(Minghui.org) Mon nom est Li et je suis un fermier de 79 ans. Je cultive dans le Falun Dafa depuis vingt-et-un ans. Durant cette période, le Maître s’est occupé de moi.
J’apprends à patiner à l’âge de 79 ans
Avant le Nouvel An chinois 2017, je suis allé me promener dans un lieu touristique. Quand j’ai vu beaucoup de gens en train de faire du patin à glace, mon cœur a été touché et j’ai voulu essayer. Cependant, quand le responsable de la patinoire a entendu mon âge, il a secoué la tête pour manifester sa réticence à me laisser apprendre.
J’ai pensé : « Je suis un pratiquant de Falun Dafa et je me porte très bien physiquement ; je peux le faire ! » Donc, je me suis avancé, j’ai loué une paire de patins puis je suis monté sur la glace. Sans surprise, je suis tombé à plusieurs reprises, mais je réussissais à me relever aussitôt. Un spectateur m’a dit : « Vous vous débrouillez bien ! Aussi longtemps que vous pouvez vous relever d’une chute, je suis sûr que vous pouvez apprendre. »
J’ai plus tard demandé à mon fils de m’acheter une paire de patins et il me les a achetés sur le net. Une semaine plus tard, j’avais commencé à bien me débrouiller. À ce moment-là, parce que cette patinoire allait être utilisée pour une compétition, ils sont partis dans un autre endroit. Il y avait là-bas une vingtaine de personnes. Quand j’ai commencé à patiner, ils m’ont regardé d’une drôle de façon.
L’un d’entre eux m’a dit : « Quand nous avons appris à patiner, nous étions très jeunes et nous comptions nous arrêter vers 70 ans. Mais vous, vous êtes venu apprendre à patiner à presque 80 ans et vous avez réussi à l’apprendre. C’est vraiment génial ! »
« C’est parce que je suis un pratiquant de Falun Dafa », ai-je répondu. « Je peux bien faire tout ce que je veux faire ! »
Quand j’ai mentionné le Falun Dafa, ils sont devenus encore plus amicaux avec moi. Donc j’ai commencé à leur clarifier les faits et cela a très bien été accueilli. Je leur ai également donné quelques DVD clarifiant les faits. À la patinoire, je parlais à toute personne que je pouvais approcher. J’utilisais mon temps de la matinée pour étudier le Fa et clarifiais les faits aux gens dans l’après-midi. De cette manière, je sentais que mon temps était bien utilisé.
Une grande tribulation
Cependant, seulement quelques jours plus tard, j’ai eu un accident.
Un jour en allant à la patinoire, je ne pensais qu’à comment clarifier les faits aux gens. Ainsi, j’ai négligé de vérifier le trafic entrant et j’ai fini par être renversé par une voiture qui roulait à très grande vitesse. J’ai été percuté violemment, une séquence de la caméra de surveillance a montré que j’avais volé dans les airs après la collision.
Cependant, tout ce que j’ai ressenti a été un coup latéral ; tout comme lorsque je marchais dans un champ de maïs et que j’étais brossé par les feuilles des tiges. Puis j’ai entendu la voix d’une femme dans mes oreilles : « Oncle, oncle... »
J’ai maintenu la forte pensée : « Je pratique le Falun Dafa. J’ai mon Maître qui me protège, donc je vais bien. » Je lui ai alors dit : « Je pratique le Falun Dafa. Vous n’avez pas à vous inquiéter pour moi. Ça va aller. » Immédiatement après, j’ai réalisé que je me sentais très à l’aise et pas comme si j’avais été blessé. Plus tard, j’en suis venu à comprendre que si je m’étais relevé et étais rentré immédiatement chez moi, je n’aurais pas rencontré la tribulation qui a suivi.
À savoir que plus tard quelqu’un a appelé ma famille au sujet de l’accident et puis elle m’a emmené à l’hôpital.
Le docteur a ordonné une radio, laquelle a montré que j’avais des fractures en 11 endroits, en commençant par les vertèbres lombaires tout du long jusqu’à ma nuque. Ils m’ont immobilisé sur un lit et étaient sur le point de me faire une perfusion. Immédiatement, je suis devenu soudainement clair et ai vu la poche à perfusion. Je l’ai immédiatement rejetée. Puis, j’allais me lever.
