(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Gong ont organisé une activité à Berne, en Suisse, le 29 août 2020, afin d’aider les gens à avoir davantage d'informations sur la persécution du Falun Gong en Chine.
Nicolas, un kinésithérapeute à la retraite, a écouté un pratiquant expliquer la persécution du Parti communiste chinois (PCC) et les prélèvements d’organes à vif perpétrés par le régime sur des pratiquants de Falun Gong. « Vous (les pratiquants de Falun Gong) permettez aux gens d’avoir des informations là-dessus. Je vous admire vraiment pour cela », a-t-il dit, en enlevant son chapeau et en s’inclinant pour les saluer.
Nicolas a regardé attentivement les images des positions pour les exercices de Falun Gong. Il a expliqué qu’il avait commencé à faire du yoga et des pratiques similaires à l’âge de 18 ans. Il a accepté un dépliant de Falun Gong et s’est dit intéressé à en apprendre davantage.
Des passants s’arrêtent pour découvrir le Falun Gong sur Kornhausplatz à Berne le 29 août 2020.
Nicolas lit une présentation du Falun Gong.
Un pratiquant a dit à Nicolas qu'au cours des vingt et une longues années de persécution, le PCC a torturé les pratiquants de Falun Gong et les a même tués pour leurs organes pour le profit. Les brutalités en Chine continuent à ce jour.
« C’est cruel », a déclaré Nicolas, ajoutant : « Nous avons peut-être vu ça (les prélèvements d’organes) dans des films de science fiction il y a des décennies, mais nous n’avions jamais pensé que cela deviendrait une réalité. C’était juste imaginé, mais c’est devenu une réalité. En fait c’est un sujet qui concerne chacun d’entre nous. Je m’y oppose. »
Il a dit qu’il partagerait ces informations avec ses amis et sa famille. Il a également dit que de tels crimes seraient arrêtés tôt ou tard.
Un passant discute avec une pratiquante.
Peter s'est arrêté au stand et a dit à un pratiquant : « Les gens ne devraient pas être persécutés pour leur croyance. Les gens devraient avoir leur propre façon de penser et leur propre croyance. La persécution est liée au pouvoir et à la paranoïa. Rien ne justifie une telle peur, et les gens devraient être autorisés à vivre librement. »
Il était profondément bouleversé d’apprendre les prélèvements d’organes à vif perpétrés par l’État. « C’est inhumain », a-t-il dit. « Les médecins impliqués devraient être privés de leur licence et enfermés en prison. »
Ursula, qui travaillait dans l’éducation spécialisée avant sa retraite, a pris un dépliant et a discuté avec les pratiquants pour en savoir plus. Elle a dit qu’elle avait contribué à protéger les droits de l'homme du peuple chinois.
« La persécution bafoue les droits de l’homme et empêche les gens de vivre comme ils le devraient », a dit Ursula. « Les hommes devraient se conformer aux normes éthiques et ne pas transiger avec le pouvoir. »
Elle a trouvé le crime des prélèvements forcés d’organes sur les pratiquants de Falun Gong par le PCC inacceptables. « Cela ne devrait pas se produire. C’est une violation des droits de l’homme », a-t-elle déclaré.
Elle a signé la pétition pour protester contre la persécution et a dit qu’elle le faisait pour aider tous les Chinois. Elle a souhaité que les droits de l’homme soient respectés en Chine.
Des passants ont dit qu’ils connaissaient un peu le Falun Gong et ils ont discuté avec les pratiquants pour en savoir plus. Certains ont pris en photo la grande banderole « Falun Dafa est bon ».
Traduit de l'anglais