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Fahui de Minghui | Regarder en soi pour éliminer les attachements pendant les conflits

16 novembre 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

Deux autres pratiquantes et moi étudions souvent ensemble les enseignements. Au cours des dix dernières années, Xuan a eu de temps en temps des conflits avec moi.

Nos disputes tournaient généralement autour de la même situation : je pensais que Xuan m’avait fait du tort, mais elle pensait que c’était moi la fautive. Elle disait toujours : « Je pensais que tu étais une bonne amie, mais tu m’as laissé tomber et tu ne m’as pas aidée quand je traversais des moments difficiles. »

J’ai essayé plusieurs fois d’expliquer la situation, mais elle répondait toujours que je ne faisais que trouver des excuses pour me défendre, ce qui la mettait encore plus en colère. Cela se produisait chaque fois que nous en discutions.

Identifier les conceptions humaines

Je savais que ce n’était pas droit et que je devais regarder à l’intérieur pour m’élever, mais je ne savais pas exactement quels attachements je devais abandonner à travers la cultivation.

Je me suis souvenue de ce que le Maître a dit dans le poème suivant :

« N’argumentez pas »

« N’argumentez pas quand d’autres insistent et argumentent

Chercher la cause à l’intérieur c’est le xiulian

Plus on explique, plus le cœur devient lourd

En étant franc et ouvert, sans attachement, apparaît la clairvoyance »

(Hong Yin III)

Pourquoi devais-je me justifier et quel attachement avais-je encore ? Il semble que je ne voulais pas être lésée ou humiliée. J’ai pensé que c’était peut-être une occasion de cultiver la tolérance.

Le Maître a dit :

« Car au milieu des gens ordinaires, toutes sortes d’attachements de gens ordinaires viennent vous déranger. Il y en a qui ne vous comprendront pas, même si vous avez guéri leur maladie ; en les soignant, vous avez évacué de leur corps tellement de mauvaises choses, vous les avez si bien guéris, mais à ce moment-là le changement n’est pas encore perceptible. Le patient, lui, est mécontent et ne vous est pas reconnaissant, peut-être même qu’il vous insulte et dit que vous l’avez trompé ! C’est justement à travers ce genre de problèmes, dans ces circonstances, que votre cœur est forgé par les démons. » (Troisième Leçon, Zhuan Falun)

Grâce à cette compréhension, je pouvais mieux gérer la situation. Pendant un certain temps, j’arrivais à rester calme même lorsque les remarques de Xuan étaient sarcastiques. Mais les conflits n’ont pas tardé pas à resurgir.

Un jour, Xuan m’a dit : « Je n’aime pas ta façon de parler. À chaque fois que tu parles, cela m’agace. »

Faire face aux critiques me faisait perdre la face. Après tout, j’avais cultivé plus longtemps qu’elle et que l’autre pratiquante de notre groupe d’étude du Fa.

J’ai regardé à l’intérieur et je me suis demandé pourquoi Xuan n’aimait pas ma façon de parler ? Qu’avais-je dit ? En repensant aux remarques que j’avais faites dans le passé, j’ai réalisé que j’avais l’attachement à me faire valoir, à me valider et à agir en me sentant supérieure à Xuan et aux autres. Je ne répondais pas aux exigences d’une pratiquante.

Le Maître a dit :

« Je dis souvent que si quelqu’un peut ne prendre que le profit d’autrui comme objectif et ne garder aucun but personnel ni aucune compréhension personnelle, ses paroles pourront faire pleurer ses interlocuteurs. Je ne vous ai pas seulement enseigné Dafa, mon comportement est aussi destiné à vous être laissé, au cours du travail la manière de parler, le cœur de bonté ajouté à la raison peuvent changer le cœur des gens, mais un ordre n’y arrivera jamais ! » (« Lucidité », Points essentiels pour avancer avec diligence)

Je me suis rendu compte que je mettais souvent l’accent sur le fait que ma compréhension d’un sujet dont nous discutions était correcte et que je rejetais les pensées des autres pratiquants. En d’autres termes, j’avais tendance à exprimer mes pensées et à me faire valoir. Je me concentrais aussi très souvent sur la logique, mais je manquais de gentillesse dans le ton de ma voix. Pas étonnant que Xuan et moi ayons souvent eu des conflits.

