(Minghui.org) Je suis une enseignante de 58 ans et je travaille dans une école spécialisée qui prend soin des enfants qui ont des déficiences mentales ou physiques. J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997 et au fil des années, j'ai rencontré beaucoup de choses incroyables.
Réciter « Falun Dafa est bon » nous a aidés à ramener une grand-mère et son petit-fils chez eux en toute sécurité
Pendant l'hiver 2015, nous avons eu une grosse tempête de neige. Notre région a été enterrée sous plus de 30 centimètres de neige. Tous les services de transport en commun ont été suspendus.
Nos élèves vivent habituellement sur le campus et retournent chez eux pour passer du temps avec leurs familles une fin de semaine sur deux. L'énorme tempête de neige a coïncidé avec le week-end de relâche des élèves. Le samedi matin, nous avons été contactés par le directeur et il nous a dit que l'école serait fermée le lundi. Il a demandé aux enseignants d'informer leurs élèves de la fermeture, en attendant d'autres informations sur la date exacte de réouverture.
Mon mari travaille également à l'école. À 15 h le lundi, notre directeur l'a appelé et lui a dit que le gardien de l'école était tombé sur Li Zhimou (pseudonyme), un élève de 11 ans de ma classe, qui était venu à pied à l'école accompagné par sa grand-mère. Ils avaient marché plus de dix kilomètres et cela leur avait pris plus de six heures à cause du froid mordant et des routes glacées. Le gardien leur avait donné de la nourriture, ensuite la grand-mère et l'écolier étaient repartis sur le chemin du retour. Le directeur nous a demandé d'essayer de contacter des proches qui pourraient les ramener chez eux avant qu'il ne fasse trop noir.
Les parents de Li Zhimou étaient tous les deux décédés quand il était jeune. Le garçon avait été élevé par ses grands-parents qui avaient tous les deux plus de soixante-dix ans. En plus de sa déficience mentale, Zhimou avait une santé fragile, incluant un problème cardiaque et de l'épilepsie. Sa famille vivait dans une extrême pauvreté et nous aidions l'enfant chaque fois que nous le pouvions, en lui achetant par exemple des chaussures et des vêtements.
J'ai appelé au domicile de l'enfant et j'ai réussi à parler à son grand-père qui a dit : « L'enseignant m'a informé qu'il n'y aurait pas de cours le lundi. Je n'ai pas pensé à leur dire, car les conditions météo sont si mauvaises. Aucune personne saine d'esprit ne s'aventurerait dehors. Je ne m'attendais pas à ce qu'ils partent sans que je le sache. Je vais demander à l'oncle de Zhimou de les ramener à la maison. » J'ai immédiatement dit : « L'oncle n'a pas de voiture et aura aussi à marcher. Ne le dérangez pas. Nous trouverons une autre façon de les ramener à la maison rapidement et en toute sécurité. »
Mon mari est un conducteur expérimenté, alors je lui ai demandé de l'aide. C'est une personne gentille qui aide ceux qui sont dans le besoin. Je lui ai parlé de la situation et j'ai dit : « Si tu es prêt à conduire, nous pouvons les ramener à leur domicile. Le soleil se couche et la température chute. Ils peuvent ne pas être capables de rentrer chez eux dans ces conditions. Bien que les routes soient glissantes, nous aurons la protection du Maître. Rien ne nous arrivera. » Alors que mon mari mettait son manteau, je me suis tournée vers la photo du Maître et lui ai demandé en silence sa bénédiction.
Nous nous sommes lentement frayé un chemin sur les routes glacées et désertes et avons finalement trouvé la grand-mère et son petit-fils luttant dans la neige épaisse à deux kilomètres de l'école. Leurs vêtements étaient couverts de cristaux de glace et leurs visages étaient rouges.
