Falun Dafa Minghui.org www.minghui.org IMPRIMER

Le Maître m'a tant aidée

29 mars 2019 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) J'ai 63 ans et je suis retraitée. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa le 12 avril 1996, alors que je cherchais un remède pour la maladie de mon mari. Je veux partager quelques-unes de mes expériences de cultivation, que je dédie à la grandeur du Maître [Li Hongzhi].

Une maladie éliminée sans traitement

Avant de me coucher une nuit d'août 2007, j'ai trouvé un bouton rouge sous mon bras. Il m'a démangé dans la journée et m'a démangé la nuit de façon insupportable. Plus je le grattais plus il me démangeait.

Le lendemain, environ 70 % de mon corps était couvert de boutons rouges et le troisième jour, il n'y avait aucun endroit non touché. Mon corps était enflé et je pouvais à peine ouvrir les yeux. J'avais du mal à manger et à utiliser les toilettes, mais je n'ai jamais reconnu la maladie.

J'ai commencé à écouter les enseignements du Maître, mais je n'entendais pas bien comme mes oreilles étaient enflées. J'ai donc décidé de réciter le Fa.

Le Maître a dit :

« Cependant, pour quelqu’un qui cultive et pratique véritablement, si vous avez un corps malade, vous ne parviendrez pas à cultiver et pratiquer. Je dois purifier votre corps. Cette purification du corps ne concerne que ceux qui sont vraiment là pour apprendre la méthode, qui sont vraiment là pour étudier la Loi. Nous insistons sur un point : si vous ne pouvez pas vous débarrasser de cette préoccupation et mettre de côté votre maladie, nous ne pourrons rien faire, dans votre cas nous serons incapables de faire quoi que ce soit. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

J'ai répété sans arrêt ce paragraphe.

Mon mari et mon fils m'ont poussée à aller à l’hôpital, mais j'ai refusé et je leur ai dit que j'irais bien dans quelques jours.

Mon fils craignait le pire, je l'ai donc rassuré que l'hypothèse du pire n'existe jamais. J'avais le Maître et le Fa, ainsi que mes compagnons de cultivation, qui m'aidaient.

Ma famille n'a vu aucun signe d'amélioration le quatrième jour, je me roulais sur le lit, en me grattant constamment, un liquide jaune et du sang salissant les draps.

Une de mes sœurs a essayé de me persuader d'aller à l’hôpital, j'étais très faible, mais mon esprit était clair, je lui ai dit d'une voix faible : « Tout ira bien, car le Maître veille sur moi. »

À moitié endormie le cinquième jour, j'ai entendu le bruit du vent qui soufflait de ma tête jusqu'aux pieds. Je me suis réveillée et j'ai senti que mon corps était grandement soulagé, et j'ai pu manger. Je savais clairement que c'était notre Maître bienveillant qui avait fait cela.

Les membres de ma famille ont été témoins du revirement de la situation et ont remercié le Maître, les larmes aux yeux. J'étais complètement rétablie le huitième jour et je suis sortie pour parler du Falun Dafa et de la persécution aux gens.

Améliorer mon caractère moral

Je suis femme au foyer pour une famille de cinq personnes. Mon mari est gravement malade depuis de nombreuses années et ne peut pas prendre soin de lui-même. Je dois aussi emmener mon petit-fils à l'école et aller le chercher à la fin de la journée. Je dois faire les trois choses que nous devons bien faire, il est donc important de bien équilibrer la vie de famille et la cultivation.

Un jour, mon mari m'a appelée, mais je ne l'ai pas entendu car j'étais en train de préparer le repas dans la cuisine. Finalement, je l'ai entendu crier. Quand je suis rentrée, il m'a giflée. À ce moment-là, j'ai ressenti plusieurs émotions : je travaillais si dur et il me criait après et me frappait. Je me suis calmée, je me suis tournée vers mon mari et lui ai dit : « Veux-tu me gifler l'autre joue ? »

Il ne l'a pas fait.

Je lui ai dit qu'il ne devrait pas se mettre en colère aussi facilement, car ce n'était pas bon pour sa santé. Je lui ai également dit que si je ne pratiquais pas le Falun Dafa, je l'aurais frappé en retour. Mais je ne l'ai pas fait, car j'aspire à me comporter comme le Maître nous l'enseigne.

Je lui ai dit : « Tu ne devrais pas être aussi égoïste et faire ce que tu veux. Ne peux-tu pas te mettre à la place des autres et être un peu plus attentionné ? »

Il a acquiescé en hochant la tête alors que des larmes coulaient sur son visage. Il paraissait désolé pour ce qu'il avait fait.

