(Minghui.org) Lorsque j'ai lu l'article « Les pratiquants devraient également réciter Falun Dafa Hao ; Zhen-Shan-Ren Hao [Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon] » publié le 1er juin 2020 sur le site web Minghui, j'ai eu un ressenti similaire.
Le Maître a dit :
« Réciter “Dafa Hao” n'est pas seulement efficace pour les gens ordinaires, mais aussi pour les disciples de Dafa car cela nettoie leur esprit. Lorsque chaque cellule de votre corps récite Dafa est bon, vous pouvez sentir que tout votre corps résonne. (Applaudissements) Parce que ce que vous avez activé par votre récitation, c'est la Loi, c'est pourquoi c'est tellement puissant. » (« Enseignement de Fa à la conférence internationale à New York 2004 »)
Une personne ordinaire qui récite sincèrement « Falun Dafa Hao ; Zhen-Shan-Ren Hao [Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon] » peut recevoir une bonne fortune en retour. Surtout pendant cette épidémie, de nombreuses personnes ayant contracté le virus du PCC (coronavirus) ont été guéries après avoir récité ces phrases.
Générer une énergie positive
De plus, des chercheurs en biologie cellulaire ont découvert que « lorsque l'on récite cette phrase, le corps de la personne passe par des transformations matérielles, c'est-à-dire que le corps génère de l'énergie positive pour renforcer le système immunitaire, afin d'éliminer le virus. »
Les praticiens de la médecine chinoise reconnaissent aussi que cela « maintient la droiture tout en éliminant le mal ». Vu sous un autre angle, lorsqu'une personne ordinaire récite sincèrement ces mots, elle exprime sa sincérité et sa révérence envers le divin. Qu'une personne embrasse les caractéristiques de l'univers – Zhen-Shan-Ren, signifie qu'elle sera protégée par les divinités et les bouddhas, et le virus restera à l'écart.
Tout comme le Maître l'a enseigné :
« …si une personne de ce monde peut s’y conformer elle est alors une véritable bonne personne, cela peut en même temps lui apporter une rétribution bienveillante, le bonheur et la longévité. » (Lunyu [À propos de Dafa])
J'ai commencé à réciter « Falun Dafa Hao ; Zhen-Shan-Ren Hao » en 2001, lorsque j'ai été illégalement détenu dans un camp de travaux forcés. À ce moment-là, je n'avais accès à aucun livre de Dafa, mais je pouvais seulement me souvenir de Hong Yin et de certains des nouveaux écrits du Maître. En plus de ceux-là, je récitais souvent « Zhen-Shan-Ren Hao ».
En 2002, à la demande du Bureau 610, les personnes qui essayaient de me laver le cerveau pour que je renonce au Falun Dafa m'ont dit : « Tu ne peux même pas lire le Zhuan Falun ; que signifie cultiver pour toi ? » J'ai répondu : « Bien que je ne puisse pas lire, Zhen-Shan-Ren est le Fa universel. Tant que l'on se souvient de ces paroles et qu'on les assimile dans sa vie quotidienne, on est en train de cultiver. »
Durant cette semaine-là, ils m'ont fait lire tous les nouveaux articles du Maître. Je pouvais réciter, entre autres :
« Falun Dafa est bon
La lumière de la Loi illumine le grand firmament
Ce n’est qu’une fois passé le courant immense de la rectification de la Loi
Qu’on sait alors que c'est infiniment merveilleux
Falun Dafa est bon
Il entre peu à peu dans la Voie de ce monde humain
Que les êtres ne s'impatientent surtout pas
Les divinités et les bouddhas sourient déjà »
(« Dafa est bon », Hong Yin II)
Après quoi, je l'ai récité plusieurs fois par jour – au lit, en marchant ou quand j'avais du temps libre. Parfois, je me réveillais au milieu de la nuit et je le récitais une fois avant de me rendormir. Plus tard, j'ai pris l'habitude, que je marche ou voyage en bus, en plus de réciter des poèmes de Hong Yin, je récitais cette phrase et la formule de la rectification de Fa.
