(Minghui.org) Le Maître a dit :
« Dans les actions magnifiques d'utiliser la raison pour valider le Fa, d'utiliser la sagesse pour clarifier la vérité et d'utiliser la compassion pour que le Fa soit immensément répandu et pour donner le salut aux gens de ce monde, le chemin de la plénitude parfaite de chaque disciple de Dafa s'est perfectionné. » (« La grandeur des disciples », Points essentiels pour avancer avec diligence II)
En 2017, une autre pratiquante de Falun Dafa m'a demandé de venir en aide à son mari, qui avait été sévèrement torturé en prison pour avoir refusé de renoncer à sa croyance.
Ce pratiquant a été arrêté en juin 2016. Il a été illégalement condamné à quatre ans et demi de prison et est emprisonné depuis septembre 2016.
Il a entamé une grève de la faim pour protester contre la persécution et a refusé de porter l'uniforme de prisonnier ou de réciter les règles de la prison. Les gardiens le battaient fréquemment avec des matraques électriques. Une fois, un chef d'équipe l'a assommé de coups devant de nombreux autres détenus. Sa tension artérielle et son taux de sucre dans le sang étaient extrêmement élevés en raison de la torture.
Clarifier la vérité
Nous avons immédiatement contacté d'autres pratiquants de Dafa et sommes allés en voiture à la prison.
Un gardien de prison à la porte nous a dit que nous devions aller à l'immeuble des bureaux. Cependant, quand nous avons frappé aux portes, personne n'a répondu. Un pratiquant a crié : « C'est étrange que personne ne soit au travail pendant les heures de travail. Nous attendrons encore trente minutes. Ensuite, si personne ne nous parle, nous déposerons une plainte. »
Peu après, les portes de tous les bureaux se sont ouvertes. Nous avons visité les départements concernés et demandé aux fonctionnaires d’enquêter sur les gardiens de prison qui maltraitaient et battaient les détenus. Nous avons également demandé une libération sous caution dans le but d'obtenir un traitement médical pour le pratiquant incarcéré.
Lorsque nous avons visité la section administrative de la prison, on nous a dit qu'ils ne pouvaient pas approuver la libération sous caution parce que le pratiquant avait refusé de prendre des médicaments. Le fonctionnaire nous a ensuite montré les documents.
Un pratiquant a regardé le dossier et a déclaré : « Cela signifie que si le détenu n'accepte pas le traitement, il ne peut pas être libéré sous caution, mais il ne dit pas que la libération sous caution n'est pas autorisée si l'on ne prend pas de médicaments. Il existe de nombreuses façons de traiter les maladies. »
Le pratiquant a poursuivi : « Le pratiquant que vous avez emprisonné souffrait de diabète depuis de nombreuses années et aucun traitement médical n’a fonctionné. Finalement, il a guéri de son diabète en pratiquant le Falun Dafa. Prendre des médicaments n'est pas le bon traitement pour lui. Il demande le droit de pratiquer le Falun Dafa dans la prison comme moyen de participation au traitement. Il existe de nombreuses façons de traiter les maladies, telles que la médecine traditionnelle chinoise, les traitements à base de plantes et le qigong. Vous ne devriez pas considérer la médecine occidentale et les injections comme la seule forme de traitement médical. »
La femme du pratiquant incarcéré a ajouté : « Les orteils de mon mari étaient pourris à cause du diabète, et il ne pouvait pas marcher. Il s'est rendu dans de nombreux hôpitaux, mais personne ne pouvait le soigner. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, son diabète a rapidement disparu. Grâce à la pratique, il est aussi devenu une meilleure personne et il est gentil avec les autres. Il était alcoolique et se mettait souvent en colère après avoir bu. Il a arrêté de fumer et de boire après avoir commencé à pratiquer Dafa. Nos voisins et collègues faisaient tous l'éloge de mon mari parce qu'il était une bonne personne. »
Pendant ce temps, un pratiquant a interrogé le gardien de prison en disant : « Pourquoi détiennent-ils illégalement des pratiquants de Falun Dafa alors que la loi ne criminalise pas le Falun Dafa ? » Le pratiquant a dit au gardien qu'il enfreignait la loi.
Un jeune gardien lui a dit que rien ne pouvait être fait puisque l'ordre émanait des autorités supérieures.
Le pratiquant a répondu : « Si on vous ordonne de tuer quelqu'un, vous avez la possibilité d'élever votre arme d'un centimètre plus haut, donc vous avez tout a fait le choix de faire ce qui est juste avec les moyens dont vous disposez. La persécution du Falun Dafa s'arrêtera et les personnes qui les persécutent seront certainement punies conformément à la loi. Ce que vous faites aujourd'hui décidera de votre avenir. »
Les gardiens écoutaient silencieusement. Le chef de section a alors suggéré que nous persuadions le pratiquant emprisonné de coopérer avec son traitement médical.
