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Fahui de Minghui|Clarifier diligemment la vérité sur Dafa

30 novembre 2018 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Dès mon enfance, j’avais une faible constitution physique et j’attrapais la grippe à chaque épidémie. Après mon mariage, prendre des médicaments faisait partie de mon quotidien. Au cours du printemps 2003, j’ai souffert de dépression et je ne pouvais plus dormir la nuit. Pendant la journée, j’avais toujours peur. J’ai consulté de nombreux médecins, mais cela ne m’a apporté aucun soulagement.

Mon amie est une pratiquante de Falun Dafa. Après avoir pris connaissance de mes problèmes, elle m’a donné le livre du Falun Dafa, le Zhuan Falun. Elle m’a aussi enseigné les cinq exercices. J’ai obtenu le Fa et j’ai commencé mon parcours pour retourner à mon origine première et retrouver mon authenticité première.

Un jour, je me suis assise sur mon lit, les yeux fermés, et j’ai entendu le bruit d’un tourbillon en entrant dans une autre dimension. Je pouvais voler et mon esprit originel était capable de quitter mon corps physique chaque fois que je fermais les yeux. J’ai vu une jeune fille dans une autre dimension. J’ai senti qu’elle était une parente. Je lui ai dit qu’elle devait apprendre le Falun Dafa pour retourner véritablement chez elle en suivant le Maître. Elle a couru derrière moi, mais j’ai volé de plus en plus haut. Ma voix retentissait dans cette dimension.

Le Maître a dit :

« À présent, il y a un problème manifeste, c’est que certains élèves, quand leur Yuanshen (Esprit originel) a quitté leur corps charnel, ont vu ou sont entrés en contact avec un certain niveau d’espace. Le trouvant si magnifique, tout existait réellement, ils n’ont donc pas voulu revenir, ce qui a produit la mort de leur corps charnel, ils sont restés là-bas et ne peuvent plus revenir. » (« Instructions explicites », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Après avoir lu ceci, j’ai dit : « Maître, je crois dans l’existence des divinités et des bouddhas, et dans le Maître. Je m’efforcerai de bien cultiver et pratiquer. Je ne quitterai plus mon corps. » Depuis, mon esprit originel n’est plus allé dans d’autres dimensions.

Après avoir acquis une meilleure compréhension par la lecture et la récitation du Fa, j’ai compris la mission des disciples de Dafa pendant la période de la rectification de Fa. J’ai réalisé que je devais permettre à plus de gens de connaître la vérité sur le Falun Dafa et aider à les sauver.

Éliminer la peur

Ma ville natale est dans les montagnes, loin de mon domicile actuel. Personne n’avait encore clarifié la vérité sur Dafa dans cette région. Après la publication du livre Neuf Commentaires sur le Parti communiste, le gouvernement avait renforcé son contrôle. Des contrôles très stricts de la Sécurité étaient effectués sur tout le système ferroviaire et il était difficile d’apporter des DVD. Ma nièce allait se marier dans ma ville natale. Elle avait prévu d’y aller en voiture. J’ai pensé que je ne devais pas rater cette opportunité. J’ai préparé des centaines de DVD clarifiant la vérité sur le Falun Dafa ainsi que des documents d’information et je les ai mis dans deux grands sacs. En le faisant, ma peur n’arrêtait pas de faire surface et chaque fois que j’y pensais, mon cœur battait la chamade. J’ai passé beaucoup de temps à lire et à réciter le Fa pour renforcer ma pensée droite.

Pendant les deux nuits qui ont précédé notre départ, mon cœur battait si vite que je n’arrivais pas à dormir. J’ai passé toute la nuit assise sur le lit. L’interférence des autres dimensions était grave. J’ai senti que la peur imprégnait tout l’espace. J’ai demandé au Maître de m’aider et j’ai émis la pensée droite. Le matin, alors que je partais pour la maison de ma nièce avec ces deux gros sacs, mon cœur battait la chamade. J’avais l’impression que je pouvais mourir à tout moment. J’ai émis une forte pensée droite : « Je suis une disciple de Dafa. Je dois remplir mon devoir. Personne n’est digne d’interférer avec ma validation du Fa et mon salut des êtres. » J’ai récité le poème du Maître pendant tout le trajet :

« Les grands Éveillés ne craignent pas les épreuves

La volonté taillée dans le diamant

Aucun attachement à la vie ou à la mort

Franc et sans obstacle, le chemin de la rectification de la Loi »

(« Pensée droite, comportement droit », Hong Yin II)

Avec ma forte pensée droite, le pouvoir du Fa s’est manifesté. Même si je sentais mon cœur battre à toute allure, je n’ai eu aucun problème à prendre l’autobus avec mes deux gros sacs. J’ai parlé aux autres passagers du Falun Dafa. La perversité dans les autres dimensions a été éliminée. La peur avait disparu. Je suis allée chez ma nièce et j’ai bien dormi.