Cependant, le docteur et l’infirmier, qui étaient tous les deux de chaque côté de mon lit, se sont mis à me maintenir avec force sur le lit pour m’empêcher de me lever. Le docteur a dit avec fermeté : « Que vous vouliez ou non que nous vous soignions, il est de notre devoir de le faire. » Peu importe ce que quiconque disait, je ne voulais pas du tout les écouter.
« Comment osez-vous ! » ai-je dit. « Si vous essayez de me forcer, alors je vais vous poursuivre en justice. Si vous persistez, alors je vais vous battre ou vous insulter. »
Ils ont dû savoir par l’entremise de mon fils que j’étais un pratiquant. Le docteur a dit : « Vous êtes un pratiquant de Falun Dafa. Votre Maître n’autorise pas que vous frappiez ou insultiez les gens. »
« Ce que vous dites est vrai », ai-je dit. « Je comprends également que vous voulez me soigner par bonté, mais cela me fera du tort. Votre manière de me soigner ne compte pas. Ce que mon Maître peut faire est au-delà de tous vos soins. Si je devais vous permettre de me soigner, mon Maître ne pourrait pas m’aider et mon énergie partirait aussi. En faisant ainsi, vous finiriez par me faire du tort. C’est pour cela que je ne peux pas vous laisser poursuivre ce que vous voulez faire. »
Quand j’ai insisté pour rentrer chez moi, tous les deux, le docteur et mon fils, ont refusé de me laisser rentrer. Mon fils m’a dit : « Tu dois rester ici. Il n’y a personne pour prendre soin de toi à la maison. »
J’ai dit : « Je ne resterai pas ici ; ce n’est pas un endroit pour moi. Tant que je serai à la maison et que je pratiquerai les exercices, tout ira bien. »
Voyant ma détermination, ils n’ont rien pu faire. Puisqu’il était tard, ils m’ont demandé de rester pour la nuit. J’ai dit : « Alors vous devez me donner votre parole que vous ne me garderez que pour une seule nuit. C’est uniquement à cette condition que je resterai ici cette nuit. »
J’ai bien dormi cette nuit-là, en dépit du fait que l’on m’ait diagnostiqué 11 fractures. Cependant, je n’ai pas senti que j’étais blessé. J’ai compris que le Maître avait enduré pour moi.
« Beaucoup mieux que d’être soigné à l’hôpital ! »
Depuis que je pratique, je suis passé par beaucoup de périodes d’éliminations de karma de maladie, telles que la diarrhée, avoir du sang dans mes urines et ressentir des douleurs en de nombreux endroits. Je serrais juste les dents pour endurer la souffrance. Parfois, j’avais tellement mal que je trébuchais quand je marchais. À certains moments, je devais retenir ma respiration pour soulager la douleur avant de finalement pouvoir traverser le karma de maladie.
Le Maître m’a aidé à passer de nombreuses épreuves de ce type. La plupart se produisaient la nuit et je n’en parlais que rarement aux membres de ma famille. En pensant aux autres pratiquants d’autres écoles de cultivation dans les temps anciens, n’avaient-ils pas eux aussi à passer des tests de vie et de mort avant d’atteindre la plénitude parfaite ? Au nom de notre vraie, grande voie de cultivation, je me suis résolu dans mon esprit à passer les tests.
Je me souviens d’une tribulation en particulier causée par un karma de maladie. Ma famille se faisait du souci pour moi et ils ont appelé beaucoup de mes parents et amis pour essayer de me convaincre de me laisser soigner. À la fin, ils n’ont pas pu me convaincre, donc ils ont dû me laisser le gérer à ma façon. Et alors ma « maladie » est partie. Depuis lors, j’ai su que chaque karma de maladie est une illusion.
