(Minghui.org) J'ai commencé à clarifier la vérité au sujet du Falun Dafa en 2005 partout où je me rendais, que ce soit dans la rue, au supermarché, au marché local, au marché de gros ou au parc.
Apprécier les difficultés
Au cours des dernières années, j'ai clarifié la vérité tous les jours, sauf l'après-midi pendant l'été quand il faisait vraiment chaud à l'extérieur. Je marchais partout, comme les moines ascétiques qui marchent partout.
Un été, je me rendais tous les jours dans un parc voisin pour clarifier la vérité. Le parc est seulement à un peu plus d'un kilomètre et demi de mon domicile et j'avais avec moi un gros sac rempli de documents d'information de Dafa.
Il faisait vraiment chaud dehors et quand je suis rentré chez moi, j'étais couvert de sueur. Je devais prendre une douche après, mais je n'avais pas l'impression que j'avais enduré des difficultés. Chaque fois que je me rappelle que je suis un pratiquant de Falun Dafa avec la mission de parler aux gens de cette méthode de cultivation et pratique, je me sens revigoré. J'ai souvent dit à d'autres pratiquants : « Cette difficulté n'est rien, comparée à celle de Milarepa (le fondateur de la secte blanche du bouddhisme tibétain). »
Une fois, j’ai marché le long de la route et distribué des documents à chaque passant. J'ai également clarifié la vérité à chacun d'eux jusqu'à midi. Après m'être reposé un peu, avoir mangé de la nourriture, bu de l'eau et émis la pensée droite, j'ai fait demi-tour et je suis rentré.
Aider les autres pratiquants
Après la formation de notre étude collective du Fa, un seul pratiquant parmi nous est sorti et a clarifié la vérité aux gens face à face.
J'ai discuté de ce sujet avec les pratiquants de nombreuses fois et je les ai même aidés à sortir et clarifier la vérité. Ils sont passés d'avoir peur et ne pas savoir comment clarifier la vérité à vouloir parler et savoir quoi dire. Maintenant, notre groupe d'étude collective du Fa compte cinq à six pratiquants qui peuvent clarifier la vérité de manière autonome.
« C’est bien si tu parles », ai-je dit, « ou si tu distribues simplement des documents. »
J'ai poursuivi : « Vous ne pouvez pas quitter le monde humain avec des regrets. Lorsque vous retournerez au ciel et qu'on vous demandera ce que vous avez fait pour aider le Maître à rectifier le Fa, vous aurez beaucoup de regrets, parce que vous n'avez rien fait. »
« Pour quelqu'un qui ne sait pas quoi dire, vous pouvez commencer par distribuer des documents. Quand les gens verront le dépliant, ils comprendront ce qu'est Dafa. »
Un pratiquant âgé n'avait jamais distribué de dépliants ni travaillé sur un projet de Dafa. Cependant, après de nombreuses discussions, le pratiquant âgé était disposé à distribuer des documents de Dafa.
Faire les choses d'une manière ouverte et digne
Quand un pratiquant et moi sommes allés poser des affiches plus grandes, nous avons décidé de l’accrocher à un poteau électrique, parce que nous pensions que ce serait un excellent endroit.
Juste au moment où nous allions la poser, une voiture s'est arrêtée et le chauffeur a baissé la vitre. Les mots sur l'affiche étaient vraiment grands et il a vu clairement que c'était le Falun Dafa.
Il a dit : « C'est (le Falun Dafa) autorisé en public maintenant, n'est-ce pas ! » J'ai répondu en souriant : « Nous avons toujours été ouverts au public. »
Je n'ai jamais choisi à qui je devais parler. Parce que je ne veux manquer personne, j'ai toujours deux ou trois brochures prêtes à portée de main. Le pratiquant qui m'accompagnait me demandait de les mettre dans le sac, pour qu'il ne soit pas évident que nous les distribuions, mais je n'ai pas changé ma méthode.
Être déterminé
J'ai connu beaucoup d'expériences émouvantes en distribuant les documents. Cette année, dans un marché de gros, j'ai rencontré un homme dans la trentaine, attendant sur le bord de la route.
Je lui ai parlé de Dafa, mais il ne voulait pas écouter. Il a dit que ça ne le dérangeait pas d'aller en enfer et il s'est détourné de moi. J'ai dit : « Jeune homme, comment peux-tu dire une chose pareille ? Il y a un chemin vers le ciel et tu regardes ailleurs, tu préfères regarder vers l'enfer. »
J'ai continué : « Si tu n'avais pas dit cela, je t'aurais laissé tranquille. Mais je ne peux pas te laisser seul maintenant, pas après ce que tu viens de dire : je dois te faire changer d'avis. »
Puis, j'ai parlé de la façon dont le régime communiste persécute les gens qui croient à Authenticité-Bienveillance-Tolérance. J'ai parlé de la torture et des meurtres des pratiquants pour leurs organes, et de la façon dont les gens pratiquent Dafa dans plus d'une centaine de pays.
À la fin, il a démissionné du Parti et m'a remercié pour ma gentillesse.
Traduit de l’anglais au Canada