Le lendemain, ma nièce nous a conduits à notre ville natale. Mon neveu m’a dit : « Tantine, il y a des caméras de surveillance partout. Ils enregistrent tout pour attraper les voleurs. » J’ai recommencé à avoir peur. J’ai émis la pensée droite pour nettoyer mon espace. Je savais que je n’étais pas une voleuse. J’étais une disciple de Dafa. Je devais distribuer des informations sur le Falun Dafa, en dépit de ces caméras de surveillance. Pendant la nuit, je suis sortie avec ma belle-sœur. Elle tenait une lampe de poche et je distribuais les documents à chaque domicile. À notre retour, je n’ai pas dormi. J’ai émis la pensée droite jusqu’à 3 heures du matin, puis j’ai fait les exercices. Je n’ai pas dormi de toute la nuit.

Le lendemain matin, tout le site de l’exploitation forestière était agité, disant qu’une personne du Falun Dafa était venue la veille et qu’il y avait des documents de Falun Dafa partout. Mon beau-frère m’a dit : « Tu dois arrêter. Cela a été signalé au canton. Le département de police veut regarder la vidéo enregistrée par les caméras de surveillance. » Je pensais que le Maître allait me protéger et que tout irait bien pour moi.

La veille de mon départ, il me restait encore des documents de Dafa. J’avais l’intention de les distribuer, mais mes proches me surveillaient de près. Je les ai pris en cachette et je suis sortie. Une fois dans la rue, en regardant les nombreuses caméras de surveillance j’ai hésité. Que devais-je faire ? Juste à ce moment-là, j’ai entendu la musique de New Tang Dynasty Television et elle était de plus en plus forte. J’étais vraiment touchée. Le Maître m’encourageait, me disant que les gens regardaient les DVD que j’avais distribués. Sans aucune hésitation, j’ai fini de distribuer le reste des documents et des DVD. Le lendemain, avec la protection du Maître, je suis repartie sans encombre.

Suivre le Fa du Maître en clarifiant la vérité

J’ai commencé à clarifier la vérité sur le Falun Dafa en personne à toutes sortes de gens, en les aidant à reconnaître la perversité du Parti communiste chinois (PCC) et en les persuadant de démissionner du PCC et de ses organisations de la jeunesse. Au début, j’ai souvent rencontré des gens qui ne connaissaient pas la vérité et qui soulevaient des questions auxquelles je ne savais pas comment répondre. Quand je rentrais chez moi, je passais en revue mon expérience. Ensuite, je lisais des articles correspondants sur le site Internet Minghui.

Avec l’aide du Maître, je trouvais rapidement les réponses. Quand on me reposait la même question, je pouvais instantanément dénouer le nœud dans le cœur de la personne. Je lisais aussi attentivement des articles de partage d’expériences écrits par d’autres pratiquants et je voyais comment ils abordaient la question. Je prenais des notes et en apprenant continuellement, le Maître m’a régulièrement donné la sagesse. Je suis devenue bonne pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa.

Une fois, un compagnon de cultivation et moi passions devant le bureau de poste et nous avons vu une femme de 80 ans se reposer sur le bord de la route. Je me suis assise à côté d’elle et je lui ai demandé si elle était déjà allée à l’école. Elle a dit qu’elle n’y était jamais allée. Je lui ai demandé si elle était membre du PCC ou de ses organisations de la jeunesse.

Elle s’est tout de suite opposée et a dit : « Le PCC me donne une pension. Vous êtes impliquée dans la politique et contre le PCC. » Sa tête était pleine des mensonges que le Parti communiste avait inculqués aux gens. J’ai dit : « Tantine, le CCP ne paie pas votre pension, ce sont les contribuables qui soutiennent le CCP. Prenez par exemple les chaussures que vous portez. Si elles coûtent 100 yuans, l’usine et le magasin ont ajouté des taxes sur le prix de cette paire de chaussures. N’avez-vous pas tout payé ? »

Plus tard, je lui ai raconté comment j’avais changé après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa. En suivant le principe du Falun Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j’essayais d’être une bonne personne. J’étais une bonne belle-fille et j’avais une famille heureuse. J’étais en bonne santé. J’ai dit : « Le Falun Dafa est bon pour le pays et son peuple. Mais l’athéisme promu par le PCC encourage l’immoralité et la corruption. Il ne permet pas aux gens de croire en Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il incite au conflit et à la tuerie pour pouvoir rester au pouvoir. En conséquence, les produits contrefaits sont partout. Certains aliments sont toxiques. Certaines personnes souffrent de maladies bizarres à cause de ça. » Plus elle écoutait, plus elle comprenait et plus elle était heureuse. Je lui ai dit de réciter : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Je lui ai dit que ce serait bon pour elle. Elle s’est levée, en répétant ces mots.

