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Une nouvelle pratiquante chérit sincèrement l'occasion de pratiquer le Falun Dafa

1 janvier 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa à New York

(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

J'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa il y a deux ans. Ma mère a commencé à pratiquer en 1996. Mon père s'opposait fortement à ce que je pratique et je craignais d'être persécutée alors je n'ai pas commencé à pratiquer. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi ma mère persistait alors que toute notre famille était contre elle.

Une occasion durement gagnée d'apprendre Dafa

Ma mère mettait souvent des livrets de clarification de la vérité dans ma chambre et passait les enregistrements des conférences du Maître. Mais je ne lisais pas les documents ni n'écoutais les conférences. Je les cachais rapidement afin que les autres ne les voient pas.

Quand mes amies venaient chez moi, ma mère leur donnait toujours des souvenirs du Falun Dafa qui portaient les mots : « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Je craignais qu'elles ne s'éloignent de moi, alors j'hésitais à inviter des amies. Mes forts sentiments de peur et d'infériorité, ainsi que l'intimidation des enseignants et de notre famille ont été de gros obstacles qui m'ont empêchée d'apprendre la vérité et de pratiquer Dafa.

J'avais une passion et un intérêt pour les médias. Après avoir obtenu mon diplôme universitaire, j'ai obtenu un emploi dans le secteur des médias en ligne d'un journal. Mais j'ai commencé à m'intéresser davantage à la célébrité et à l'intérêt personnel et peu à peu mon rêve de devenir journaliste s'est évanoui. Dans l'atmosphère de corruption qui règne en Chine, je pensais qu'il n'y avait pas de mal à accepter de l'argent en échange de l'écriture d'un « article ».

Mon visage s'est couvert d'acné. J'étais déprimée. J'étais stressée par les relations compliquées au travail. La différence entre mes attentes, mes idéaux et la réalité de ma vie était énorme. Je ne pouvais plus faire face à cette situation parce que personne ne m'avait appris à la gérer. J'ai décidé de quitter mon emploi en 2017.

Même si je ne connaissais pas l'enseignement du Maître concernant l'attachement au gain personnel à cette époque, j'avais beaucoup été influencée par ma mère. Lorsque j'ai quitté mon emploi, je me suis sentie soulagée. Je pense que c'était l'arrangement du Maître.

Ma mère m'a suggéré d'aller à New York. Je l'ai fait, mais j'étais pleine de doutes. Comme ma mère n'était pas directement persécutée en Chine, j'ai refusé obstinément de croire que la persécution était réelle. Des pratiquants de New York m'ont raconté comment ils avaient été persécutés en Chine et qu'ils avaient dû quitter leur pays et venir aux États-Unis à cause de cela. J'ai commencé à réaliser que j'avais subi un lavage de cerveau complet et que j'avais été empoisonnée par le Parti communiste chinois (PCC) pendant vingt ans.

J'ai réfléchi à la façon dont je m'étais comportée. Je regrettais tellement ma mentalité subversive et la façon dont j'avais toujours mal traité ma mère. J'ai laissé tomber tous mes doutes et la mentalité de me protéger. J'ai lu toute l'information disponible sur la clarification de la vérité et j'ai regardé toutes les vidéos. J'ai ainsi acquis une toute nouvelle compréhension du Falun Dafa, mais j'étais encore loin de la véritable cultivation.

La fusion de la sciure dans l'acier fondu

J'ai eu la chance de voir le Maître pour la première fois à la Conférence de Fa de Washington, D.C. en juin 2018. Le lieu était immense et rempli de pratiquants. J'étais si loin que je ne pouvais pas voir clairement le visage du Maître. Tout le monde autour de moi pleurait quand le Maître est entré. Au début, je me suis demandé pourquoi les gens pleuraient. J'ai pensé : « Je ne pleurerai pas. » Mais dès que le Maître a commencé à enseigner le Fa, j'ai éclaté en sanglots et je n'ai pas pu m'arrêter. Je me suis dit qu'il n'était pas trop tard pour commencer à pratiquer.

Quand je suis retournée à New York, je me suis jointe à d'autres pratiquants pour clarifier la vérité à des sites touristiques. Mais j'avais l'impression que c'était une tâche de routine. Je n'étudiais pas bien le Fa tous les jours et je ne savais pas comment répondre à certaines des questions difficiles que les touristes me posaient. Je me blâmais, mais je ne savais pas comment m'améliorer.

Je pensais que je pouvais utiliser mon expertise dans les médias pour sauver les gens. Heureusement, j'ai été invitée à me joindre aux médias. C'est aussi un environnement de groupe pour la cultivation. J'ai commencé à comprendre comment élever ma cultivation personnelle et être plus diligente.

Le travail dans la salle de presse va très vite. Chaque seconde est précieuse. Mon travail consiste à monter des séquences de nouvelles. J'ai participé directement à la clarification de la vérité pour sauver les gens. Je n'aurais pas osé faire d'erreurs. Une fois, on m'a confié un reportage sur l'orchestre symphonique de Shen Yun. Le délai était serré et je n'étais pas encore très à l'aise dans le montage. J'avais peur de manquer l'émission. Un collègue m'a proposé son aide et a pris le relais.

