'immense grâce du Maître qu'en étant de plus en plus diligente. J'écouterai le Maître et suivrai les principes du Falun Dafa pour bien faire les trois choses. J'accomplirai ma mission et je suivrai le Maître vers mon lieu d'origine.

(Quinzième conférence de partage d'expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais au Canada