Une autre fois, je revenais des courses. Mais avant d'ouvrir la porte, j'ai entendu mon fils et sa femme se disputer fortement.

Quand je suis rentrée, mon fils a montré sa femme du doigt et a dit : « Maman, elle dit du mal de toi depuis un moment, je devrais la frapper. »

« Comment oserais-tu la frapper ! » ai-je répondu. « Je suis sûre que tu as dit du mal de sa famille aussi. »

Mon fils s'est mis très en colère. Il a pris un balai et l'a jeté sur sa femme. Cela s'est passé si vite que je n'ai pas eu le temps d'attraper le balai, donc je me suis mise devant le balai. Il a frappé fortement mon épaule.

Mon fils et sa femme étaient choqués et ont crié, presque simultanément, « Maman, es-tu blessée ? »

J'ai répondu : « Ce n'est pas grave. Ne refais pas cela. Toi [mon fils], tu devrais contrôler ton caractère. Communiquez mieux et plus souvent, et trouvez calmement une solution à vos différents. »

Quelques jours plus tard, ma belle-fille m'a acheté une nouvelle robe très cher : « Maman, elle est pour toi », a-t-elle dit. Alors que je la prenais, elle a ajouté : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Nous avons souri toutes les deux.

Demander de l'aide au Maître

En 2005, je suis sortie pour distribuer des documents sur le Falun Dafa. Je me suis arrêtée devant un bâtiment, je suis descendue de mon vélo et j'ai pris mon sac. Alors que j'ouvrais la porte, un homme descendait les escaliers. Il avait un regard hostile, donc je ne lui ai pas dit bonjour et il a demandé : « Que faites-vous là ? »

« Je monte », ai-je dit en indiquant vers le haut. Il a pris mon sac et tous les documents sont tombés. Il a crié : « Falun Gong ! Je vais vous emmener au poste de police. Vous n'avez pas l'air de quelqu'un qui habite ici. »

J'ai calmé mon cœur et je l'ai regardé en émettant la pensée droite pour éliminer les forces anciennes qui le contrôlaient dans d'autres dimensions. Dans mon esprit, j'ai alors demandé au Maître de m'aider. J'ai dit au Maître que je refusais d'aller au poste, car j'avais besoin de sauver les êtres et je l'ai prié de renforcer ma pensée droite.

J'ai calmement dit à l'homme : « Comment savez-vous que je ne suis pas invitée par quelqu'un qui habite ici ? Je crois que vous avez un bon cœur et vous serez béni si vous faites des choses bienveillantes. Si vous m'emmenez au poste de police, cela va revenir vous hanter. Le Falun Gong n'est pas ce que le Parti communiste chinois en dit. Notre Maître enseigne simplement aux gens à être bons. »

Alors que je parlais, plus d'une vingtaine de personnes s'est rassemblée à l'extérieur du bâtiment pour voir d'où venait toute cette agitation. Je ne me suis pas arrêtée de parler et j'ai parlé à tout le monde de ce qu'était vraiment le Falun Gong. Je leur ai dit que tout était dans les documents que je leur avais apportés à lire.

L'homme qui au début avait eu l'intention de m'emmener au poste de police est devenu silencieux. Cependant, deux autres sont venus et ont pris mon bras et mon sac. J'ai parlé fort : « Ne me touchez pas ! Je n'ai pas peur. Mais est-ce vraiment juste que deux hommes attrapent une femme âgée ? »

Un septuagénaire est sorti de la foule et a dit : « Le Falun Gong ! Ils ne font rien de mal. Pourquoi voulez-vous l'emmener au poste de police ? Ne nous mêlons pas de cela. Personne ne veut de problèmes n'est-ce pas ? »

Les deux hommes m'ont laissée partir. J'ai ramassé les documents et j'ai demandé : « Est-ce que quelqu'un veut lire ces documents ? » Le septuagénaire en a demandé un et a commencé à le lire. D'autres ont aussi demandé des documents.

Je suis sincèrement reconnaissante pour ce que cet homme a fait pour m'aider.

Sur le chemin du retour, j'ai remercié le Maître de m'avoir protégée en envoyant cette personne pour m'aider.

J'ai regardé à l'intérieur pour trouver mes lacunes.

Dans le passé, je saluais toujours les gens qui passaient, peu importe qui ils étaient, et tout se passait bien. Cette fois-ci, cependant, j'ai ignoré l'homme qui descendait les escaliers pour la simple raison que je trouvais qu'il n'avait pas l'air aimable. C'était ma faute.

Le Maître a dit que les disciples de Dafa n'ont aucun ennemi. Si je fais bien, ce genre d’incidents n'arrivera plus.

Traduit de l'anglais en France