Quand j’étais à l’hôpital après l’accident, bien que je n’aie pas ressenti beaucoup de douleur, mon corps n’était pas aussi léger qu’avant. Puis je ne pouvais pas marcher. Cependant, j’ai simplement continué à clarifier les faits aux gens. J’ai parlé de comment le Parti communiste chinois (PCC) s’est ligué avec Jiang Zemin, l’ancien chef du PCC, pour persécuter le Falun Dafa et comment ils ont monté de toute pièce l’incident de la mise en scène des auto-immolations sur la place Tiananmen pour inciter les gens à la haine envers le Falun Dafa. J’ai également parlé de comment les fonctionnaires corrompus, tels que Zhou Yongkang et Bo Xilai, ont prélevé les organes de pratiquants de Falun Dafa et fait de l’argent par l’entremise de l’organisation d’expositions de corps humains. J’ai parlé à tous ceux que je rencontrais.
Quand mon quatrième fils a vu que mon attitude était ferme, il a rapidement appelé son frère cadet. Il s’est avéré que mon plus jeune fils était d’accord avec moi. Donc mon quatrième fils a laissé tomber et a dit au docteur : « Regardez mon père, il refuse de prendre tout médicament ou de recevoir un traitement. On ne dirait même pas que ses os ont été fracturés. Pourquoi ne pas le laisser rentrer à la maison ? »
Puis le jeune infirmier est entré et a dit : « Vous serez probablement autorisé à sortir dans peu de temps. »
Je ne pouvais presque pas croire ce que je venais d’entendre et lui ai demandé confirmation. C’est ce qu’il a fait. À ce moment-là, mes yeux sont soudainement devenus clairs et ma vision est revenue à la normale. Cependant, immédiatement avant cela, je pouvais à peine voir quoi que ce soit. J’ai alors pensé : « Il semblerait que j’ai fait le bon choix ! » Donc je suis rentré à la maison.
C’était presque le moment du Nouvel An chinois. Mes cinq fils, belles-filles et petits-enfants sont tous venus me voir. Je ressentais que mon corps était un peu lourd, j’ai donc décidé de rester couché la plupart du temps. Environ deux semaines plus tard, ils étaient repartis. Après cela, j’ai pu entreprendre tout seul n’importe quel travail. J’allais de mieux en mieux jusqu’à aller parfaitement bien.
Lorsque j’ai été heurté par la voiture, il y avait également le problème du chauffeur à gérer. Ma façon de gérer cela avec elle a été une surprise pour ma famille.
« S’il te plait, ne la fais pas chanter », ai-je dit à mon fils.
« De quoi parles-tu ? Elle n’a même pas assez d’argent pour soigner son mari qui a un cancer et qui subit une chimiothérapie », a-t-il répondu.
« Si c’est le cas, alors j’aimerais lui offrir un peu d’argent. »
« D’accord, mais pourquoi ne m’offres-tu pas un peu d’argent ? » a-t-il dit.
« Je ne te donnerai rien. C’est elle qui a besoin d’aide ; voilà la raison. »
Alors un jour mon petit-fils est venu chez moi et m’a demandé : « Si tu ne veux pas demander une indemnité au chauffeur, ça va. Mais pourquoi veux-tu lui offrir de l’argent ? »
« Laisse-moi te dire », ai-je dit. « Je lui devais ma vie d’auparavant. Maintenant, dans cette vie, j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa et elle est venue me réclamer le remboursement. Mais elle n’a pas pris ma vie. Quelle est la valeur de ma vie ? Ce que je suis en train de dire, c’est que cela n’est pas arrivé accidentellement, il y a une affinité prédestinée là-dedans. Mon Maître nous a dit de penser aux autres d’abord quand nous rencontrons des tribulations, au lieu de seulement penser à nous-mêmes. En plus, je vais bien. »
À travers cette affaire, ma famille, mes parents et amis m’ont tous vu sous un nouveau jour et ils ont tous réalisé que Dafa est véritablement étonnant et beaucoup plus efficace que n’importe quoi d’autre.
Il est venu pour nous dire la vérité
Par moment, je pensais que je ne m’étais pas très bien cultivé, et j’ai vu qu’il y avait un énorme écart entre moi et les autres pratiquants qui travaillaient très diligemment. Je me suis demandé pourquoi le Maître prenait encore soin de moi.
Puis j’ai pensé que peut-être c’était parce que j’avais mis beaucoup d’efforts dans la clarification des faits aux gens. Par conséquent, j’avais très peu de peur et j’essayais de parler à quiconque je rencontrais. Ainsi de nombreuses personnes en sont venues à me connaitre. Aussitôt que j’apparaissais, quelqu’un pouvait dire : « Les pratiquants de Falun Dafa sont de nouveau là pour nous dire la vérité ! » Puis, je commençais à parler.