J'ai été arrêté, détenu par la police, incarcéré dans des camps de travaux forcés et condamné à plusieurs reprises à la prison. En fait, durant la majeure partie des vingt dernières années, j'ai été détenu soit en prison soit dans en camp de travaux forcés. Mais avec ma croyance en Zhen-Shan-Ren, j'ai tenu jusqu'ici.
Dans le centre de détention, le camp de travaux forcés ou la prison – peu importe où je me trouvais, je menais des grèves de la faim, résistais aux travaux forcés et ne coopérais pas avec les demandes des gardiens. Que ce soit des gardiens, des détenus ou des visiteurs de la prison, j'en profitais pour leur clarifier les faits et les encourager à se souvenir que « Falun Dafa Hao ; Zhen-Shan-Ren Hao ». Ce faisant, mon environnement et les personnes autour de moi ont changé avec ma pensée droite.
Le Maître a dit :
« Le Fa peut briser tous les attachements, le Fa peut briser toutes les perversités, le Fa peut briser tous les mensonges, le Fa peut affermir la pensée droite. » (« Éliminer l'interférence », Points essentiels pour avancer avec diligence II)
Dans le camp de travaux forcés, peu après avoir refusé de participer aux travaux forcés, j’ai entamé une grève de la faim pour protester du traitement illégal des gardiens du camp, sur la base du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, j'ai validé le Fa avec rationalité. Au début, j'ai écrit une déclaration solennelle affirmant que je pratiquerai toujours le Falun Dafa, puis j'ai écrit aux agents des services et directions concernés, pour expliquer la raison de mes actes. Pendant ce temps, j'ai clarifié le but de mes actes aux surveillants [détenus assignés à me surveiller], et je leur ai expliqué comment le fait de participer à la persécution leur nuirait. Après avoir appris la vérité, ils ont cessé de travailler activement avec les gardiens pour nous persécuter.
Pendant ce temps, les chefs d'équipe sont venus. Selon les règlements du camp de travail, j'étais censé être incarcéré en isolement ou recevoir des sanctions supplémentaires pour avoir mené une grève de la faim. Je leur ai demandé : « Est-ce qu'Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ? » Ils ont répondu « oui ». J'ai alors demandé : « Je cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être une bonne personne ; comment se fait-il que je sois détenu dans un camp de travail ? J'ai été privé de mes droits légitimes, car aucune lettre qui m’était adressée ne m'a été remise ; j'ai également été privé de la visite de ma fille. Devant toutes ces injustices, tout ce que je peux faire, c'est utiliser ma vie pour sauvegarder mes droits légitimes, accordés par la Constitution. »
Les chefs d'équipe ont répondu : « Eh bien, nous devons écouter les autorités. » J'ai dit : « Je n'ai aucune haine envers vous, et je ne vous vise pas non plus, je vise plutôt la persécution envers le Falun Dafa. Lorsque vous aurez signalé ma situation à votre superviseur, vous aurez terminé ; cependant, vous devez être clair sur le fait que la persécution de Dafa est contraire à la loi et à la Constitution. Chacun a sa conscience, afin qu'il puisse choisir de se ranger du côté du bien ou du mal. »
Ils sont partis, non sans avoir augmenté le nombre de surveillants de trois à cinq personnes, et ont également libéré une pièce pour que les surveillants et moi puissions y rester. Même surveillé 24 heures sur 24, l'environnement était devenu beaucoup plus détendu. Le chef d'équipe a déclaré aux surveillants que si je voulais prendre une douche, je pouvais utiliser la salle de bains à énergie solaire, qui fournissait de l'eau chaude, alors que les autres prisonniers ne pouvaient avoir accès qu'à des bains froids, presque toute l'année, la seule exception étant le Nouvel An chinois. Quatre jours plus tard, après avoir fait ce que j'étais censé faire et avoir clarifié la vérité à qui je pouvais, j'ai cessé ma grève de la faim.
