(Minghui.org) J'ai 82 ans et je pratique le Falun Dafa depuis plus de vingt ans. Les difficultés que j'ai traversées au cours de ma cultivation m'ont rendu plus fort, et ma foi dans le Maître et Dafa est plus ferme que jamais. Je suis très reconnaissant que Dafa m'ait donné une seconde vie.
Au mois d'avril l’année dernière, alors que je rentrais chez moi après avoir passé une journée à clarifier les faits, j'ai trouvé trois policiers qui m'attendaient. Ils m'ont demandé où j'étais allé et ce que j'avais fait.
Malgré leur apparition inattendue, j’ai pris conscience qu'il n'y avait aucune raison de paniquer, puisque le Maître était avec moi.
J'ai dit calmement : « Aujourd'hui, je suis sorti pour faire ce que je devais faire. J'aurais pu mieux faire. J'y retournerai demain. »
Ils voulaient m’emmener au poste de police, mais j’ai refusé de les suivre.
« Ce n’est pas ma place. Je n’irai pas. »
Ils ont demandé pourquoi je refusais d’abandonner la pratique du Falun Gong.
« Sans le Falun Gong dans ma vie, il y a longtemps que je serais mort », ai-je dit.
J'ai commencé à émettre la pensée droite afin d'essayer d'éliminer la perversité. Quelques instants plus tard, les policiers ont dit qu'ils reviendraient le lendemain et ils sont repartis.
Je me suis tout de suite dit : « D'accord. Si vous revenez, je vous dirai encore une fois les faits concernant le Falun Dafa. Je veux vous sauver ! » Ils ne sont jamais revenus.
Une autre rencontre avec des fonctionnaires a eu lieu l'automne dernier lorsque je suis allé à l'hôpital pour rendre visite à ma belle-fille. Plusieurs policiers se sont présentés et m'ont dit qu'ils m'avaient vu afficher des dépliants à propos du Falun Gong sur le système public de surveillance vidéo. Ils m'ont demandé de les accompagner.
« Le Falun Gong est le meilleur », ai-je dit. « Il apprend aux gens à se conformer à Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je veux que plus de gens connaissent une si bonne chose ! »
J'ai refusé de partir. Ils m'ont soulevé et m'ont sorti de l'hôpital. J'ai dit que je n'irais pas avec eux.
« Votre voiture ne bougera pas ! » ai-je dit.
Effectivement, ils n'ont pas pu démarrer la voiture. Ils ont appelé un taxi pour m'emmener au poste de police. Je récitais Hong Yin du Maître en silence. Je n'avais pas peur d'eux.
Nous sommes arrivés au poste de police vers 11 heures. Ils m'ont demandé à plusieurs reprises qui avait fait les tracts et où je les avais obtenus. J'avais pitié d'eux. Ils étaient complètement inconscients du sort terrible qui les attendait !
J'ai répondu : « Je ne peux pas le dire. Vous allez faire de mauvaises choses et ce sera un préjudice pour vous. »
Ils ont arrêté de m'interroger vers le milieu de l'après-midi. Un des agents a noté « Pas d'aveux ». Ils m'ont dit de signer le papier, mais j'ai refusé. Ils ont ensuite pris une aiguille pour prélever un échantillon de mon sang. Je leur ai dit que je ne les laisserais pas faire, même s'ils me mettaient un couteau sous la gorge.
Ils m'ont supplié : « Pourriez-vous afficher vos dépliants ailleurs… pas dans la zone que nous sommes chargés de surveiller ? »
J'ai dit : « Afficher des dépliants ici apporte des bénédictions à cette région ! Je veux que plus de gens soient au courant de cette bonne nouvelle. N'est-ce pas bien pour tout le monde de recevoir des bénédictions ?
« Le Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » me suis-je exclamé.
Les policiers présents dans la salle ont répété les phrases après moi. Ma compassion avait touché tout le monde dans la pièce. Avec la protection du Maître, je suis rentré chez moi sain et sauf.
Je suis si reconnaissant envers le Maître ! La vertu majestueuse du Maître a sauvé ces gens de vies autrement pitoyables ! Ceci sert à montrer que devant un pratiquant de Falun Dafa, les vies contrôlées par le mal n'ont aucun pouvoir.
Le Maître a dit :
« Quand tu fais face à une tribulation, cette immense compassion t'aidera à la surmonter. En même temps, mes corps de Loi veilleront sur toi et protégeront ta vie, mais tu devras quand même passer l'épreuve. » (Troisième Leçon, Falun Gong)
Je comprends que face à une épreuve, nous devons garder l'esprit clair. Nous devons suivre le Fa et non avoir l'état d'esprit d'une personne ordinaire. Si notre cœur est troublé, la perversité saisira l’opportunité.
« La compassion est une énergie énorme, l'énergie des dieux justes. Plus il y a de compassion, plus cette énergie devient grande, et plus elle peut désintégrer tout ce qui est mauvais. » (« Enseignement de la Loi à la conférence internationale de Loi de Washington DC 2009 », Enseignement du Fa dans les conférences IX)
Le plus important est de croire dans le Maître et de croire en Dafa. Nous devons faire preuve de compassion pour bien agir et sauver les gens. Lorsque nous sommes emplis de compassion, les situations vont rapidement changer pour le meilleur.
Je suis profondément honoré d'être un pratiquant de Falun Dafa. Je suivrai le chemin que le Maître a arrangé pour moi et retournerai là d’où je viens.
Traduit de l'anglais en Europe