Je n’ai jamais préparé de plan, je laissais simplement les choses se faire naturellement. Typiquement, je leur disais qu’en traitant Dafa avec gentillesse, on se verrait accorder du bonheur et la sécurité par le ciel. Je disais que le Falun Dafa cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance, ce qui selon ma compréhension, consiste à prendre la défense de la vérité, à faire les choses honnêtement et à être une bonne personne ; tandis que la gentillesse est de traiter toute chose avec bonté ; la patience c’est être tolérant envers les autres quand on rencontre des conflits. Je parlais également des incroyables effets du Falun Dafa pour aider les gens à guérir de leurs maladies et à se maintenir en bonne santé.
Une fois alors que j’étais en train de coller des informations clarifiant la vérité, des policiers m’ont vu. J’ai été arrêté et emmené au poste de police. Ils m’ont ordonné d’écrire les trois déclarations et j’ai refusé. Ils ont ensuite commencé à crier contre moi et j’ai crié contre eux en retour. Ma voix, cependant, était si forte qu’elle couvrait les leurs. Ils ont dû arrêter de crier. Puis j’ai commencé à raisonner avec eux en leur disant combien mon Maître est grand et combien Dafa est merveilleux. Je leur ai également dit qu’arrêter de bonnes personnes est un crime.
Ils sont restés sans voix et finalement ils m’ont relâché.
Les gens dans mon village savent tous que je pratique le Falun Dafa. Je sais clairement combien le PCC est corrompu et mauvais, et j’avais démissionné en secret du PCC il y a des dizaines d’années de cela. Alors j’ai pensé : « Puisque je pratique l’Authenticité, je devrais démissionner ouvertement du PCC. »
Par conséquent, un jour, je suis allé voir le secrétaire du comité du PCC de notre village. Je lui ai dit : « Je démissionne du Parti. »
Il a dit : « Comment ça se fait ? Vous n’avez rien fait de mal, n’est-ce pas ? »
« Selon le PCC, ses membres ne devraient pas pratiquer le Falun Dafa. Cependant, je ne peux pas me plier à cela, donc je dois démissionner du PCC. À propos, le Falun Dafa m’aide à être sans maladie, tandis que le Parti ne peut rien faire de tel. Donc, je vais démissionner du Parti ! »
Il a alors répondu : « Bien sûr, je vous en prie, faites-le. »
Après l’avoir fait ouvertement, j’ai senti que mon cœur était plus léger et me suis senti très détendu.
Une autre fois, j’étais en train de suspendre des banderoles clarifiant la vérité sur un pont et j’ai vu que j’avais été pris en filature par deux agents de police. Ils ont appelé quelques policiers de plus, y compris leur chef. Cinq d’entre eux m’ont encerclé. Je n’ai pas eu peur. Après avoir vu qu’ils allaient m’encercler, au lieu de descendre du pont, j’ai continué dans l’autre sens. S’inquiétant que je sois en danger, ils ont appelé mon petit-fils pour me ramener chez moi.
À travers cette histoire, j’en suis venu à réaliser qu’aussi longtemps qu’on croit dans le Maître et Dafa — ce qui n’est en aucun cas juste des paroles en l’air, mais plutôt visible dans les efforts de cette personne — alors on peut surmonter chaque épreuve.
Quand on croit dans le Maître et qu’on lui demande de l’aide, il peut aider. Mais si on pense qu’on a une maladie, alors les éléments pervers ont des motifs pour nous persécuter. Alors même le Maître n’est plus en mesure d’intervenir, parce que c’est un principe de notre univers que chacun est responsable de ses propres actions.
Ce qui précède est ma récente expérience de traverser l’épreuve de la vie et de la mort, ainsi que quelques autres expériences liées à ma validation du Fa. Si les autres pratiquants obtiennent un peu d’inspiration et des leçons de mon partage d’expériences, j’en serai alors très heureux.
D’un autre côté, veuillez avoir la bonté d’indiquer toute chose inappropriée.
Merci Maître !
(Partage envoyé au site Internet Minghui pour « Célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa » 2018)
Traduit de l’anglais en Europe