(Minghui.org) En mars 1871 éclate l’un des plus grands ravages de l'histoire de l'humanité, la Commune de Paris. Cette période de seulement deux mois environ est saluée par Karl Marx comme un prototype de mouvement communiste, elle a dévasté Paris. Le mouvement a dû faire face à une résistance constante de la part du grand public dans toute l'Europe, mais il s'est installé en Russie en 1917 et s'est progressivement étendu pour gouverner un tiers de la population mondiale.
Après cela, le monde s'est divisé en deux camps : le monde libre et les forces communistes. Après la Seconde Guerre mondiale, les conflits entre les deux camps ont abouti à la guerre froide qui a duré près d'un demi-siècle. La guerre froide est apparue comme une course aux armements entre les deux camps alors qu'en fait, elle impliquait également l'infiltration de l'idéologie communiste dans l'ensemble du monde libre. Par le biais de l'éducation et de différents mouvements, le spectre communiste a conduit les gens, en particulier les jeunes générations, à s'écarter des croyances traditionnelles, des valeurs morales et de la religion, créant ainsi une discorde mondiale.
Comme le marxisme domine silencieusement de nombreux aspects de notre culture mondiale, la Chine communiste est montée en flèche pour devenir la deuxième entité économique mondiale. Avec l'argent, le pouvoir et d'autres incitations lucratives, le Parti communiste chinois a influencé de nombreux gouvernements du monde libre, les rendant indifférents aux crimes omniprésents causés par le communisme.
En 2020, une pandémie mondiale a laissé le monde dans un état d'affaiblissement sans précédent. Réveillés par la réalité, de nombreux peuples et gouvernements ont rejoint l'élan de lutte contre le communisme.
Karl Marx est un sataniste
En octobre 1917, pendant la Première Guerre mondiale, les bolchéviques ont déclenché leur révolution. Souvent considérée comme une héritière légitime de l’Empire romain, la Russie est soudain devenue athée. L'Union soviétique a imprimé en plusieurs langues un grand nombre d'exemplaires du Manifeste du parti communiste et les a distribués dans le monde entier.
Avant cela, le livre avait été interdit dans un certain nombre de pays, notamment en Allemagne, aux États-Unis et en Turquie. Les auteurs du livre, Karl Marx et Friedrich Engels, ont été expulsés de France, de Belgique et d'Allemagne.
Le livre débute : « Un spectre hante l'Europe, le spectre du communisme. Toutes les puissances de la vieille Europe ont conclu une alliance sacrée pour exorciser ce spectre : le pape et le tsar, Metternich et Guizot, les radicaux français et les espions de la police allemande. »
Pourquoi une telle entrée en matière ? Il y a plusieurs raisons. L'une d'elles est que Karl Marx était contre la religion. Il a écrit : « La religion est le soupir de la créature opprimée, le coeur d'un monde sans coeur, et l'âme des conditions sans âme. C'est l'opium du peuple. »
Certains historiens en ont été perplexes. Élevé dans une famille chrétienne, à un jeune âge, Karl Marx était très pieux. Vers 19 ans, cependant, il est devenu sataniste et ses écrits étaient remplis d'images de l'enfer, de Satan, de vengeance et de malédiction envers l'humanité. Parmi les plus de 100 ouvrages qu'il a écrits, seuls 13 volumes ont été publiés. Les autres se trouvent toujours à l'Institut Marx-Engels de Moscou.
En Roumanie, Richard Wurmbrand, un ministre chrétien qui a été emprisonné et torturé par le régime communiste, a fait des recherches dans les archives et a identifié la nature satanique de Karl Marx. Dans Invocation d'un désespéré, Karl Marx a écrit :
« Ainsi un dieu m'a arraché “mon tout”
Dans les malédictions et dans les coups du sort.
Tous ses mondes se sont évanouis
Sans espoir de retour,
Et il ne me reste plus désormais que la vengeance. »
Dans son témoignage, Helen Demuth, qui était sa femme de ménage, l'a également confirmé. Lorsqu'il était très malade, Karl Marx priait seul dans sa chambre devant une rangée de bougies allumées, en s'attachant une sorte de mètre ruban autour du front, un rituel satanique. Cela a également influencé ses enfants.