J’ai ensuite travaillé pour éliminer ces attachements que j’avais identifiés.

Cultiver la gentillesse

Xuan disait que je n’étais pas gentille avec les autres. Je n’ai pas compris. Depuis que je suis enfant, les gens ont toujours dit que j’étais une personne gentille qui traitait bien les autres. Personnellement, je le pensais aussi. De plus, j’étais maintenant une pratiquante de Falun Dafa qui suivait le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Pourquoi Xuan m’accusait-elle de ne pas être gentille ?

J’ai réfléchi à ce qu’est la gentillesse et à ce que Xuan avait vu en moi qui lui avait fait dire que je n’étais pas gentille.

Le Maître a dit :

« En cultivant Shan, on peut faire naître en soi le cœur de grande compassion et lorsque le cœur de compassion émerge, on voit tous les êtres dans la souffrance et alors on fait un vœu : celui de sauver tous les êtres. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Dans le passé, ma compréhension de la bonté était celle d’une personne ordinaire. Maintenant, en tant que pratiquante à l’esprit pur, j’ai commencé à réfléchir à la véritable compassion. Après tout, ce devait être quelque chose que j’ai dit ou fait qui a blessé Xuan ; sinon, elle n’aurait pas le sentiment que je l’ai blessée.

Le Maître a dit :

« Lorsque j’ai enseigné la Loi et la méthode à Taiyuan, il y avait une dame de plus de cinquante ans qui venait avec son mari à notre stage. Au moment où ils traversaient la rue, une voiture a passé à vive allure et son rétroviseur a accroché la veste de cette dame âgée. La dame a été traînée sur plus de dix mètres et pan ! Elle a été jetée à terre, alors que la voiture a roulé plus de vingt mètres avant de s’arrêter. Le chauffeur a bondi hors du véhicule d’un air fâché : “Eh, vous traversez sans regarder !” De nos jours face à un problème, les gens sont ainsi, on pense avant tout à esquiver sa responsabilité, à rejeter la faute sur les autres, qu’ils soient responsables ou non. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

J’ai réalisé que je m’étais comportée comme le conducteur qui essayait de rejeter la faute sur autrui et de se trouver des excuses. En tant que pratiquante, peu importe à qui la faute, je devais me soucier de Xuan en lui présentant des excuses, plutôt que de fuir mes responsabilités. Forte de cette compréhension, je suis allée voir Xuan et lui ai présenté des excuses sincères. J’ai partagé mes pensées sur les enseignements ci-dessus et j’espérais que Xuan pourrait me pardonner.

Lorsque je suis rentrée chez moi, j’ai continué à regarder à l’intérieur pour voir si j’avais fait autre chose qui aurait pu nuire à Xuan ou à quelqu’un d’autre. Je me suis alors rendu compte que j’avais fait beaucoup de choses sans compassion. Par exemple, j’étais jalouse et j’avais l’esprit de compétition, alors comment pouvais-je faire preuve de gentillesse lorsque j’interagissais avec les gens ? Très souvent, je jugeais les choses en fonction de mes conceptions humaines et je regardais les autres de haut. Comment pouvais-je alors faire preuve d’une réelle compassion ? Mon manque de compassion se reflétait dans mes paroles, mes actes, mon comportement et mes expressions faciales. Lorsque je me disputais avec d’autres personnes avec des attachements aussi forts, comment pouvais-je ne pas les blesser ? J’étais profondément désolée d’avoir blessé Xuan et les autres et j’ai décidé de travailler dur pour éliminer mes attachements.