Nous les avons rapidement fait monter dans la voiture. La grand-mère de Zhimou était débordante de gratitude et nous a abondamment remerciés à plusieurs reprises. Elle a expliqué : « Li Zhimou était déterminé à ne manquer aucun cours. Il a délibérément évité son grand-père, car il avait peur qu'il ne l'empêche de venir. » Je lui ai dit : « Vous n'avez pas à nous remercier. Je suis une pratiquante de Falun Dafa et nous ne faisons que suivre les principes enseignés par notre Maître. » La grand-mère de Zhimou a dit qu'elle comprenait : « Vous êtes une si bonne personne. Le Falun Dafa doit certainement être bon. »
Je leur ai dit : « La route n'est pas sûre. Disons tous : “Falun Dafa est bon !”, “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !” Le Maître nous guidera en toute sécurité jusqu'à la maison. » Chaque fois que Zhimou était distrait et arrêtait de réciter, sa grand-mère l'encourageait à continuer. Nous avons rencontré une route escarpée et recouverte de glace. Malgré la difficulté, nous sommes arrivés en haut en douceur, tout en récitant « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Nous avons reconduit Zhimou et sa grand-mère chez eux en toute sécurité. La famille nous a abondamment remerciés alors que nous partions. Ils ont tous dit : « Merci ! Merci au Maître du Falun Dafa ! »
Notre voyage de retour a été beaucoup plus facile, car beaucoup de routes avaient été dégelées et déneigées entre-temps. J'ai remercié le Maître pour sa protection divine.
« Le Falun Dafa est tellement incroyable ! »
Le 10 septembre 2018, au début de notre nouvelle année scolaire, plusieurs nouveaux élèves se sont inscrits dans notre école. J'étais au bureau ce matin-là lorsque j'ai vu un garçon de 10 ans et sa grand-mère entrer. L'enfant, nommé Liu Yongqiang (pseudonyme) vivait à la campagne, à 25 kilomètres de l'école. Ses parents étaient tous les deux handicapés et le garçon vivait avec sa grand-mère.
Dès que Yongqiang est entré dans notre bureau, il a commencé à tout regarder autour de lui et à toucher fébrilement les choses, ignorant sa grand-mère qui le suppliait d'arrêter. Le comportement agité de l'enfant, comparable à un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH), a capté mon attention. Sa grand-mère a dit au personnel : « Cet enfant ne connaît pas la signification de la peur. Il s'aventure parfois loin de la maison et ne revient pas avant la nuit. Il est incapable de s'exprimer clairement. Nous avons essayé de l'inscrire à l'école maternelle et à l'école élémentaire de sa ville natale, mais chaque fois, il a été renvoyé chez lui. »
Cet après-midi-là, l'enseignant responsable de surveiller les élèves s'est exclamé : « Est-ce que quelqu'un a vu l'élève Liu Yongqiang ? Il n'est pas ici. Est-il retourné chez lui avec sa grand-mère ? » Le directeur a immédiatement contacté la grand-mère de Liu Yongqiang. « Est-ce que votre petit-fils est avec vous ? » Elle a répondu : « Non ». L'enseignant qui avait la charge de la classe de l'enfant nous a aussi dit : « J'ai remarqué que l'enfant suivait de près sa grand-mère. Je ne suis pas certain du moment où sa grand-mère est partie, mais je suis certain qu'elle ne m'a pas laissé l'enfant. »
Quand nous avons demandé à notre gardien, il a dit : « La caméra ne fonctionne pas. L'enfant peut s'être glissé dehors et avoir suivi sa grand-mère jusqu'à la maison. » Le directeur a dit anxieusement : « Essayons de le trouver ! » Nous nous sommes séparés et avons commencé à chercher.
Notre école est située au milieu d'une zone résidentielle densément peuplée, entourée de tous côtés par de grandes routes et une circulation intense.
Mes collègues se sont dispersés dans toutes les directions pour chercher l'élève manquant. Certains ont pris leurs vélos électriques, alors que d'autres ont commencé à chercher à pied. À ce stade, Liu Yongqiang avait disparu depuis trois heures. N'ayant jamais vu l'enfant, les gens le cherchaient d’après les descriptions verbales de son apparence et de sa taille.
