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Dafa a ramené un sourire sur mon visage

5 juin 2020 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans le nord-est de la Chine

(Minghui.org) J'ai donné naissance à un petit garçon après deux ans de mariage, mais il est décédé huit mois plus tard.

Cela a été un coup de massue. J'ai commencé à me sentir malade, et ma santé s'est détériorée.

« J'aimerais avoir un Maître, moi aussi »

En 1998, mon frère cadet est venu nous rendre visite. D'habitude, il pouvait boire beaucoup sans être saoul, mais ce jour-là, après seulement deux boissons, il est devenu complètement saoul et il a vomi plusieurs fois.

Entre deux vomissements, il n'arrêtait pas de dire : « Maître, j'ai fait une erreur. Je ne boirai plus jamais. »

Au début, je n'arrivais pas vraiment comprendre, mais rapidement, j'ai ressenti une sorte d'admiration pour lui. Même si je ne savais pas qui était son Maître, je pensais en mon for intérieur : « J'aimerais avoir un Maître, moi aussi. »

Ma belle-mère est venue me rendre visite quelque temps plus tard, et en me voyant dans une si grande souffrance, elle a dit : « Pourquoi ne pratiques-tu pas le Falun Dafa ? Beaucoup de personnes pratiquent les exercices devant mon bâtiment, tôt le matin. Tu sais, je le pratique, et mon problème de cœur a disparu. »

Mais lorsque j'ai entendu qu'ils faisaient les exercices tôt le matin, j'ai décidé de ne pas les rejoindre.

Elle m'a apporté un exemplaire du Zhuan Falun. J'ai beaucoup aimé lire le livre et j'étais plutôt déçue lorsqu'elle m'a demandé de le lui rendre.

Un jour, ma sœur est venue me rendre visite. J'ai été très surprise de voir à quel point elle avait l'air en forme. Je savais qu'elle souffrait d'une insuffisance rénale aiguë. Son docteur lui avait prescrit beaucoup de remèdes de médecine chinoise. Il l'a renvoyée chez elle et a demandé qu'on prenne soin d'elle à la maison.

Deux jours seulement avant de me rendre visite, elle avait eu une forte fièvre qui l'avait clouée au lit, et son corps tout entier était enflé. Maintenant elle se tenait là, debout devant moi, paraissant beaucoup plus jeune, avec un teint éclatant et lumineux.

En voyant mon expression abasourdie, elle a dit : « Ma sœur, je suis guérie ! C'est le Falun Dafa qui m'a sauvé la vie. Tu devrais le pratiquer, toi aussi. »

J'ai immédiatement répondu : « Oui, c'est ce que je vais faire ! »

Le lendemain, ma sœur m'a amené les enregistrements des conférences du Maître, afin que je puisse les écouter, et elle m'a appris les cinq exercices. J'étais si enthousiaste. Ma sœur a dit : « À partir de maintenant, tu as un Maître, toi aussi. Nous avons le même Maître. »

Je l'ai regardée et j'ai souri, me disant en moi-même : « J'ai un Maître ! J'ai un Maître ! »

Un sourire revient sur mon visage

J'ai étudié les enseignements du Fa, pratiqué les exercices chaque jour, cultivé mon xinxing,je me suis conduite en bonne personne, et j'ai pris en considération les autres avant toute chose.

Il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que ma bonne humeur décuple et qu'un sourire revienne sur mon visage.

Pendant les nuits silencieuses où j'étudiais le Fa avec une grande concentration, j'ai pu voir d'innombrables lumières colorées émaner du livre.

Je sais que tout ce que dit le Maître est absolument vrai. Je sais également que ce que le Maître donne à ses disciples est le meilleur. Il n'y a pas de moyens pour moi de rembourser le Maître, donc la seule chose que je peux faire, c'est de m'efforcer d'être plus diligente !

Renoncer aux attachements et aider plus d'êtres

Le Maître a dit :

« Au cours de la cultivation et de la pratique, si une personne ne se débarrasse pas de sa jalousie, elle n’arrivera pas à obtenir le Fruit juste, il lui sera impossible d’obtenir le Fruit juste. » (Septième Leçon, Zhuan Falun)

Ma jalousie a été complètement exposée pendant une activité de Dafa. C'était un jour d'été très chaud et ma sœur m'a amenée avec son vélo électrique dans un endroit isolé, loin de la maison, où nous pouvions appeler les gens sur leur téléphone afin de leur parler du Falun Dafa et de la persécution.

Nous nous sommes ensuite séparées pour nous acquitter de nos tâches respectives. Je me suis assise sur une chaise, j'ai ouvert mon sac, et j'en ai sorti quatre téléphones. Je les ai placés sur le sommet de mon sac et je les ai réglés pour des compositions automatiques de numéros.

J'ai remarqué que le destinataire de l'un de mes téléphones avait écouté l'enregistrement pendant plus d'une minute, j'ai donc composé à nouveau le numéro pour lui parler. La personne à l'autre bout du fil a été d'accord de démissionner du PCC. Mais après cela, personne d'autre n'a démissionné.

Je suis devenue anxieuse et j'ai réalisé que c'était une sorte d'attachement. En regardant à l'intérieur, j'ai pensé : « Derrière mon anxiété, n'y a-t-il pas la mentalité de faire les choses juste pour les faire ? »

À ce moment précis, ma sœur est venue et m'a demandé combien de personnes avaient démissionné du PCC grâce à mon aide. J'ai répondu : « Une. »

Lorsqu'elle m'a dit qu'elle en avait aidé plus d'une dizaine, j'ai senti que mon cœur palpitait.

Je savais que c'était par jalousie et j'ai immédiatement dit au Maître : « Je ne veux pas de la jalousie. Ce n'est pas moi. Je l'élimine ! »

Une heure a passé et je n'avais toujours pas fait de progrès. Je savais que c'était toujours lié à la jalousie. Je ne pouvais vraiment pas continuer comme cela, et je me suis dirigée jusqu'à l'endroit où était ma sœur. Elle était en train de parler au téléphone. J'ai dit : « Tu peux rester si tu veux. Je vais rentrer à la maison. »

Elle a répondu : « Tu ne peux pas y aller. Nous ne pouvons pas céder à l'interférence des forces anciennes. »

À ce moment, son téléphone a sonné. Elle a répondu et elle a été capable d'aider une autre personne à démissionner du PCC.

J'ai fait demi-tour et je suis partie, pleurant en silence et disant dans mon esprit : « Maître, je ne veux pas de cette jalousie ! Je ne veux pas de ce désir de me faire valoir ! Je ne veux pas de ce désir de confort ! Je ne veux pas prendre de raccourci. Quoi ? Le désir de prendre des raccourcis ! J'ai trouvé l'attachement ! Maître, votre disciple ne veut pas de cet attachement ! »

À peine mon dialogue intérieur eut-il pris fin que mon téléphone a sonné. J'ai dit aux interlocuteurs, un père et son fils, la vérité au sujet de Dafa, alors que j'étais encore sanglotante, et tous les deux ont été d'accords de démissionner du PCC.

Lorsque j'ai raccroché, j'ai remercié le Maître, parce que je savais que c'était lui qui m'encourageait pour que je n'abandonne pas.

J'ai cultivé Dafa pendant vingt ans, mais j'ai toujours de nombreux attachements dont je dois me débarrasser.

Parfois, je suis en colère contre moi-même, mais j'ai réalisé en étudiant le Fa que ceci est le processus de la cultivation.

Le Maître a dit :

« Je vais vous dire une vérité : tout le processus de cultivation et de pratique d’une personne consiste à abandonner sans cesse ses attachements humains. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Traduit de l'anglais