(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis mai 1996. En plus de vingt ans sur le chemin de la cultivation, il y a eu des hauts et des bas et Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a été là pour moi chaque fois que j'avais besoin de lui. Je ne peux pas assez exprimer mon appréciation au Maître.

J'ai toujours vécu selon le principe « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » et j'ai gagné la confiance et le respect de cette façon.

Un entrepreneur en fenêtres d'acier : Les pratiquants n'acceptent pas de cadeaux

J'ai été chargé du Bureau général sous le premier Bureau en 1997. Puis, au printemps 1998, j'ai été nommé chef du groupe de supervision du logement. Ma description de tâches comprenait la supervision des contrats et l'allocation de fonds pour un projet de construction à usages multiples. Le chef de département a annoncé publiquement l'affectation, disant qu'il me faisait une grande confiance dans la gestion du projet parce que, en tant que pratiquant, j'ai des normes morales élevées et que je prends toujours le bien-être de tout le monde en considération.

L'entrepreneur de fenêtres en acier, M. Zhang, a demandé mon adresse à mon collègue M. Zhan. M. Zhan a dit : « Ne perdez pas votre temps - il n'acceptera pas de cadeaux. »

M. Zhang a répondu qu'il voulait me remercier de lui avoir attribué ce gros contrat. Pour s'assurer que M. Zhang avait bien compris le message, M. Zhan a dit : « C'est un pratiquant de Falun Dafa. Il n'accepte aucun cadeau de qui que ce soit. » M. Zhang ne l'a pas cru et a dit : « Je ne le crois pas. J'ai été partout et je n'ai jamais vu personne refuser un cadeau. »

Quand M. Zhang est venu me rendre visite, il m'a donné une enveloppe épaisse, pleine d'argent. M. Zhang a mis l'enveloppe sur la table et a dit : « Je suis venu au nom de mon directeur d'usine pour vous remercier pour le contrat ».

J'ai pris son bras et j'ai remis l'argent dans sa poche avant qu'il ne quitte ma maison. J'ai dit : « Je suis un pratiquant de Falun Dafa. Notre Maître nous a appris à suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Les pratiquants considèrent toujours les besoins des autres en premier. Je n'accepte pas de cadeaux. Il n'est pas facile pour vous de gagner de l'argent. S'il vous plaît, reprenez votre argent durement gagné. »

M. Zhang a insisté : « Si vous ne le prenez pas, je ne peux pas faire de compte-rendu à mon superviseur. »

Pour le rassurer, je lui ai demandé d'utiliser cet argent pour améliorer la qualité des matériaux du projet.

M. Zhang a dit : « En effet, les pratiquants de Falun Dafa n'acceptent pas de cadeaux ! Je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme vous ! »

Cependant, M. Zhang ne s'est pas contenté d'une réponse négative et s'est approché de ma femme en privé. Elle a également refusé, parce qu'elle est aussi pratiquante. Il a finalement demandé à ma femme et à moi de dîner avec lui, ce que nous avons accepté.

Lorsque M. Zhang était prêt à payer la facture, on lui a dit que la facture avait déjà été payée. J'avais quitté la table pendant une minute et j'avais payé le repas.

Le directeur d'un bureau : Les gens du Falun Dafa n'abusent pas de leur position

J'étais en charge de la gestion logistique et de la facturation. J'approuvais et signais toutes les dépenses de mon département. Mes parents, mes amis et mes collègues de travail, y compris les superviseurs, ont toujours pensé que j'avais l'autorité de payer pour tout. Pour cette raison, le prenant pour acquis, ils venaient souvent me voir pour un repas gratuit ou me demandaient de signer leurs dépenses pour des repas et autres articles divers.

Le secrétaire du village, où je travaillais, m'a un jour rendu visite à mon bureau avec un groupe de personnes vers midi et m'a demandé de leur payer un déjeuner. Je les ai sortis et j'ai payé les frais de ma poche. Le secrétaire du village a demandé au directeur de mon bureau pourquoi je n'avais pas demandé de reçu. Le directeur du bureau a dit : « Ça ne sert à rien d'avoir un reçu. Notre chef de bureau paie toujours avec son argent. Il n'abuse jamais de sa position et ne paiera rien avec l'argent du projet. »

Une fois le projet de construction terminé, l'entrepreneur a posé du carrelage au sol dans les appartements des principaux chefs de projet. Je me suis dit que le coût total de mon unité était d'environ 2800 yuans. Je l'ai donc indemnisé pour 3000 yuans.

L'entrepreneur en construction s'est rendu à mon bureau quelques jours plus tard. Il a dit : « Je voulais juste exprimer mon appréciation. Vous, les pratiquants de Falun Dafa, vous n'acceptez pas de cadeaux. En plus, vous avez même payé 200 yuans de plus. Qu'est-ce que je peux dire ! Notre pays irait bien mieux si tous les dirigeants étaient comme vous. »

Mon département dispose d'un budget de plus de 100 000 yuans pour le divertissement et l'hébergement chaque année. Pour garder une bonne relation avec nous, le propriétaire de l'hôtel a toujours ajouté un supplément au reçu, comme c'est la coutume, au-dessus de ce que nous avions réellement payé, mais je demandais un remboursement seulement pour les montants réels.

J'ai également refusé tous les cadeaux que mes collègues offraient pendant les vacances. En tant que disciple de Dafa, je dois vivre selon les principes de Dafa.