Un jour, un gardien m'a demandé : « Tous les prisonniers ont peur du chef d'équipe, car c’est un type de très forte constitution, il est brutal et bat souvent d'autres prisonniers. Même les gardes ont peur de lui. Cependant, j'ai réalisé que dès qu'il t'a vu, il a commencé à sourire. Tu es le seul qui n'a pas peur de lui. » J'ai expliqué : « Il est violent, donc tout le monde a peur de lui et personne ne l'aime. Cependant, comme je cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je fais tout en prenant en compte les sentiments des autres et ne commettrais jamais de mauvaises actions ; comment pourrais-je avoir peur de lui ou le haïr ? Je ne ressens que de la pitié pour lui, comment pourrait-il me détester ? »
En 2016, lorsque j'étais détenu en prison, un jeune gardien chargé de me surveiller m'a demandé de venir dans son bureau. Alors que j'étais sur le point de m'asseoir, il a commencé à me réprimander. J'ai répondu : « Le directeur de la prison m'a dit que je pouvais m'asseoir. » En fait, j'étais le seul parmi tous les prisonniers à avoir le droit de m'asseoir en parlant à un agent. Il a élevé la voix : « Ça ne marche pas ici ! » Après cela, il a commencé à m'injurier avec des mots grossiers.
Au cours des précédentes années de détention en prison, je n'avais jamais été traité de la sorte et je me suis senti un peu gêné. Alors que j'étais sur le point de discuter avec lui, tout à coup « Zhen-Shan-Ren » est apparu devant moi, et je me suis rappelé ce que le Maître a enseigné :
« Certains disent : « Si dans la rue quelqu’un me donne un coup de pied, je peux exercer le Ren puisque personne ne me connaît. » Je dis que ce n’est pas encore suffisant, peut-être qu’un jour, en présence de la personne devant laquelle vous craignez le plus de perdre la face, on vous donnera une paire de gifles et vous serez humilié ; comment allez-vous régler cela ? C’est pour voir si vous pouvez le supporter avec patience ou non. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)
Immédiatement, j'ai compris qu'il m'aidait à élever mon xinxing. Puis j'ai commencé à regarder en moi : comment se fait-il que cela m'ait dérangé aujourd'hui ? C'est parce que, habituellement, je méprise ces gardes. Aujourd'hui, j'ai été injurié par lui et senti que j'avais perdu la face. À ce moment-là, un surveillant est entré et a demandé au garde de le suivre. Après un petit moment, quand le gardien est revenu, il a changé de ton en disant : « Je ne voulais pas dire ça, je suis désolé. » Je lui ai dit tout de suite : « S'il vous plaît, détendez-vous ! C'est moi qui étais en faute. Je ne vous ai pas manifesté suffisamment de respect. »
Plus tard, le surveillant m'a expliqué que lorsqu'il il a entendu notre conversation, il avait eu peur que le gardien me punisse, alors il est venu le chercher et lui a dit : « Ne le cherche pas, même le directeur de la prison le traite bien. » Le gardien a continué de s'excuser.
Notre cultivation exige de suivre le cours naturel. Lorsque je récite « Falun Dafa Hao ; Zhen-Shan-Ren Hao », je n’ai aucun esprit de recherche. Avec le temps, c'est devenu naturel. Le Maître a dit :
« …Obtenir naturellement sans rechercher. » ( Enseignement de Fa à Sydney)
« …Vouloir pratiquer le gong, obtenir le gong sans le vouloir. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)
Je sens qu'après avoir fréquemment récité ces phrases, je suis devenu beaucoup plus paisible et j'ai réussi plus facilement à regarder en moi, lorsque j'étais confronté à des problèmes. Partout où je me suis rendu, mon environnement est également devenu paisible.
Avant de commencer à réciter ces phrases, si j’étais dans un bus ou au supermarché, je rencontrais souvent des gens qui se disputaient ou se battaient. Dernièrement, lorsque je sors, je rencontre rarement ce type de situations. En revanche, ce que je vois maintenant, ce sont les jeunes qui cèdent leur place aux personnes âgées, ou bien quand les gens se bousculent, ils s'excusent.
Pour moi, c'est lié à « La lumière de Bouddha illumine tout, bienséance et loyauté rayonnent harmonieusement. » (Troisième Leçon, Zhuan Falun)
Traduit de l'anglais