Mais par la suite, le producteur a interrogé l'équipe et a demandé pourquoi des images tremblantes avaient été utilisées dans le reportage sur l'Orchestre symphonique de Shen Yun. Ma première réaction a été de fuir mes responsabilités - je n'ai pas fait ça. J'ai fait comme si je ne l'avais pas remarqué. Mais ça ne sonnait pas juste. Suis-je une pratiquante ? Le collègue voulait m'aider. Pourquoi voulais-je le tenir pour responsable ? Ce ne doit pas être mon vrai moi. Après y avoir réfléchi, j'ai dit : « C'est à cause de ma négligence. Je dois faire plus attention la prochaine fois. » Bien que je l'aie admis et que je me sois excusée, je ne me sentais toujours pas bien. À ce moment-là, le collègue a dit qu'il était responsable et qu'il aurait dû faire la vérification finale plus attentivement. Ensuite, un autre collègue a dit que c'était parce que les images qu'il avait fournies n'étaient pas assez bonnes. J'ai eu tellement honte. Le producteur a dit que ça allait et grâce à notre collaboration, nous n'avons pas manqué l'émission.

Cette coopération désintéressée m'a fait comprendre que nos médias ne sont pas seulement un travail, mais aussi un environnement de cultivation. Quand nous rencontrons des problèmes, chacun de nous regarde à l'intérieur. Nous avons fait une erreur sur un sujet d'actualité aussi important. Ma première impulsion n'a pas été de regarder à l'intérieur, mais de fuir les responsabilités. Mon xinxing était médiocre comparé à celui des autres pratiquants.

Le Maître a dit :

« Si un copeau de bois tombe dans un haut-fourneau d'acier en fusion, en un clin d’œil vous ne retrouverez plus sa trace. Notre Loi est si grande qu'elle peut sans effort assimiler une personne comme vous, éliminer le karma de votre corps et supprimer vos pensées qui ne sont pas bonnes, etc. » (Enseignement de Fa à la première conférence de Fa en Amérique du Nord)

Cette expérience m'a aidée à comprendre à quel point cet environnement de cultivation de groupe est pour moi durement gagné et précieux. Les conflits sont inévitables. Le Maître nous a dit que ce ne sont pas des coïncidences, qu'ils sont pour élever notre xinxing. Ces mauvaises pensées sont comme de la sciure de bois. Tant que nous nous disciplinons sur la base du Fa et que nous nous souvenons d'utiliser ces occasions pour cultiver et nous élever, les choses s'amélioreront.

Il y a de nombreux défis dans la cultivation. Parfois, je me sens très incapable et anxieuse au travail. Parfois, je me sens lésée et je pleure lorsque des collègues disent quelque chose de désagréable ou que je ne veux pas entendre. Parfois, je me plains que le travail est trop fatigant ou que j'avais sommeil après avoir travaillé la nuit. Mais chaque fois que j'ai ces pensées négatives, je me rappelle pourquoi j'ai rejoint les médias et pourquoi je cultive. Au fond de mon cœur, je ressens la mission de chacun de nous et je me sens encore plus fière d'être une disciple de Dafa.

Les changements positifs en moi

En raison de mes responsabilités professionnelles, je n'ai pas participé au défilé de Brooklyn à New York en novembre dernier. Au lieu de cela, pour la première fois, j'ai distribué des dépliants aux passants. Cette fois, j'ai eu l'impression d'avoir mieux réussi à clarifier la vérité qu'avant.

Dans le passé, quand je clarifiais la vérité sur les sites touristiques, je sentais que les générations plus âgées pensaient qu'une si jeune femme ne savait rien de l'histoire. Mais cette fois-ci, j'ai pu parler avec aisance de la beauté de Dafa aux gens. Je pouvais voir dans leurs yeux leurs sentiments positifs. Certaines personnes ont dit : « Tant de jeunes gens pratiquent le Falun Dafa. Je devrais regarder ça de plus près. »

Ces changements sont sûrement dus au renforcement du Maître en plus du travail acharné et de la coopération que les pratiquants ont mise dans le défilé pour la rendre si spectaculaire. Les gens ont été étonnés. Même si je n'en étais qu'une petite partie, je pouvais sentir ma responsabilité. Cela m'a aussi aidée à prendre confiance en moi pour clarifier la vérité dans le futur. Je sais que je ne suis plus cette petite pratiquante qui ne comprenait rien.

J'ai parlé à mon père, à mes parents et à mes amis en Chine de mon expérience aux États-Unis. Au début, ils étaient fortement opposés à ce que je reste aux États-Unis. Peu à peu, ils ont compris et ont eu une meilleure attitude envers moi et ma mère. Je sais que c'est un grand test de persévérance dans la cultivation pour une nouvelle pratiquante comme moi.

Merci Maître de me donner la chance de cultiver. Je vais assurément bien faire.

Merci Maître ! Merci à vous tous !

(Présenté au Fahui 2019 de NTD et de Epoch Times)

Traduit de l'anglais