J'étais parmi les dernières personnes à quitter l'école. Alors que je conduisais doucement ma voiture vers la station d'autobus, j'ai commencé à me questionner. Pour les pratiquants, rien de ce que nous rencontrons n'est un accident. Le comportement de l'enfant avait capté mon attention ce matin. Peut-être que cet enfant avait une relation karmique avec moi. Si oui, j'étais certaine que je pouvais le trouver. J'ai demandé en silence : « Maître, aidez-moi s'il vous plaît à trouver cet enfant. Sa situation familiale n'est pas bonne. Je vais faire mon possible pour prendre soin de lui. »
Il n'y avait pas de place de stationnement lorsque je suis arrivée à la station d'autobus, alors j'ai tourné dans une rue moins fréquentée. Je projetais de trouver un stationnement et de continuer à chercher Yongqiang à pied. Bien que la rue était relativement tranquille, les deux côtés étaient pleins. J'ai avancé lentement jusqu'à ce que je trouve une place de stationnement. Je n'ai vu que deux personnes âgées dans la rue alors que je suppliais silencieusement le Maître de m'aider à localiser l'enfant. Au moment où j'étais sur le point de garer ma voiture, j'ai soudain remarqué un enfant portant un cartable. C'était Liu Yongqiang !
J'étais tellement stupéfaite que j'étais assise là, en état de choc. Je venais de regarder le trottoir et j'avais vu deux personnes âgées. Pourtant, le garçon s'est matérialisé devant moi en un clin d'œil. Le Maître l'avait clairement amené à moi ! J'ai remercié joyeusement le Maître, j'ai garé ma voiture sur le côté et je me suis approchée de l'enfant. J'ai doucement pris ses bras et lui ai gentiment demandé : « Petit, où étais-tu passé ? As-tu faim ? Reviens à l'école avec moi et nous pourrons déjeuner ! » Avec un joli sourire, il est monté dans ma voiture.
J'ai immédiatement téléphoné à notre directeur et lui ai dit que j'avais trouvé l'enfant. « Il est maintenant assis dans ma voiture. » J'ai entendu le soulagement dans sa voix : « C'est super ! Je vais immédiatement informer les autres enseignants et sa grand-mère. »
En rentrant à l'école en voiture, nous avons remarqué le directeur qui rentrait à pied. J'ai arrêté la voiture et après être monté à bord, il a dit : « Laissez-moi jeter un œil sur cet enfant. Je l'ai perdu avant même d'avoir eu la chance de le rencontrer. Quelle expérience effrayante ! » Il m'a demandé où j'avais trouvé Liu Yongqiang. Je lui ai dit : « C'est mon Maître qui l'a trouvé. » Le directeur a été abasourdi quand je lui ai décrit la façon dont j'avais trouvé l'enfant.
Le directeur s'est exclamé : « Le Falun Dafa est tellement incroyable ! Je dois vous remercier. » J'ai rapidement répliqué : « Vous devez remercier le Maître de Dafa. Je n'ai pas de capacités particulières. » Le directeur était d'accord. « Oui, je dois vraiment remercier le Maître de Dafa. »
Lorsque mes collègues sont revenus, nous avons tous joyeusement recommencé à déjeuner. Après avoir entendu comment j'avais trouvé Liu Yongqiang, tout le monde était enthousiaste. « Le Falun Dafa est vraiment incroyable. » Deux enseignants ont souri et ont dit : « Quand le directeur a appelé pour nous dire que l'enfant avait été retrouvé, nous avons immédiatement deviné que tu l'avais retrouvé. Les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes, rien à voir avec les mensonges diffusés par le Parti. Ils jouissent d'une santé parfaite, sont gentils, font bien leur travail et n'entrent pas en compétition pour la gloire ou des avantages ! » Ils ont taquiné le directeur : « Si nous pratiquions tous le Falun Dafa, votre travail serait tellement plus facile ! »
Saisissant l'occasion, je leur ai dit : « Nous devons remercier le Maître de Dafa pour ce dénouement heureux ! À l'avenir, rappelez-vous s'il vous plaît ces mots : “Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.” » Tout le monde a souri et en a convenu.
Traduit de l'anglais au Canada