(Minghui.org) J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa parce que je voulais que mes maladies soient guéries. J'avais une maladie cardiaque, de l'hypertension artérielle et de l'œdème lymphatique. À cause de l'état de mon cœur, j'étais incapable de travailler ou de prendre soin de moi. L'hypertension est courante dans ma famille, et quand mon frère a eu 39 ans, il est décédé après avoir souffert d'un accident vasculaire cérébral dû à son hypertension artérielle.
Plus tard, une masse lymphatique s'est développée sur le côté droit de mon cou. La bosse saillante faisait que j'avais du mal à respirer et je me réveillais fréquemment la nuit pour chercher de l'air.
J'ai pris des médicaments chinois comme occidentaux et je suis allée consulter de nombreux médecins. J'ai dépensé beaucoup d'argent, mais rien ne m'a aidé. Puis, en 1998, quelqu'un m'a suggéré d'essayer la pratique du Falun Dafa (aussi appelé Falun Gong).
J'ai trouvé le site local de pratique et j'ai immédiatement commencé à faire les exercices. Au fil des jours, ma santé a commencé à s'améliorer. Quand j'ai fini de lire le livre principal du Falun Dafa, le Zhuan Falun, j'ai compris que Dafa n'était pas pour guérir les maladies. À cette époque, je pensais simplement à faire les choses une petite étape après l'autre, ainsi je ne me cultivais pas de façon proactive.
Une nuit, j'ai fait un rêve au cours duquel j'ai entendu quelqu'un dire : « Ta tête est pleine de cellules cancéreuses. » Le lendemain, mon cuir chevelu était couvert de pustules. Elles étaient très douloureuses, sauf quand j'étudiais le Fa ou que je faisais les exercices.
En cultivant solidement, j'ai éliminé ma « maladie »
J'ai été illégalement arrêtée et détenue au centre de détention du Liaoning en mars 2014. J'avais des symptômes d'accident vasculaire cérébral et ne pouvais pas bouger les mains ni ouvrir la bouche, et mon discours était confus. Ils ont tenté de m'envoyer à l'hôpital, mais j'ai refusé d'y aller parce que je savais que je n'étais pas vraiment malade. Je ressentais que ces symptômes n'étaient que de fausses manifestations, alors j'ai récité le Fa et fais les exercices.
Quand j'ai été transférée dans l'équipe sous surveillance stricte, je leur ai dit que je devais faire les exercices. Ils m'ont laissée, mais se sont arrangés pour qu'une autre pratiquante m'encadre. Au cours du week-end qui a suivi, nous avons récité les trois volumes de Hong Yin ensemble, et ma santé s'est beaucoup améliorée. Puis elle est partie.
Plus tard, le surveillant a demandé aux personnes de service la nuit de me réveiller pour que je ne manque pas les exercices. J'ai pu leur parler de Dafa en même temps et j'ai rapidement éliminé les symptômes de ma « maladie ».
Éliminer mon attachement à l'argent
Le 1er janvier 2018, alors que je rentrais chez moi en marchant, mon corps s'est soudainement courbé et j'ai eu des difficultés à marcher et à monter les escaliers de mon immeuble. Quand je suis arrivée chez moi, je n'ai pas pu tourner la poignée de la porte. À ce moment-là, je me suis souvenue du Fa du Maître :
« Par exemple, quand je donnais mes cours à Changchun, il y avait un homme doué d’une prédisposition excellente, il avait vraiment de l’étoffe et j’avais jeté mon dévolu sur lui. J’ai voulu augmenter ses épreuves pour lui permettre de payer ses dettes au plus vite et de parvenir à la libération du gong, telle était mon intention. Alors un jour, soudainement, il a semblé avoir les symptômes d’une hémorragie cérébrale et s’est effondré, il avait l’impression qu’il ne pouvait plus bouger, que ses quatre membres ne répondaient plus, on l’a envoyé d’urgence à l’hôpital. Peu après, il a pu se lever et marcher. Réfléchissez : après une hémorragie cérébrale, comment pourrait-on se relever et retrouver la mobilité de ses bras et de ses jambes aussi vite ? » (Sixième Leçon, Zhuan Falun)
J'ai pris conscience que tout allait bien chez moi, c'était plutôt une occasion de m'élever. J'ai ignoré mon état et j'ai continué à faire les choses, même si je ne pouvais pas bouger la main comme je le faisais normalement.
En regardant à l'intérieur, j'ai découvert que j'étais attachée à l'argent. Dans le but d'économiser pour que mon enfant puisse aller à l'école, j'avais deux emplois. Je pensais pouvoir suivre le rythme de l'étude du Fa et des exercices, mais j'étais souvent somnolente quand j'étudiais. J'avais pensé à abandonner un des emplois, mais je ne l'avais pas fait.