Une autre fois, j’ai rencontré un étudiant dans une gare routière qui m’a dit qu’il venait d’accepter un stage, mais qu’il craignait que ce soit difficile quand il entrerait sur le marché du travail. Il s’inquiétait du fait que les gens d’aujourd’hui ne semblaient pas avoir le sens du bien et du mal, et qu’il était difficile de gérer les relations interpersonnelles. Quand j’ai commencé à lui parler de la bonté du Falun Dafa, il était à l’écoute. Il a démissionné de la Ligue de la jeunesse et des Jeunes Pionniers du Parti. Je lui ai parlé de Han Xin, qui avait fait preuve de grande patience lorsqu’il avait été offensé par un gangster. Tandis qu’il écoutait, il était devenu si heureux que son visage brillait. Il a applaudi et a dit que ce que mon Maître avait dit était excellent. Il voulait en savoir plus. Son bus est arrivé, mais il était réticent à partir. Je lui ai dit de lire le livre Zhuan Falun s’il en avait l’occasion et qu’il en bénéficierait beaucoup. Il a accepté ce que j’avais dit et il est parti avec son ami. Puis il s’est retourné pour me saluer.

Coopérer avec les autres pour résister à la persécution

Rentrer chez moi en toute sécurité

En mai 2009, je suis allée avec plusieurs pratiquants dans un autre bourg pour distribuer des DVD de Shen Yun Performing Arts pendant la journée. Un villageois nous a signalés à la police. La pratiquante Mei, qui est aussi ma sœur, nous a appelés et nous a dit de partir rapidement. Je savais que quelque chose n’allait pas. Je suis allée à la route principale. Un pratiquant à moto est venu et je lui ai dit que nous devions partir tout de suite. Il m’a fait monter et nous sommes partis. Nous n’avions pas fait 30 mètres qu’un véhicule de police est arrivé et a commencé à nous poursuivre. Ils ont mis la sirène pour qu’on s’arrête, mais on a continué. Le véhicule de police nous a doublé et s’est arrêté au milieu de la route. J’ai vu que Mei avait été arrêtée et qu’elle était assise sur le siège arrière.

Je me suis souvenu du Fa du Maître : nous ne devions pas coopérer avec la perversité. Avant que la police ne descende de la voiture, j’ai sauté de la moto et j’ai couru dans le village. Un policier m’a poursuivie et a attrapé mon sac à dos. Il a essayé de me ramener au véhicule, mais j’ai résisté et je lui ai dit : « Nous sommes des gens bien. Nous n’avons rien fait de mal. Vous ne devriez pas nous arrêter. Vous ne devriez pas faire ça, c’est mal. » Il m’a ôté mon sac à dos et a dit faiblement : « Tu peux partir. Je vais faire un appel. »

Je suis rentrée précipitamment dans la maison d’un villageois. Une vieille dame et son petit-fils étaient là. J’ai dit : « Tante, il fait chaud dehors. J’attends un ami. Puis-je me reposer un peu chez vous ? » Elle a dit que je le pouvais et nous avons commencé à bavarder. Je lui ai dit que je croyais en la Loi de Bouddha et en Authenticité-Bienveillance-Tolérance et que je suivais ce principe. Elle était très sympathique. Son mari est rapidement revenu et je lui ai parlé. Il est allé dans une autre pièce et j’étais seule. J’ai appelé d’autres pratiquants chez nous et je leur ai dit que nous avions des problèmes. J’ai ensuite vu la police nous chercher une maison après l’autre. J’ai enlevé la batterie de mon téléphone portable et je me suis concentrée sur l’émission de la pensée droite. J’étais déterminée à m’en remettre au Maître pour ma sécurité.

