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Grandir sous la protection miséricordieuse du Maître

2 mai 2019 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Mongolie intérieure, Chine

(Minghui.org) J’ai 21 ans et je pratique le Falun Dafa depuis 21 ans. J’ai grandi sous la protection miséricordieuse du Maître. Cela a été un parcours en douceur sur le chemin arrangé par le Maître. Me sentant extrêmement privilégiée, je souhaite raconter quelques histoires pour exprimer ma gratitude envers le Maître et Dafa.

Apprendre le Fa en tant que bébé, je n’ai jamais regardé en arrière

J’ai peu de souvenirs de mon enfance. Au plus loin que je puisse me rappeler, mon esprit était rempli de Dafa. J’ai entendu ma mère et d’autres personnes dire que j’étais très bien élevée. Lorsque j’ai appris à marcher, alors que les pratiquants faisaient les exercices debout, je marchais autour d’eux tranquillement. Je me tenais à la jambe d’un adulte et jouais seule un moment, puis j'allais étreindre la jambe d’un autre adulte. Je ne causais aucune perturbation. Ma mère m’emmenait pour afficher les documents informatifs à travers la ville et je récitais les formules pour l’émission de la pensée droite et mon esprit était également rempli de cela. À la maison, maman m’enseignait les poèmes de Hong Yin tandis qu’elle faisait le ménage. Je la suivais sans savoir ce qu’ils signifiaient, mais je n’ajoutais aucune de mes pensées aux poèmes. Jusqu’à présent, lors des trajets en bus ou en attendant de monter dans le bus, j’ai récité intérieurement les poèmes. Faisant ainsi, j’ai progressivement compris la magnificence du Maître et les pensées et le soin qu’il met dans le salut des êtres.

En grandissant, je pouvais étudier les enseignements du Fa avec maman et papa. Quand j’ai participé à un groupe d’étude quotidienne, j’avais déjà lu de nombreuses fois le Zhuan Falun. À ce moment-là, mon professeur de langues nous assignait beaucoup de devoirs. Je n’ai jamais accordé beaucoup d’attention à ces assignations, mais j’ai toujours eu de bonnes notes, car j’étudiais le Fa depuis mon plus jeune âge. Mes professeurs faisaient mon éloge et demandaient à mes camarades de me prendre comme exemple. Je pensais que j’étais intelligente alors, mais j’ai pris conscience que c’était parce que j’avais lu le Zhuan Falun depuis ma petite enfance. J’ai développé la capacité de lire n’importe quel article couramment et exactement dès le premier regard.

Après que mes parents ont été pris dans une rafle de la perversité, ma mère n’est pas rentrée à la maison pendant longtemps. Je ne pouvais dormir qu’en tenant la photo de ma mère quand elle me manquait. Quand je regardais le Gala mondial du Nouvel An chinois de NTDTV, je ne voulais pas regarder le programme sur la façon dont les pratiquants étaient persécutés. Les larmes ruisselaient sur mon visage. Mon père n’était pas de bonne humeur durant cette période. Au cours de l’hiver, quand je rentrais de l’école, il faisait sombre. Je pleurais de tout mon cœur sur le chemin de la maison et mon masque gelait avec mes larmes et collait à mon visage. Dès que j’arrivais à la maison, je posais mon sac à dos, je me lavais le visage et m’asseyais souriante avec mon père en lui racontant comme je m’étais bien amusée à l’école.

Mes notes en ont beaucoup pâti. Chaque fois que mon oncle (le frère de ma mère) me voyait, il était très en colère. Il disait : « Cette vie parfaite d’enfant a été ruinée par ses parents ! » Je n'accordais pas beaucoup d'attention à ce qu’il disait. Chaque fois que je parlais de ma mère à d’autres, j’étais si fière. Je ne manquais de rien dans ma famille. Les autres parents disaient que j’étais une bonne fille d’une famille heureuse et bien éduquée. Même mes amis qui connaissaient ma situation disaient : « Ta mère est une héroïne ! »

En suivant véritablement Dafa, mon intelligence et ma sagesse ont été déverrouillées

Très vite, j’ai atteint l’âge de préparer l’examen national de fin d’études. Je n’avais pas eu de bonnes notes depuis l’école élémentaire. Il n’était pas rare d’avoir une note à un seul chiffre à mes examens de math. Donc, j’étais un peu inquiète et j’ai demandé à mon père de chercher un professeur de mathématiques pour me donner des cours particuliers. J’y allais tous les soirs. Il ne m’enseignait rien, il me donnait seulement des problèmes à résoudre tandis qu’il faisait la sieste. Je l’ai fait durant une semaine, mais je n’ai pas pu le tolérer davantage. Parfois, je sortais pour m’amuser pendant que mon professeur somnolait. Par la suite, je n’y suis plus retournée. Je lui remettais juste un devoir pour qu'il le regarde. Quand il a été temps de passer l'examen, j'y suis allée avec un esprit calme, car je connaissais mon niveau.