Le lendemain, je ne pouvais plus rien tenir avec la main droite et la jambe du même côté a commencé à avoir des problèmes aussi. J'ai pensé : « Il est temps de quitter ce travail. »
En me voyant, mon mari a été très inquiet et a téléphoné à tous nos parents. Ma sœur a insisté pour que j'aille à l'hôpital, mais je lui ai dit que ce n'était pas une maladie, j'ai expliqué que c'était arrivé à cause de mes attachements.
Je voulais éliminer l'attachement à la racine et je savais que je devais étudier plus le Fa. J'ai patiemment rappelé à ma sœur qu'avant de commencer la pratique du Falun Dafa, j'avais toutes sortes de maladies, y compris les symptômes d'un accident vasculaire cérébral alors que j'étais au centre de détention, mais j'allais très bien. J'ai dit : « Ne m'emmenez pas à l'hôpital. S'ils m'obligent à prendre des médicaments, je vais vraiment tomber malade. »
Ma sœur a dit qu'elle me donnait trois jours. Si je n'avais pas d'amélioration d'ici là, elle m'emmènerait à l'hôpital d'autorité.
J'ai continué à étudier le Fa et j'ai fait les exercices deux fois par jour. Le lendemain, je pouvais tenir une tasse de la main droite. Dans l'après-midi, je pouvais utiliser ma jambe droite. Mon mari m'a filmée en train de marcher avec aisance et d'utiliser ma main droite. La vidéo a vraiment surpris ma sœur et pour finir, elle a commencé à croire au pouvoir de guérison du Falun Dafa.
Bien que mon mari ait toujours soutenu ma pratique du Falun Dafa, il avait encore des doutes. Mais cette fois-ci il était complètement convaincu. Il a raconté à toutes les personnes qu'il rencontrait mon incroyable histoire.
Nous conduire en tout temps comme des pratiquants
J'ai trouvé un emploi de nettoyage peu de temps après le début de ma pratique du Falun Dafa, qui m'a donné une occasion d'éliminer mon attachement à sauver la face. C'était en 2003, et à cause de l’économie, beaucoup de gens n'arrivaient à trouver que du travail temporaire. Une fille et moi travaillions en équipe de nettoyage, mais au lieu de travailler, elle s’asseyait dehors et fumait pendant que je faisais la plus grande partie du travail. À l'heure du repas, mes collègues de travail se sont précipitées à l'intérieur et ont mangé quasiment toute la nourriture. Quand c'était mon tour, il ne restait presque plus rien. Cela ne me dérangeait pas et je mangeais ce qu'il y avait.
Mes amis et mes voisins parlaient dans mon dos et se demandaient pourquoi je faisais un travail tellement subalterne. Au début, j'ai trouvé leurs critiques difficiles à endurer. Mais alors je me suis souvenue que j'étais une pratiquante et que je devais éliminer mes attachements.
Quand l'économie a continué à décliner, il y a eu moins d'emplois et des gens ont été mis à pied, mais on m'a demandé de rester. Je n'étais pas difficile et faisais tout ce que l'on me demandait. Je m'entendais bien avec les personnes considérées comme « difficiles ».
J'ai aussi travaillé comme nounou pendant dix ans. La famille était connue comme étant difficile et avait congédié cinq gouvernantes en un mois. Le mari était le responsable du service du personnel d'une industrie de pointe. Son épouse était paralysée. Son fils était agent de sécurité et il est devenu plus tard directeur. Leur belle-fille était avocate. Chaque fois que je postulais pour un travail, je disais à ceux qui m'interrogeaient que je pratiquais le Falun Dafa et que j'avais été condamnée par le Parti communiste chinois. J'ai dit au mari que je devais bientôt passer un an dans un centre de détention.
Le mari était toujours prêt à m'engager. Il a dit : « Je sais que les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes. Toute notre famille le sait. Je sais que nous pouvons vous faire confiance. »
Je lui ai dit de me prendre trois jours et de voir s'ils voulaient toujours de moi. Au bout des trois jours, ils m'ont demandé de rester.
Prendre soin de la vieille dame paralysée n'était pas un problème pour moi, parce que je me suis toujours rappelé que j'étais une pratiquante. Tous les jours, je l'aidais à se lever et l'installais à l'extérieur pour prendre l'air. Tout le monde savait que j'étais compatissante et gentille parce que je pratiquais le Falun Dafa.
Dès que la famille a entendu dire que j'avais été libérée du centre de détention, elle a licencié le soignant q'elle avait engagé et a voulu m'employer à nouveau.
Où que nous soyons, nous devons nous comporter en accord avec le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. De cette façon, nous pourrons valider le Fa et les gens sauront que le Falun Dafa est bon.
Traduit de l'anglais en France