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« Nous ne pouvons pas tolérer ces crimes » : Les visiteurs du parvis des droits de l'homme à Paris expriment leur soutien au Falun Dafa

12 février 2019 |   Écrit par un correspondant de Minghui en France

(Minghui.org) Pour célébrer le Nouvel An chinois, les pratiquants de Falun Dafa français ont tenu des activités sur le parvis des droits de l'homme à Paris le 3 février. Malgré le froid de ce jour de février, ils ont présenté les exercices et recueilli des signatures pour condamner les prélèvements d'organes des prisonniers d'opinion en Chine. Ce parvis est une destination principale de la magnifique ville de Paris et de nombreuses personnes se sont arrêtées pour regarder les pratiquants faire les exercices pacifiques du Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) et apprendre les faits de la persécution de cette pratique en Chine.

Les pratiquants font les exercices de Falun Gong sur le parvis des droits de l'homme à Paris

Des touristes s'arrêtent pour lire les panneaux et parler avec les pratiquants de la persécution du Falun Gong en Chine.

Un couple de jeunes mariés signe la pétition contre les prélèvements forcés d'organes en Chine

Attiré par la musique paisible, un couple de jeunes mariés s'est arrêté pour photographier les pratiquants qui faisaient les exercices en arrière-plan. Après quoi ils ont remercié les pratiquants et ont joint leurs mains devant la poitrine en signe de respect. Les deux ont signé la pétition appelant à arrêter les prélèvements d'organes en Chine. Les pratiquants leur ont souhaité d'avoir une famille heureuse et bénie.

« La persécution est très cruelle »

M. Castelli, retraité, a dit qu'il avait entendu parler de la persécution du Falun Gong à la radio, mais ne connaissait pas l'ampleur de cette brutalité. Évoquant le crime perpétré par le Parti communiste chinois (PCC) qui consiste à prélever des organes sur des pratiquants de Falun Dafa vivants, il a dit : « Nous ne pouvons pas tolérer un crime pareil. Nous devons agir et informer plus de gens. La persécution est très cruelle. Nous devrions organiser une campagne mondiale pour la dénoncer. »

Il a souhaité le succès aux pratiquants et a promis de faire suivre l'information sur la persécution à ses amis et à sa famille.

Yohan, un expert en informatique, a dit qu'il n'était pas surpris que le PCC vise les pratiquants de Falun Gong pour les persécuter. Il a dit : « Il [le PCC] a toujours abusé de son pouvoir. Nous devrions tous faire exactement ce que les pratiquants font, c'est à dire dire au monde entier ce qui se passe en Chine. » En se basant sur son expérience, il a suggéré quelques moyens effectifs pour atteindre les gens.

La vétérinaire Aouabir a dit que c'était la première fois qu'elle entendait parler de la persécution. Elle était choquée par les atrocités commises et a félicité les pratiquants pour leur courage dans la diffusion de l'information.

Elisabeth, de Carcassonne, était à Paris pour accompagner sa fille à une école d'infirmière. Elle s'est arrêtée pour regarder les pratiquants démontrer les exercices et apprendre comment le Falun Dafa est persécuté. Elle a dit : « Nous devons faire arrêter la persécution ! Comment peut-on persécuter des êtres humains comme ça ? Les pratiquants font une grande chose en informant les gens sur la persécution. Nous devrions protéger les pratiquants. »

Traduit de l'anglais en Suisse