(Minghui.org) Il y a quelques étés, le chef de notre village a agrandi la route à côté de mon champ de maïs et a pris plus d'un acre sans nous en aviser. Toutes les tiges de maïs vertes le long de la route ont été détruites.
La première récolte de maïs
Il aurait été plus raisonnable que la route qui traversait le champ de maïs soit élargie des deux côtés, mais ils n'ont pas touché le champ de l'autre côté parce que le chef du village savait qu'il était difficile de s'entendre avec le propriétaire. D'un autre côté, il savait que j'étais une pratiquante de Falun Dafa et que je ne ferais rien s'ils utilisaient mon champ.
Après avoir remarqué qu'ils avaient pris un acre, je me suis dit : « Je suis une disciple de Dafa et je ne peux pas agir comme les gens ordinaires. » Cependant, mon fils et mon mari ne pouvaient pas l'accepter et voulaient se disputer avec le chef du village. Je leur ai dit : « Nous sommes des pratiquants de Dafa et nous ne pouvons pas agir comme eux. Alors, laissez tomber. » Ils ont décidé de ne pas y aller.
L'année dernière, au moment de la récolte du maïs, notre production n'était pas du tout réduite. Au contraire, nous avons eu encore plus de maïs que l'année précédente, alors que nous avions eu une récolte exceptionnelle. C'était vraiment le paradis qui veillait sur tout ! Comme il est écrit dans le Zhuan Falun, « ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas. »
Cette année, le maïs le long de la route poussait très bien, mais le village a voulu agrandir à nouveau la route. Le chef du village a fait la même chose que l'année dernière et a voulu empiéter à nouveau sur notre champ sans nous en aviser.
Je suis allée jeter un coup d'œil et j'ai constaté que la zone marquée pour l'expansion de la route était de taille similaire à la zone qu'ils avaient déjà prise auparavant. Je ne me sentais pas bien, mais je pensais que parce que je suis une disciple de Dafa, je ne devais pas traiter les choses comme les gens ordinaires lorsque la perte ou le gain sont en jeu.
Cette fois, mon fils ne pouvait pas l'accepter et voulait de nouveau se disputer avec le chef. Il a protesté : « Si nous perdons notre champ, comment toi et papa pourrez-vous gagner votre vie ?! » Mais je l'ai empêché d'y aller.
La deuxième récolte de maïs
Notre détresse a aussi ému les villageois. Un jour, j'ai entendu quelques villageois discuter au bord de la route et ils critiquaient le comportement du chef. L'un des parents du chef du village lui a dit directement : « On ne peut pas continuer à profiter des gens honnêtes. Ils ne sont pas comme les gens ordinaires. Tu ne devrais pas en profiter autant ; garde un peu de vertu pour toi-même. »
Je respectais vraiment ces villageois qui étaient droits. J'étais heureuse qu'ils aient compris que le Falun Dafa guide les gens pour qu'ils soient bons. Je suis encore plus reconnaissante envers le Maître qui a purifié mon cœur avec Dafa. Si je n'avais pas pratiqué le Falun Dafa, je me serais dit : « Qui ose occuper ma terre sans me dédommager ? »
Finalement, le chef du village a décidé de ne pas prendre autant de terrain qu'il avait prévu à l'origine. Il y a eu une sécheresse plus tôt cette année, et beaucoup de gens ont dû planter leurs champs une deuxième fois, mais mon champ de maïs a poussé en parfaite abondance. Les villageois l'ont vu, et certains d'entre eux ont fait remarquer : « Parce qu'ils pratiquent le Falun Dafa, leur maïs pousse si bien ! »
Ce jour-là, mon mari et moi sommes allés voir le champ de maïs. Sur le chemin, j'ai vu de brillants Falun (roues de la Loi) qui tournoyaient partout sur la route, très colorés et magnifiques ! Je n'arrêtais pas de m'essuyer les yeux, me demandant si j'avais une vision floue. Mon mari m'a demandé pourquoi je n'arrêtais pas de m'essuyer les yeux. Alors je lui ai dit ce que j'ai vu, et il était heureux aussi. Je savais que le Maître était en train de nous encourager !
Traduit de l'anglais au Canada