M. Wurmbrand a écrit dans son livre Marx & Satan : « En effet, le culte luciférien pourrait bien avoir été une affaire de famille dans la maison des Marx. Le beau-fils de Marx, Edward Eveling, était un écrivain et un conférencier prolifique sur le satanisme. Dans une lettre datée du 31 mars 1854, Edgar le propre fils de Marx s’adressait à son père ainsi “Mon cher diable”. »
Le but du communisme : Détruire toutes les religions et l'ordre social
Le lien satanique renvoie à l'histoire du Manifeste du parti communiste.
En 1847, la Fédération des justes, une organisation communiste basée à Londres, a demandé à Karl Marx de rédiger un manifeste pour leur réforme en tant que Ligue communiste de 1847. Karl Marx l'a fait avec Engels et le Manifeste du parti communiste est né en 1848. Dans ce livre, ils condamnent l'ordre social et économique bourgeois et appellent le prolétariat international à la lutte des classes.
La fin du livre fournit également des indications : « Les communistes ne s'abaissent pas à dissimuler leurs opinions et leurs buts. Ils déclarent ouvertement que leurs objectifs ne peuvent être atteints sans le renversement violent de tout ordre social actuel. Que les classes dirigeantes tremblent devant une révolution communiste. Les prolétaires n'ont rien à perdre, si ce n'est leurs chaînes. Ils ont un monde à gagner. »
De nombreux chercheurs ont découvert que la Fédération des Justes était enracinée dans les Illuminati, une société secrète établie par Adam Weishaupt. Son but était de soumettre toutes les religions et tous les gouvernements. Selon M. Wurmbrand, Anarchasis Clootz, l'un des principaux révolutionnaires français et Illuminati, a déclaré être « l'ennemi personnel de Jésus-Christ ».
En 1780, le gouvernement bavarois a forcé l'organisation à se dissoudre et celle-ci est entrée dans la clandestinité. Mais son influence et ses activités se sont poursuivies dans plusieurs pays sous des noms divers. Ses principes ont également été vus chez Karl Marx : « La religion est le soupir de la créature opprimée, le coeur d'un monde sans coeur, et l'âme des conditions sans âme. C'est l'opium du peuple. »
Les chercheurs ont également découvert que Karl Marx est probablement le seul auteur de renom qui ait jamais qualifié ses propres écrits de « merde », de « livres de merde ». M. Wurmbrand a écrit : « Il donne consciemment, délibérément à ses lecteurs de la saleté. Il n'est donc pas étonnant que certains de ses disciples, des communistes en Roumanie et au Mozambique, aient forcé les prisonniers à manger leurs propres excréments et à boire leur propre urine. »
Mais à travers les générations , les gens ont néanmoins été trompés et induits en erreur par le Manifeste du parti communiste. Hans Morgenthau, spécialiste des relations internationales, a parlé un jour de son enfance en Bavière avant la Première Guerre mondiale. Son père était médecin dans un endroit où les gens demandaient souvent à être enterrés avec une Bible lorsqu'ils mouraient. Étonnamment, de nombreux ouvriers ont demandé à être enterrés avec un exemplaire récent du Manifeste du parti communiste à la place.
Parallèlement avec la montée en puissance du Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), les partis communistes américain et britannique ont imprimé plusieurs centaines de milliers d'exemplaires d'une édition bon marché du Manifeste du parti communiste. Après la Seconde Guerre mondiale, celui-ci est entré dans les écoles et est devenu une partie intégrante du programme de sciences politiques. Dans les années 1960, le livre a servi de guide à la jeunesse radicale. Même en 1989, après l'effondrement du bloc communiste, son idéologie a continué à influencer divers mouvements socialistes.