Le Chef de la sécurité publique : Vous êtes une bonne personne

J'ai été détenu en juin 2000 pour ma croyance dans le premier centre de détention de mon canton. Un jour, le directeur de la division de l'administration des services de police m'a emmené à son bureau. Il a dit : « Écoutez, mon frère ! Le secrétaire du parti du canton, les dirigeants du Bureau 610 et le service de police ont décidé de lancer une enquête sur vos performances passées. Une fois une violation constatée, vous serez sévèrement puni. Cela affectera votre travail et votre famille. Si vous promettez de ne pas pratiquer, vous pourrez rentrer chez vous et je peux vous couvrir. »

J'ai dit : « Je n'ai jamais rien fait d'illégal. » On m'a ramené au centre de détention.

Quelques jours plus tard, un cadre de la Commission d'inspection disciplinaire du canton est venu au centre de détention pour vérifier auprès de moi un billet à ordre de 3000 yuans, que j'avais signé plus tôt. J'ai dit que je l'avais traité à la demande du comité de canton. L'argent avait été versé au tribunal pour leurs services.

Finalement, le tribunal a mis les choses au clair. Plus tard, l'ancien président de la cour m'a appelé et m'a dit : « Frère, j'ai enregistré l'argent que vous avez payé et le paiement a déjà été vérifié par le cadre. Je n'ai pas pu vous faire sortir du centre de détention parce que vous pratiquez le Falun Dafa. Prenez bien soin de vous. »

Environ deux semaines plus tard, le chef de la division de l'administration m'a de nouveau convoqué dans son bureau. Il m'a offert un verre d'eau et m'a dit : « Après une enquête, nous avons constaté que vous n'avez enfreint aucune loi dans les postes que vous occupiez. Vous n'allez pas dans des lieux de divertissement sexuel comme les autres. Seuls les gens du Falun Dafa peuvent vraiment dire cela pour une personne dans votre position. Vous êtes vraiment quelqu'un de bien ! »

Le premier directeur du Bureau : Donnez à tout le monde un exemplaire du Zhuan Falun

Je lis toujours le Zhuan Falun pendant mes temps libre au travail. J'ai créé un environnement de travail détendu et calme pour chaque personne. J'ai également assumé certaines des responsabilités de mon superviseur et aidé les gens à résoudre des problèmes.

Un matin, j'ai entendu des bruits forts à l'extérieur de mon bureau. Le secrétaire du Parti criait parce que mon superviseur refusait d'approuver qu'un membre de sa famille travaille dans notre département. Je lui ai dit : « Venez dans mon bureau pour en parler. »

Il a non seulement réprimandé le chef de service, mais il est sorti de ses gonds contre moi. Il m'a frappé la tête avec des livres et des journaux. Il a cassé une poubelle et la porte du bureau. Mais je suis resté calme. À la fin, les gens l'ont sorti de mon bureau.

Il est venu s'excuser dans l'après-midi puisque je n'avais rien à voir avec l'incident original. Il a demandé : « Pourquoi n'étais-tu pas fâché ? Tu m'as même souri quand je t'ai réprimandé. Me regardais-tu de haut ? Et pourquoi tu ne t'es pas défendu ? As-tu peur de moi ? »

Je lui ai dit que j'étais plus fort que lui. Il n'était pas d'accord et a insisté sur le fait que nous ayons un concours de bras de fer - bien sûr, il a perdu.

Il a dit : « Contrairement à d'autres personnes, vous les gens du Falun Dafa, vous ne vous défendez pas quand on vous frappent ou vous insultent. Vous êtes incroyables ! »

Le chef du premier Bureau a apprécié mon aide pour résoudre ce problème à sa place. Plus tard, il a dit : « Où puis-je acheter le livre Zhuan Falun ? Je veux en donner un exemplaire à tous les membres de notre département. » Grâce à ses efforts, j'ai distribué plus de six exemplaires du Zhuan Falun. Plus tard, il est aussi devenu un pratiquant de Dafa.

Le superviseur du centre de détention : Je démissionne pour protester contre l'arrestation d'un bon cadre

J'ai été démis de mes fonctions administratives en octobre 1999 et emmené au centre de détention du canton pour ma croyance par le secrétaire du Parti du canton et ses sous-fifres. Le matin du deuxième jour, le superviseur du procureur du canton, qui était affecté au centre de détention, est venu me voir. Il m'a demandé par la fenêtre de la cellule : « Qui vous a envoyé ici et pourquoi ? »

« Le secrétaire du Parti du canton », ai-je répondu.

Le superviseur a dit : « Écoutez, dites-leur simplement que vous ne pratiquerez pas. Une fois libéré, vous pourrez encore pratiquer à la maison. »

J'ai dit : « Non, les pratiquants ne mentent pas. »

Il a commencé à maudire le secrétaire du Parti du canton : « Cette personne est le seul bon cadre du canton et vous l'avez enfermé. Il a résolu tous les problèmes que d'autres personnes n'ont pas réussi à faire. Je vous poursuivrai ! »

Le superviseur est revenu dans l'après-midi. Il m'a dit qu'il était allé à la recherche du secrétaire du Parti du canton, mais ne l'avait pas vu. Il a ensuite dit aux gardiens de prison que je suis une bonne personne et qu'ils ne devraient pas me faire de mal.

J'ai été détenu pendant neuf mois, pendant lesquels je n'ai pas respecté les règles de la prison. J'ai fait les exercices de Dafa et j'ai étudié le Fa tous les jours. Quand les gardes se sont plaints, le directeur a dit que j'étais sous la supervision de la commission du canton.

(Soumission pour « Commémorer la Journée mondiale du Falun Dafa » 2018 sur le site Internet Minghui)

Traduit de l'anglais au Canada