(Minghui.org) Le film documentaire Lettre de Masanjia a été projeté le 23 octobre 2019, dans le Théâtre du Parlement de Nouvelle-Galles-du-Sud. La diffusion était parrainée par M. David Shoebridge, membre du Conseil législatif de Nouvelle-Galles-du-Sud.
Le film Lettre de Masanjia a été nominé pour plusieurs prix internationaux, dont celui du meilleur long-métrage documentaire à la 91e cérémonie des Oscars, et a reçu plusieurs récompenses lors de festivals de films internationaux.
M. Shoebridge a dit qu’il considérait comme un privilège le fait d’accueillir la projection : « Le sujet est très important. Tous les gens dans le monde sont dans l’obligation de faire cesser les violations des droits de l’homme. »
David Shoebridge, membre du Conseil législatif de Nouvelle-Galles-du-Sud, accueille la projection du film documentaire Lettre de Masanjia.
M. Shoebridge a dit que le protagoniste du film, Sun Yi, a fait preuve d’un véritable courage et de persévérance. Vivant sous un régime totalitaire, les militants des droits de l'homme sont parfaitement conscients que leurs actions entraîneront probablement des représailles brutales de la part des autorités et même la mort. Il a trouvé le courage de Sun Yi admirable. Il a également déclaré que le film a offert aux spectateurs une bonne occasion de se demander ce que nous pouvons tous faire pour aider.
M. Shoebridge a dit que les gens ont le devoir de faire part de leurs inquiétudes sur ces questions à leurs élus, qui ont à leur tour l’obligation de s’exprimer au nom du public. Alors que le théâtre était plein à craquer, M. Shoebridge a dit que de nombreuses personnes semblaient déjà préoccupées par la persécution du Falun Gong en Chine. Il a dit que tout le monde devait prêter attention à ces violations des droits de l’homme et que personne ne devrait garder le silence.
Une séance de questions-réponses a été organisée après la projection du film.
Un membre du Conseil municipal de Ku-ring-gai : « Le film montre aux gens comment changer le monde pacifiquement »
Peter Kelly, un membre du conseil de la ville de Ku-ring-gai, parle couramment le mandarin et a vécu et voyagé plusieurs fois en Chine. « Je connaissais très bien le Falun Gong avant de regarder le film », a-t-il dit. « C’est un film puissant. Il montre comment changer pacifiquement le monde. »
Peter Kelly, un membre du conseil municipal de Ku-ring-gai
M. Kelly a dit qu'il serait préférable que tous les Australiens comprennent la nature du Parti communiste chinois (PCC). Il a encouragé les gens partout dans le monde à regarder le film et à partager ce qu'ils ont appris. Il a dit que le film est percutant et qu'il devrait être diffusé largement.
Le dirigeant du Parti Australiaone : « Le communisme est malfaisant, les gens doivent s’y opposer »
Riccardo Bosi, chef du Parti AUSTRALIAONE et ancien lieutenant-colonel des Forces spéciales
Riccardo Bosi, chef du Parti AUSTRALIAONE et ancien lieutenant-colonel des Forces spéciales, a dit qu’il n’était pas surpris que le PCC torture les pratiquants de Falun Gong, parce qu’en Chine les atrocités commises à l’encontre des droits de l’homme sous le régime communiste durent depuis des décennies, et que le PCC a tué des dizaines de millions de Chinois. « Le communisme est malfaisant, les gens doivent s’y opposer », a-t-il dit.
Diffuser la vérité sur la persécution
Sophie York, avocate australienne, chargée de cours universitaire et auteure
Sophie York, une avocate australienne, chargée de cours universitaire et auteure, a assisté à la projection. « C’est une histoire terrible, mais une histoire vraie. Quiconque regarde ce film sera profondément touché », a-t-elle dit. Le protagoniste dans le film, Sun Yi, l’a profondément impressionnée, car elle a senti qu’il était une personne très noble et sincère. Bien qu’il ait souffert énormément, il voulait juste dire la vérité au monde.
Paul Huy Nguyen, président de la Communauté vietnamienne d’Australie, Nouvelle-Galles-du-Sud
Paul Huy Nguyen, président de la Communauté vietnamienne d’Australie de la Nouvelle-Galles-du-Sud,a dit que le gouvernement australien devrait également prendre des mesures pour restreindre la délivrance de visas aux responsables chinois qui sont impliqués dans la persécution du peuple chinois, et à leurs enfants.
« Nous ne saurions trop insister sur ce que le PCC a commis contre ses citoyens au cours des soixante-dix dernières années. Nous devons condamner ces crimes. J'espère que ce film pourra être projeté partout, afin que plus de gens à travers le monde puissent comprendre la nature malfaisante de ce régime », a-t-il dit.
Il a souhaité que le PCC s'effondre et que la Chine puisse restaurer ses droits de l'homme, son état de droit et ses valeurs traditionnelles. C'est aussi l'espoir des gens qui aiment la liberté et les pratiquants de Falun Gong. Il a dit que les gens du monde entier devraient voir Lettre de Masanjia.
Tsundu Oser, président du groupe Jeunesse tibétaine, section de Sydney
Le président du groupe Jeunesse tibétaine, section de Sydney, Tsundu Oser a dit espérer que plus d’Australiens et de gens du monde entier puissent regarder ce film. « Quand vous regarderez ce film, vous saurez que les vies de tous les Chinois sont en péril et à quel point la vie des gens est difficile. »
« J’espère également que plus de gens informeront les médias, les membres du Parlement et les responsables politiques de ce que le gouvernement chinois est en train de faire : torturer et tuer des gens, détruire des vies et briser des familles. »
L’animateur radio Stephen Sim de Sydney
L’animateur radio Stephen Sim a souligné le fait que les échanges commerciaux entre l’Australie et la Chine ne devraient pas empêcher le gouvernement australien de remplir son obligation de condamner les violations des droits l’homme par la Chine.
« Je suis un défenseur de longue date du Falun Gong », a-t-il dit. « Depuis les années 1990, j’ai été consterné par les violations des droits de l’homme en Chine. C’est un film très puissant, touchant et honnête. »
Sally, une spectatrice
Sally, une spectatrice, a souhaité que le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance puisse s’étendre au monde entier.
« Le film est un moyen puissant pour que le plus grand nombre de personnes possible apprenne ces faits. Je pense que ce film peut être présenté dans les écoles et universités », a-t-elle dit.
Traduit de l'anglais