(Minghui.org) Plusieurs pratiquants discutaient du fait d'avoir ou non un chien de compagnie dans la maison d'un pratiquant où nous étudions ensemble le Fa. Ceux qui s'opposaient à cette idée pensaient que les animaux ne devraient pas être autorisés à écouter le Fa. Ceux qui étaient d'accord pensaient que, puisque la fille du pratiquant, qui n'était pas elle-même pratiquante, voulait élever un chien, nous devions nous conformer à la société ordinaire.
Qui un pratiquant devrait-il écouter ? Qui prend la décision ?
Plusieurs pratiquants locaux ont des animaux de compagnie. Le chien d'une pratiquante a été tué dans un accident de voiture et, au lieu de comprendre l'allusion, elle a acheté un autre chiot. Elle lui donnait de la bonne nourriture, des vêtements, des chaussures et disait toujours à quel point il était intelligent. Lorsque d'autres pratiquants lui ont conseillé de ne pas avoir de chien de compagnie à la maison, son excuse était que sa famille le voulait.
Quand on a posé la question au sujet des petits animaux, le Maître a répondu :
« Il y a des raisons pour lesquelles on ne les tue pas ni ne les élève. Quant à “ne pas tuer”, les pratiquants sont tous clairs sur ce point, “ne pas les élever” il y a deux raisons, une est que quand on cultive et pratique, il est facile pour l’animal d’obtenir des pouvoirs occultes [ling qi]. Il est possible qu’ils fassent beaucoup de mauvaises choses dès qu’ils obtiennent des pouvoirs occultes. En Chine, il y a un adage : “devenir un esprit”. Il n’est pas permis aux animaux de cultiver et pratiquer. Une autre raison est qu’élever ces choses demande beaucoup de soin, cela va être une distraction, y penser est un attachement et affectera le xiulian. Bien sûr, pour les pratiquants, trop aimer les animaux est aussi un attachement. » (Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à Houston)
En tant que pratiquants de Dafa, nous devons suivre les enseignements du Maître pour être appelés « ses disciples » et c'est seulement ainsi que nous pouvons nous assimiler au Fa. Lorsque le régime chinois a lancé la persécution du Falun Gong, les familles de certains pratiquants ne leur ont pas permis de continuer à pratiquer. Est-ce que les pratiquants doivent écouter les non-pratiquants ? Quand il s'agit de cultivation, les pratiquants doivent prendre eux-mêmes la décision.
Traduit de l'anglais en Suisse