La vieille dame regardait son petit-fils jouer à la balançoire dans la cour de devant. La police lui a demandé si elle avait vu des documents de Falun Dafa ou des gens du Falun Dafa. Elle a dit qu’elle n’avait rien vu. Deux heures plus tard, elle est revenue et m’a dit qu’il y avait un autre village à quatre kilomètres de là, où je pourrais trouver un taxi. Je l’ai remerciée et je suis allée au village. Ce n’était pas un village, mais une ville et ce n’était pas l’endroit qu’elle m’avait indiqué. Je pense que le Maître me laissait entendre que le danger était écarté.

En rentrant chez moi, j’ai appris que Mei s’était échappée pendant que la police me poursuivait. Le Maître nous avait bénies et protégées. Nous sommes rentrées saines et sauves chez nous et nous n’avons pas été la cause de crimes commis par la police.

En entendant la vérité sur Dafa, la police libère un pratiquant

En septembre 2009, le mari de Mei a été arrêté alors qu’il se rendait à la campagne pour distribuer des documents sur le Falun Dafa. Intimidée par la police, Mei est venue et m’a demandé de l’accompagner au poste de police. J’ai promis que je l’accompagnerais le lendemain.

Mais la peur me hantait continuellement, même après que je l’ai supprimée avec la pensée droite. Que devais-je faire ? J’ai demandé au Maître de m’aider : « Maître, si c’est la bonne chose à faire, aidez-moi à éliminer la peur. »

Le lendemain matin, je me suis levée et j’étais calme. Je n’avais plus peur. J’ai accompagné Mei et sa fille, en émettant la pensée droite en chemin. Lorsque nous sommes arrivées au poste de police, on nous a dit que le responsable de cette affaire reviendrait dans l’après-midi. Nous avons commencé à parler du Falun Dafa aux gens au poste de police et leur avons conseillé de démissionner du PCC. Nous sommes ensuite allées parler au directeur, qui nous a aussi gentiment dit que les policiers responsables seraient là cet après-midi.

Lorsque l’agent est arrivé au poste, il était très agressif et avait une mauvaise attitude. Je me suis souvenue de ce que le Maître a dit :

« La compassion peut faire fondre Ciel et Terre en printemps

Les pensées droites peuvent sauver les gens de ce monde » (« La Loi rectifie l’Univers », Hong Yin II)

Je lui ai souri et je lui ai dit : « Nous savons que votre travail n’est pas facile. Vous subissez beaucoup de pression. Vous savez, nous vivons dans la même ville. Nous pourrions nous croiser. Si nous nous rencontrions dans une autre province, nous nous sentirions apparentés à quelqu’un originaire de la même ville. »

Il a commencé à se calmer. J’ai dit : « La famille de ma sœur a des difficultés. Ils ont deux enfants et vivent dans un appartement en location. Avant, mon beau-frère faisait des bêtises. Ma sœur était en mauvaise santé et elle ne pouvait rien y faire. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, ma sœur s’est rétablie et mon beau-frère a commencé à travailler pour subvenir aux besoins de sa famille. Les pratiquants de Falun Dafa sont des gens bien. »

Le policier a dit qu’il avait déjà rencontré des pratiquants de Falun Dafa et qu’il savait qu’ils étaient de bonnes personnes. Nous lui avons tout de même clarifié la vérité et il était d’accord avec ce que nous lui avons dit. Je lui ai dit que mon voisin, qui n’avait que 44 ans, était mort après une détention de trois mois. Son enfant était au collège et sa femme a perdu son emploi. C’était si triste.

Il a dit : « Nous ne pouvons pas faire cela. Nous libérerons votre beau-frère demain. Vous pouvez venir le chercher. Si vous avez un problème, je vous prie de venir me voir. » Quand nous sommes parties, il nous a conduites à la porte. Il nous a dit de faire attention à notre sécurité et nous a suggéré de parler aux gens sans distribuer de documents, parce que tout ira bien pour nous s’il n’y a pas de preuves matérielles.

Sur le chemin du retour, nous avons remercié le Maître pour ses bénédictions. Nous avons non seulement aidé la police à comprendre la vérité, mais nous avons aussi aidé une douzaine de personnes à démissionner du PCC. Le lendemain, le mari de Mei est rentré chez lui sain et sauf.

Coopérer avec les membres de la famille pour résister à la persécution

En septembre 2011, sept pratiquants ont été arrêtés. Le gouvernement provincial avait mis sur pied une équipe spéciale à cette fin et avait menacé d’arrêter d’autres pratiquants. La Division de la sécurité intérieure a annoncé qu’elle procéderait à l’arrestation de toute personne qui demanderait la libération de pratiquants détenus. C’était une période de grande tension. Certains pratiquants sont partis se cacher. Un pratiquant arrêté a passé un message à sa mère et je suis allée le lui donner. La vieille dame était tellement bouleversée que son mal de dos est réapparu et elle ne pouvait plus marcher. Sa famille était en colère contre les pratiquants de Falun Dafa.