Quand j'ai rendu visite au pratiquant emprisonné, il m'a dit : « Après avoir entendu le Tao le matin, on peut mourir le soir. J'ai déjà abandonné la vie et la mort. » Puis il est retourné en prison. J'ai été très touché par sa ferme croyance dans le Fa.
Lorsque nous nous sommes rendus à la prison la deuxième fois, tous les ascenseurs et tous les escaliers étaient équipés de serrures électroniques. Nous avons appelé tous les départements et leur avons demandé de venir traiter la demande de cautionnement pour traitement médical, mais ils ont tous essayé de pousser la responsabilité aux autres.
Puisque les fonctionnaires de la prison refusaient de coopérer avec nous, nous avons immédiatement écrit des lettres de clarification de la vérité après notre retour à la maison et les avons envoyés aux responsables des différents départements. Nous avons également déposé des plaintes auprès du bureau judiciaire local, du parquet et de la Commission centrale d'inspection de la discipline.
Un pratiquant qui avait été emprisonné pour sa croyance a aidé à écrire une lettre pour dénoncer à quel point il avait été persécuté alors qu'il était illégalement emprisonné et nous l'avons envoyée aux autorités judiciaires.
Le Maître a dit :
« Là où un problème apparaît, là il est nécessaire que vous alliez clarifier la vérité, apporter le salut. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de Washington DC », Enseignement de Fa dans les conférences II)
J'ai écrit une lettre au directeur de la prison et lui ai demandé de ne pas persécuter les pratiquants. Je lui ai aussi envoyé des documents d'information sur Dafa. Par la suite, le directeur s'est rendu chez le pratiquant incarcéré et a rencontré sa mère malade. De plus, chaque fois que la femme du pratiquant allait voir son mari en prison, elle rapportait toujours une longue liste de noms de ceux qui voulaient démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse.
Le pratiquant a dit à sa femme qu'il aiderait à sauver les êtres et à accomplir ses vœux, peu importe où il se trouve.
Aider des fonctionnaires à démissionner du PCC
Pendant que j'essayais de sauver le pratiquant, j'ai réalisé profondément la protection compatissante et l'arrangement parfait du Maître.
Trois des pratiquants qui nous ont aidés étaient de nouveaux pratiquants et nous ne nous connaissions pas auparavant. Mais nous nous sommes très bien coordonnés ensemble et avec le pratiquant emprisonné, nous nous sommes tous élevés dans la cultivation et pratique et avons rectifié nos environnements. Le pratiquant emprisonné a même eu l'autorisation d'étudier le Fa, de parler du Falun Dafa aux autres et de les aider à démissionner du PCC.
J'ai rencontré beaucoup de fonctionnaires du PCC ces dernières années et je pouvais vraiment sentir que beaucoup d'entre eux avaient une conscience, mais ils ont été trompés par les mensonges et la propagande du Parti. Ils ont été poussés à faire des choses contre leur propre conscience.
J'ai dit à un haut responsable : « Vous ne pouvez pas être contre le Falun Dafa ni même persécuter les pratiquants, sinon vous serez puni par le ciel. Il est sage de ne pas suivre le PCC et de ne pas être contre Dafa. » Il a hoché la tête et accepté de démissionner du Parti.
J'ai visité le bureau d'appel du département de police une fois et j'ai déposé une plainte contre le poste de police pour avoir utilisé la violence et extorqué des aveux sous la torture. J'ai été reçu par un haut responsable de la police, qui m'a écouté et a montré de la sympathie envers le Falun Dafa.
La pièce était sous haute surveillance, alors je lui ai demandé quel était son nom de famille. Je l'ai écrit au dos d'une enveloppe et je lui ai dit : « Je vous ai donné le pseudonyme de Chen Daoming avec lequel démissionner du PCC. Quand le ciel éliminera le PCC, vous serez en sécurité. Rappelez-vous s'il vous plaît que le Falun Dafa est une voie de cultivation et pratique juste et que le Falun Dafa est bon. »
Il l'a lu et a hoché la tête avec un sourire. Il m'a également dit qu'il transférerait ma lettre de plainte au département de police de la ville.
Une autre fois, je suis allé au tribunal intermédiaire pour présenter une lettre d'appel. Une fonctionnaire a lu la lettre et m'a dit : « Je pense que vous devriez laisser tomber. Je suis juge depuis plus de trente ans et je n'ai jamais vu personne poursuivre le PCC avec succès. Mais ils vont vous harceler. » Je savais qu'elle essayait de m'aider. Je lui ai clarifié la vérité et je l'ai aidée à démissionner du PCC.
Ce qui précède est ma compréhension personnelle. S'il vous plaît, veuillez signaler tout ce qui est inapproprié.
Traduit de l'anglais au Canada