Je veux ajouter qu’en grandissant, chaque fois que j’avais des problèmes, je pensais au Maître et à Dafa. J’offrais de l’encens au Maître et lui demandais son aide pour déverrouiller mon intelligence et ma sagesse. Je m’inclinais devant lui, en répétant : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Je me suis rendue sur le lieu de l’examen. Quand j’ai eu les feuilles d’examen, je leur ai parlé dans mon esprit : Je suis une pratiquante de Falun Dafa. S’il vous plaît, aidez-moi. S’il vous plaît, dites Falun Dafa est bon et assimilez-vous à Dafa. Quand j’ai eu les résultats, j’ai été choquée – j’avais les meilleures notes de mes trois années d’enseignement secondaire et mes notes en mathématiques étaient meilleures que celles obtenues en langue, ma matière la plus forte.

Je n'avais pas réalisé à quel point j'étais chanceuse jusqu'à ce qu'ils annoncent le seuil pour les programmes menant à un diplôme. J'étais trois points au-dessus. Je pouvais aller directement à l'université si je le voulais. Je n'aurais jamais imaginé pouvoir y arriver.

Au moment des examens de fin d’études, mon père a été kidnappé à nouveau. C’était mon père qui m’aidait à choisir l’université dans laquelle je voulais aller. Sans lui, je ne savais pas quelle université choisir. Donc, j’ai juste choisi celle se trouvant dans une ville que j’aimais. Il y avait beaucoup de compétition, car c'était une bonne université. Il y avait seulement 20 places et nous étions 30 à postuler et j’avais les notes les plus basses. Mais je refusais d’abandonner bien qu’étant très anxieuse. J’ai attendu et attendu, sollicitant l’aide du Maître. Miraculeusement, je suis devenue la 20e étudiante acceptée. J’avais des larmes de joie dans les yeux, sachant que j’avais été acceptée dans mon université favorite.

Grandir en élevant constamment mon caractère

À l’université, j’ai continué à étudier le Fa et à faire les exercices chaque fois que c’était possible. J'ai informé ma camarade de chambre et mes amis à propos de Dafa. Ils ont tous démissionné du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Je m’en tenais au critère des disciples de Falun Dafa tandis que je marchais résolument sur le chemin arrangé par le Maître. Je m’entendais bien avec ma camarade de chambre, car je la traitais avec bonté, comme le doit un pratiquant. Influencée par moi, elle traitait aussi les autres avec tolérance.

Trois ans plus tard, tout le monde autour de moi faisait des demandes de stages. J’ai fait de même, mais sans y être attachée. J’ai travaillé sur mon CV et l’ai envoyé en ligne. Avant de commencer l’université, j’ai passé un entretien dans une grande entreprise et j’étais partagée sur la question de m’y rendre ou pas. Ma mère m’a rappelé de prendre les choses comme elles venaient et que si elles m’appartenaient, je les obtiendrais. Après la conversation avec ma mère, j’ai décidé d’aller plutôt dans une haute école.

Après avoir envoyé mon CV, j’ai été contactée par le département des ressources humaines d’une société renommée et j’ai eu un entretien. J’ai compris qu'il était difficile d’être embauchée par cette société, alors j’ai sollicité l’avis de nombre de mes aînés et j’ai aussi questionné ceux qui avaient échoué aux entretiens d’embauche. Cela semblait vraiment difficile alors j'ai passé beaucoup de temps pour m'y préparer et j'étais très stressée. Quand je me suis rendue à l’entretien, les examinateurs étaient très gentils. Ils ne m’ont posé aucune des questions auxquelles je m’étais préparée. À la place, ils m’ont demandé comment bien s’entendre avec les autres et si je comprenais les personnes autour de moi. J’ai répondu que la clé pour bien s’entendre avec les autres est de les traiter avec gentillesse et que ce que je connaissais des gens autour de moi était ce qu’ils voulaient que je voie. Mon entretien s’est terminé sur une note très légère. Peu après la fin de l’entretien, j’ai reçu un appel téléphonique du département des ressources humaines me disant que j’étais embauchée.

C’était une si belle surprise ! J’avais été acceptée à mon université favorite en dépit de mes performances scolaires médiocres et maintenant j’obtenais l'emploi de mes rêves ! Quelques jours plus tard, une de mes amies ayant entendu parler de mon expérience a également postulé pour la même société. Quand elle est sortie de l’entretien, elle m’a appelée et m’a dit combien cela avait été difficile et qu’en raison d’une petite erreur, elle avait échoué à l’entretien. Elle m’a répété à plusieurs reprises que la société était très stricte.

Je sais qu’à tous les points déterminants, j’ai avancé facilement avec la protection du Maître. J’ai pris conscience de la chance que j’avais d’être une pratiquante de Dafa.

En comparaison avec les autres jeunes personnes, la seule différence est que j’ai la protection du Maître. En raison de Dafa, ma vie a pris un chemin différent. Je bénéficie du pouvoir de Dafa et de la protection du Maître. En conséquence, peu importe où je suis, bon ou mauvais, je me sens chanceuse et heureuse. J’espère que tous puissent reconnaître la beauté du Falun Dafa et être aussi heureux, en bonne santé et aussi chanceux que je le suis.

Merci, Maître.

Traduit de l'anglais en Europe