(Minghui.org) J'ai 75 ans et j'ai commencé la pratique du Falun Dafa en 1996. Après que le régime communiste chinois a lancé la persécution de Falun Dafa en 1999, je n'ai jamais cessé de faire des efforts pour sensibiliser les gens à cette persécution, et j'ai eu plusieurs rencontres avec la police et les gardiens des centres de détention.
Grâce à ma forte pensée droite et à la protection du Maître, la plupart des dangers ont été évités. J'aimerais partager trois histoires.
Un policier en civil met des lunettes de soleil pour m'éviter
Un soir avant la nuit, je suis sorti pour afficher des dépliants de Falun Dafa. Avant que je ne puisse en mettre un sur un poteau, un policier en civil a essayé de me prendre le dépliant des mains. Je n'ai pas eu peur et je l'ai vite remis dans ma poche. Probablement grâce à ma pensée droite, l'homme s'est retenu et m'a averti de ne pas afficher de dépliants avant de s'éloigner.
Je l'ai suivi, dans l'intention d'expliquer pourquoi je voulais afficher des dépliants. Parce que le régime avait bloqué toute voie légale nous permettant de faire appel pour le Falun Dafa, les pratiquants comme moi utilisaient des moyens créatifs, y compris l'affichage de dépliants, pour dénoncer la persécution du Falun Dafa.
L'homme s'est probablement rendu compte que je le suivais et a mis des lunettes de soleil, même s'il faisait déjà complètement noir dehors. Je suppose qu'il ne voulait pas que je l'identifie et que je soumette sa photo au site Web Minghui pour que tout le monde puisse la voir.
Cet incident m'a aidé à mieux comprendre ce que Maître Li a dit:
« Quand les pensées sont droites La perversité s'écroule »
(« Qu'y a-t-il à craindre », Hong Yin II)
Défendre un pratiquant emprisonné
Il y a des années, j'ai rendu visite à un pratiquant incarcéré dans la prison de Panjin dans la province du Liaoning pour avoir refusé de renoncer au Falun Dafa. Il était émacié dû à la maltraitance dans la prison.
J'ai condamné le gardien qui surveillait notre visite : « Pourquoi avez-vous suspendu cet homme la tête en bas pendant si longtemps. Sa tête est terriblement gonflée. C'est brutal. »
Le gardien a mis le blâme sur le pratiquant pour son refus de faire du travail non rémunéré, comme il lui avait été demandé.
J'ai rétorqué : « Ce n'est pas vrai. Vous l'avez torturé parce qu'il ne voulait pas renoncer au Falun Dafa. Qu'est-il arrivé à votre conscience ? Que se passerait-il si vous ou d'autres gardiens étiez suspendus la tête en bas ? Vous comprendriez la souffrance du pratiquant ! »
Le gardien n'a rien dit en réponse. Deux autres gardiens qui sont venus dans la pièce des visites m'ont entendue, mais n'ont rien dit non plus. J'ai quitté la prison en toute sécurité après la visite.
La police me fait sortir avec un sourire
Un jour, j'étais à un terminal de bus et j'ai parlé du Falun Dafa aux passagers. Deux agents stationnés au terminal sont venus et ont repris un livret que je venais de distribuer.
Ils m'ont amené à leur bureau et ont tout sorti de mon sac. Je suis restée calme et j'ai dit : « Ce qui est dans le livre est bien dit. Vous devriez tous le lire. » Je me suis mise à l'aise et je me suis assise.
Lorsque l'un d'entre eux m'a accusée d'être contre le Parti communiste chinois (PCC), je leur ai parlé d'un ancien chef de la police de la province du Henan qui est mort dans un accident de voiture, alors que les trois autres passagers étaient indemnes. J'ai dit que sa mort était une rétribution karmique pour avoir participé à la persécution du Falun Dafa.
Voyant que j'étais à l'aise et sans crainte, leur attitude a changé et ils m'ont traitée gentiment.
Ils voulaient que je parte, mais je n'avais pas fini : « Vous portez l'uniforme de la police et vous devriez faire ce que vous êtes censé faire. N'oubliez pas, ne faites pas le mal. »
Je leur ai demandé de lire la documentation qu'ils avaient renversée sur la table. Ils ont souri et m'ont escortée hors du bureau.
Traduit de l'anglais