La fête de la Mi-automne approchait. Deux pratiquants et moi avons acheté un cadeau et leur avons rendu visite. Pour aider la mère, nous leur avons présenté un médecin qui pratique aussi le Falun Dafa. Quelques jours plus tard, elle pouvait marcher. Elle est venue avec nous à la Division de la sécurité intérieure pour demander le retour de son fils. Le chef d’équipe adjoint était très arrogant et ne nous a pas laissé parler. Nous avons décidé de trouver sa maison et d’aller lui clarifier la vérité sur le Falun Dafa.

Nous avons trouvé sa maison après avoir essayé trois fois. Nous avons affiché des autocollants avec des informations sur le Falun Dafa sur sa porte et dans tout son quartier, nous lui avons écrit des lettres et nous l’avons appelé pour lui parler de la vérité sur le Falun Dafa et les conséquences de la persécution du Falun Dafa. La fois suivante, quand nous sommes allés à la Division de la sécurité intérieure, il n’était plus arrogant. Il nous a parlé de l’arrestation et nous a dit que l’affaire n’était pas entre ses mains. Il a dit que nous devrions aller au département de police.

Le directeur adjoint du département de police responsable de l’affaire avait peur de nous rencontrer. Nous sommes allés dans le hall d’entrée pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa. Mais des policiers sont venus pour faire un rapport sur nous, alors nous avons dû partir. Nous sommes allés soutenir les proches qui portaient des banderoles aux bâtiments des bureaux du gouvernement du district. La mère du pratiquant tenait un panneau qui disait : « Relâchez mon fils. » La police antiémeute a été dépêchée et plusieurs véhicules sont venus nous arrêter, mais nous sommes tous partis à temps. Trois pratiquants ont été libérés quarante jours plus tard.

Nous avons ensuite coopéré avec les familles pour engager quatre avocats pour défendre ceux qui étaient encore détenus. Nous avons distribué des invitations au procès au grand public pour dénoncer la persécution. Le procès a duré toute la journée et les avocats ont présenté une bonne défense. Les pratiquants à l’extérieur du tribunal ont clarifié la vérité au public et ont émis la pensée droite. Ce jour-là, beaucoup de gens, y compris des agents de la sécurité publique et des organisations législatives, ont appris la vérité sur le Falun Dafa.

Tout cet effort a duré six mois. C’était un processus pour moi de regarder à l’intérieur et de m’élever. C’était aussi un processus de coopération entre les pratiquants. Cela a démontré la puissance de Dafa.

Passer des appels téléphoniques pour parler des faits

En 2013, j’ai appris à téléphoner pour encourager les gens à démissionner du PCC et de ses organisations. Au début, j’étais très nerveuse quand je décrochais le téléphone et ma voix tremblait. J’ai demandé au Maître de me renforcer. Petit à petit, mon cœur s’est calmé et j’ai aidé plus de gens à démissionner du PCC. J’ai essayé de me dire de ne pas me soucier du nombre de personnes qui démissionnaient. Au lieu de cela, je me suis concentrée sur l’appel téléphonique lui-même et sur les faits concernant le Falun Dafa.

Parfois, je passais de 30 à 40 appels, mais personne ne voulait démissionner du PCC. Je restais calme, je croyais dans le Maître et je continuais à appeler. Alors que je continuais, quelques personnes acceptaient de démissionner. Parfois, plus d’une vingtaine de personnes démissionnaient du PCC.

Cette année, les cartes SIM de nos téléphones portables ont souvent été bloquées en raison d’interférences. Dans mon cœur, j’ai dit au Maître que si j’avais une bonne carte SIM, je pourrais sauver les gens. Puis un compagnon de cultivation a apporté dix cartes SIM bloquées. Je me sentais triste. Elles étaient pour sauver des gens. J’ai réessayé et j’en ai trouvé deux bonnes. J’étais contente. Merci, Maître. Je pouvais de nouveau passer des appels.

En raison de la pénurie de cartes SIM, je m’inquiétais toujours à leur sujet lorsque je passais des appels téléphoniques. J’ai rencontré un pratiquant dans notre capitale provinciale et je lui ai parlé du problème des cartes SIM. Il a réfléchi et m’a dit qu’il m’aiderait à résoudre le problème. Maintenant, je peux me concentrer sur les appels téléphoniques pour sauver les gens.

(Quinzième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l’anglais en France