(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong ont organisé une journée d’information dans King Street à Stuttgart, en Allemagne, le 10 octobre 2020. Malgré la pluie, ils ont installé un stand dans la rue piétonne et fait des démonstrations des exercices du Falun Gong. La scène paisible a largement attiré l’attention.
L’activité a offert à beaucoup de gens l’opportunité de s’informer davantage sur les atrocités commises par le Parti communiste chinois (PCC) et de signer une pétition demandant la fin de la persécution du Falun Gong.
Démonstration de l’exercice de méditation assise
Collecte de signatures
Les pratiquants de Falun Gong parlent de la persécution du PCC
Mme Müller s’est arrêtée et a dit qu’elle avait appris l'existence de la persécution il y a des années et souhaitait signer la pétition. « Cela sert-il à quelque chose ? » a-t-elle demandé à un des pratiquants.
« Bien sûr ! » a répondu ce dernier. « L’audition publique au parlement a eu lieu parce que nous avions recueilli suffisamment de signatures. De plus en plus de pays adoptent des résolutions pour tenir le PCC responsable de ses violations des droits de l’homme et de sa persécution du Falun Gong. » Mme Müller était heureuse de signer après avoir écouté l’explication.
Une autre habitante, Mme Schinker, a demandé pourquoi le PCC persécutait le Falun Gong. Un pratiquant lui a expliqué que le PCC ne se sentait pas en sécurité parce que de nombreuses personnes en Chine pratiquaient le Falun Gong. Le régime n’était pas certain de pouvoir contrôler ces personnes si elles choisissaient de suivre leur conscience. Il lui a appris que le PCC avait mis en place une base de données d’organes et l’utilisait pour trouver des organes compatibles parmi les pratiquants de Falun Gong pour ses lucratives opérations de greffes. De stupeur, Mme Schinker s’est couvert la bouche de la main et les larmes lui sont montées aux yeux. Elle a signé la pétition et a souhaité bonne chance aux pratiquants pour mettre fin à la persécution.
M. Molls a regardé les exercices de Falun Gong avec beaucoup d’intérêt et a obtenu des informations sur les points de pratique locaux des exercices, et sur le site web du Falun Gong. Il connaissait un couple de Chinois et s’étonnait de pouvoir parler avec eux de beaucoup de choses, mais que si un sujet touchait le moins du monde à la politique, le couple s’arrêtait de parler. Le pratiquant a expliqué à M. Molls que le PCC avait intimidé le peuple chinois par des vagues successives de persécution politique, si bien que de nombreux Chinois n’osent pas exprimer leur opinion, même alors qu’ils vivent hors de Chine. M. Molls a signé la pétition après avoir appris l'existence de la persécution du Falun Gong par le PCC.
« J’aime la Chine ! » a déclaré Faysal, un grand Algérien, en chinois. Faysal a dit qu’il avait appris le chinois pendant trois ans et qu’il aimait la culture chinoise. Il a signé la pétition pour aider les Chinois et a pris des dépliants en arabe et en mandarin.
Traduit de l'anglais