M. Gorbatchev : Le communisme soviétique est de la « pure propagande »
Alors qu'ils avaient un satellite dans l'espace, les hommes politiques soviétiques au pouvoir continuaient à discuter des besoins quotidiens de base, tels que le dentifrice et le détergent. En mars 2002, dans un article intitulé « Le communisme soviétique, pure propagande » paru dans l’Irish Examiner, lors d’un discours à l’université de Columbia, Mikhaël Gorbatchev a dit aux étudiants : « Nous disions, moi y compris “Le capitalisme va vers une catastrophe, alors que nous nous développons bien.” Bien sûr, c'était de la pure propagande. En fait, notre pays était à la traîne. »
M. Gorbatchev a mis fin à l'Union soviétique en décembre 1991. Lors d’un discours en 1997, il a dit : « Au nom du communisme, nous avons abandonné les valeurs humaines fondamentales. Lorsque je suis arrivé au pouvoir en Russie, j'ai donc commencé à restaurer ces valeurs, des valeurs d'“ouverture” et de “liberté”. » Un article intitulé : « Mikhaïl Gorbatchev : J'aurais dû abandonner le parti communiste plus tôt » a été publié dans The Guardian en août 2011. Interrogé dans l'interview sur les choses qu'il regrette le plus, Mikhaïl Gorbatchev a répondu sans hésitation : « Le fait d'avoir trop longtemps essayé de réformer le Parti communiste. »
Malheureusement, les responsables du Parti communiste chinois (PCC) ne l'ont pas encore reconnu. Dès sa création en 1921, en héritant du marteau et de la faucille des Soviétiques, le PCC a commencé à nuire au peuple chinois. Les historiens ont découvert que le symbole provenait de la franc-maçonnerie, une organisation liée aux Illuminati et que la faucille est souvent interprétée comme un symbole de mort dans de nombreuses religions.
De l'Union soviétique à la Chine
Peu après avoir pris le pouvoir lors de la révolution d'octobre en 1917, Vladimir Lénine a commencé à promouvoir l'idéologie communiste dans le monde entier. En 1919, il a fondé l'Internationale communiste, qui a favorisé l'instauration du communisme dans de nombreux pays, dont la Chine.
En Chine, qui peut se targuer d'un héritage culturel et spirituel millénaire, le Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS) a non seulement contribué à la création du PCC en tant que branche de l'Internationale communiste, mais a également guidé sa croissance. Le 9 août 1945, les Soviétiques envahissent la Chine simultanément sur trois fronts. Plus d'un million de soldats soviétiques ont attaqué l'armée japonaise dans le nord-est de la Chine, ont confisqué leurs armes et les ont remises à Lin Biao, chef du district militaire communiste du nord-est.
Bien équipés et soutenus par l'Union soviétique, à la fin de 1948, Lin Biao et d'autres armées du PCC ont pris le contrôle du nord-est de la Chine, en janvier 1949, ils ont pris le contrôle de Pékin. Au printemps 1949, ils ont traversé le Yangtsé et ont complètement vaincu toutes les troupes du Kuomintang (KMT) en Chine continentale.
En octobre 1949, le PCC a pris le pouvoir et a établi la République populaire de Chine, imposant le joug communiste à 540 millions de personnes. Malgré ses prétentions de donner des terres aux paysans et de partager les richesses avec les travailleurs, en quelques années, le PCC a pris toutes les terres et les richesses. Ensuite, les propriétaires terriens et les propriétaires d'entreprises ont été considérés comme ennemis de l'État et, dans les décennies qui ont suivi, leurs descendants ont été persécutés.
Dans une situation similaire à celle de l’Union soviétique, le PCC a fait la promotion des œuvres de Marx, Engels et Lénine, ainsi que celles de Mao Zedong. Comme nous le voyons aujourd’hui, leurs théories sont utilisées pour justifier les mouvements politiques, inciter à la haine, dominer l'éducation, réinterpréter l'histoire et façonner l'esprit des gens.
En plus de s'attaquer aux propriétaires et aux commerçants, la révolution culturelle qui a duré dix ans, a contribué à la répression de presque tous les intellectuels et à l’anéantissement de la culture traditionnelle chinoise. En outre, avec l'aide des États-Unis et d'autres pays occidentaux, la Chine est entrée dans l'Organisation mondiale du commerce et est devenue le plus grand exportateur au monde. Avec l'initiative « La nouvelle route de la soie » et près de 500 instituts Confucius sur six continents, le PCC met en place le communisme dans le monde entier.
