(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong de Francfort et des villes environnantes ont monté un stand à la Foire aux livres de Francfort les 16 au 20 octobre 2019 et ont informé les gens à propos de la persécution en Chine.
Ils ont recueilli des signatures pour demander au gouvernement allemand de discuter de la mise en application du « Magnitsky Human Rights Accountability Act » (loi Magnitsky).
Des pratiquants font la démonstration des exercices lors de la Foire aux livres de Francfort.
Les gens signent la pétition condamnant la persécution.
Des pratiquants distribuent des informations à propos du Falun Gong et de la persécution.
Johann signe la pétition pour protester contre la persécution.
C’était la toute première fois que Nicole Juergen entendait parler des prélèvements d’organes à vif perpétrés par le Parti communiste chinois (PCC). Après avoir signé la pétition, elle a ramené son amie Mélanie pour qu’elle la signe également.
« J’ai été si choquée », a dit Nicole, « Ce n’est pas possible ! Alors je suis allée chercher mon amie pour qu’elle signe la pétition. »
« C’est une affaire grave et c’est si triste. Mais dans le même temps, des gens œuvrent pour faire cesser la tragédie. Je suis contente de cette partie positive.
« J’espère que cette question attirera l’attention de ceux qui sont au pouvoir pour permettre à plus de personnes de savoir cela afin de mettre de la pression sur le PCC et d’aider les pratiquants de Falun Gong. »
« La persécution n’a rien à voir avec l’économie »
Anno Deilmann est un conférencier allemand. Il a dit : « Je pense que l’Allemagne et l’Europe devraient exercer une pression plus grande sur le PCC. Quand il y a des pourparlers entre les deux pays, les hauts responsables disent souvent que c’est un sujet très sensible.
« Je pense que ceci est un problème. Les dirigeants devraient poser directement la question au côté chinois. Ceci n’a rien à voir avec l’économie, puisque les affaires sont les affaires. »
Anno Deilmann signe la pétition.
Marie Irimic est membre de l’équipe organisatrice de la Foire. Après avoir signé la pétition, elle a dit : « La liberté de croyance est la liberté la plus précieuse pour une personne. Mais ces pratiquants chinois souffrent terriblement. »
Elle a ravalé ses larmes, s’est arrêtée un instant et a dit : « J’espère que la situation de ceux qui sont en Chine ira en s’améliorant. J’en ai appris beaucoup à la télévision, ils n’ont pas de liberté d’expression et peu d’informations. Ils sont persécutés, et ça, c’est vraiment triste. »
Marie Irimic souhaite aider les Chinois qui sont persécutés.
Traduit de l'anglais