Cruauté sans précédent
Lorsqu'il vivait à Cologne, en Allemagne, Karl Marx a lancé un quotidien, le Neue Rheinische Zeitung, pour défendre sa théorie du communisme. Les autorités ont suspendu le journal et ont ordonné à Karl Marx de quitter le pays. Dans son dernier éditorial daté du 18 mai, Karl Marx écrit : « Nous n'avons aucune compassion et nous ne vous demandons aucune compassion. Quand notre tour viendra, nous ne chercherons pas d'excuses à la terreur. »
Cette remarque se conformait à ce qui était écrit à la fin du Manifeste du parti communiste, qui affirmait que l'objectif ne pouvait être atteint qu'en renversant avec force toutes les conditions sociales existantes. En ce qui concerne le PCC, le régime a utilisé avec habileté aussi bien la brutalité que le mensonge.
La brutalité du PCC a entraîné au cours des 80 dernières années, la mort d’environ 80 millions de Chinois. Rien que pendant la Grande Famine chinoise, entre 1959 et 1961, 45 millions de personnes sont mortes de faim. Un rapport publié en 2011 a révélé que le taux de suicide en Chine était de 22,23 personnes sur 100 000. Ce qui signifie que près de 300 000 personnes se sont suicidées chaque année, soit un décès par suicide toutes les deux minutes.
La brutalité va souvent de pair avec les mensonges et la propagande. Par exemple, en 1957, Mao a lancé la Campagne des Cent Fleurs au cours de laquelle on avait encouragé les gens à s'exprimer et à critiquer le Parti. Par la suite, tous ceux qui avaient fait des commentaires négatifs sur le Parti ont été punis, de 400 000 à 700 000 personnes ont été emprisonnées.
Mais le communisme ne s'est pas arrêté en Chine. Depuis les années 1960, il s'est infiltré dans la société occidentale en se dissimulant sous divers mouvements de pensée libéraux afin de miner systématiquement les valeurs traditionnelles à l'échelle mondiale. C'est ce que Karl Marx attendait, tout comme les Illuminati et la franc-maçonnerie.
La bataille entre le monde libre et le communisme
À son apogée, le communisme régnait sur environ un tiers de la population mondiale. Le monde entier était divisé en deux blocs, aussi différents l'un de l'autre que le jour et la nuit.
Outre la guerre froide, la société américaine a connu des luttes constantes entre les deux camps. En 1932, le chef du Parti communiste américain (CPUSA), qui prenait sa retraite, a publié un livre intitulé Towards Soviet America. Ensuite, par l’intermédiaire du secrétaire général, cette organisation s’est rapprochée des Soviétiques et a contribué à développer son réseau clandestin secret, qui était contrôlé par le service de renseignement de Staline, le NKVD (précurseur du KGB).
À la fin des années 1930, la CPUSA est devenue très active en infiltrant les politiciens, les élections et les organisations de défense des droits civils. Ces efforts ont progressivement changé la politique du gouvernement américain en faveur du PCC. En 1949 et au début des années 1950, le danger du communisme est devenu évident et l'espionnage soviétique a été dévoilé. Joseph McCarthy et d'autres ont pris des mesures et ont considérablement réduit l'influence du communisme dans la culture, la science et le gouvernement des États-Unis.
Dès le premier jour de son mandat, le président américain Ronald Reagan s'est efforcé d'arrêter la propagation du communisme. En 1981, lors de son discours inaugural, il a qualifié les communistes d’ « ennemis de la liberté » et stupéfait de l'ampleur de l'espionnage soviétique, il a qualifié le communisme de « foyer de la perversité dans le monde moderne ».
En novembre 1991, après ces efforts le mur de Berlin est tombé et le mois suivant ce fut l’effondrement de l'Union soviétique. Le 25 décembre 1991, lors de son discours démissionnaire, M. Gorbatchev a dit : « Le système totalitaire qui, il y a longtemps, privait le pays d'une chance de réussir et de prospérer a été éliminé. Une percée a été réalisée sur la voie des changements démocratiques. Des élections libres, la liberté de la presse, la liberté religieuse, des organes représentatifs du pouvoir, un multipartisme (système) sont devenus une réalité, et les droits de l'homme sont reconnus comme le principe suprême. »
Cela faisait suite à un vaste effort pour purger l'influence communiste en Europe centrale et orientale. Des lois ont été adoptées, les symboles et les statues communistes ont été démolis et les manuels scolaires ont été corrigés pour rétablir les faits historiques.
(À suivre)
Traduit de l'anglais