L’attachement à la réputation

Plus tard, cependant, les conflits ont resurgi et ils tournaient toujours autour du même vieux problème. Lorsque Xuan et moi nous sommes à nouveau disputées, je me suis demandé : « Pour quoi te disputes-tu ? » « La réputation. » Ce mot m’est venu à l’esprit. J’étais un peu surprise et je savais que c’était une indication du Maître. J’ai failli m’effondrer en pensant : « Oui, depuis le début, c’est pour cela que je me battais et jusqu’à maintenant, je ne l’avais pas réalisé. »

En rentrant à vélo chez moi, je me sentais vide. Mon corps était léger et j’étais un peu désorientée. La prise de conscience que j’étais toujours attachée à la réputation a été un coup dur pour moi. J’ai commencé à réfléchir à ce qu’était exactement la réputation.

J’ai réalisé qu’une des manifestations de cet attachement à la réputation était de me défendre pour éviter qu’on profite de moi. À cause de cela, je ne pouvais pas tolérer les argumentations des autres, ni devenir vraiment bienveillante. Après tout, si je me battais pour ma propre réputation, comment pouvais-je être bienveillante ?

De plus, avec un tel attachement caché, j’étais incapable de prendre les choses à la légère. Au lieu de cela, je montrais aux gens un bon côté et dissimulais mes défauts pour conserver une bonne réputation. Par conséquent, même lorsque je faisais quelque chose qui avait l’air bien, ma motivation était de protéger ma réputation au lieu d’être vraiment bonne pour les autres.

J’ai réalisé que l’attachement à la réputation est une forme d’égoïsme. Pour cette raison, je me suis disputée avec les pratiquants et je n’ai pas tenu compte de leurs sentiments. C’est loin de ce que l’on attend d’une pratiquante de Falun Dafa.

Le Maître a dit :

« En général si vous gardez toujours un cœur de compassion, un esprit paisible et serein, lorsque vous vous trouverez face à un problème, vous agirez bien car vous aurez de l’espace pour le désamorcer. Vous avez toujours de la compassion et vous agissez avec bienveillance envers autrui ; quoi que vous fassiez, vous vous préoccupez des autres et chaque fois que vous avez un problème, vous vous demandez si les autres peuvent le supporter et si cela peut leur causer du tort ; alors dans ce cas, il n’y aura aucun problème. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Le Maître nous a également prévenu :

« S’attacher au renom, c’est agir dans la loi perverse, s’ils sont connus dans le monde, ils ont certainement une parole bienveillante et un esprit démoniaque, trompent les gens et troublent la Loi. » (« Abstinences pour les pratiquants », Points essentiels pour avancer avec diligence)

J’ai compris que je devais travailler sur cet égoïsme tenace et l’abandonner.

L’importance de l’altruisme

Xuan a continué à exprimer son mécontentement à mon égard. Elle a même tenté plusieurs fois de me faire partir. Elle ne voulait pas me voir chez elle, qui est l’endroit où nous avons notre étude collective. Mais j’ai choisi de ne pas partir.

Le Maître a dit :

« Combien parmi ceux qui sont assis ici peuvent rester le cœur tranquille quand tout à coup quelqu’un vous pointe le nez du doigt et commence à vous insulter ?Combien parmi vous peuvent rester le cœur imperturbable et chercher la raison de leur côté en faisant face à la critique et aux reproches des autres ? » (Enseignement du Fa à la Conférence de Fa à la ville de Los Angeles)

Bien que je sois restée, je n’étais pas capable de demeurer imperturbable. Puisque Xuan voulait me mettre à la porte, je devais avoir fait quelque chose de terriblement mal. Ma compassion n’était pas assez forte pour dissoudre les mauvais éléments dans mon champ, notamment le fait de me sentir lésée et contrariée, d’avoir des pensées négatives à l’encontre de Xuan, etc.

La situation ne s’est pas améliorée et Xuan a continué à exiger que je parte. Elle a dit : « Si je suis incapable de bien cultiver, tu en seras tenue pour responsable. » Cela m’a alarmée : « Notre groupe est un seul corps. Serai-je tenue responsable s’il y a une mauvaise situation dans notre groupe ou si une compagne de cultivation ne parvient pas à bien cultiver ? Que dois-je faire pour être un corps uni ? Il semble y avoir beaucoup d’interférences. »

J’ai réalisé que les forces perverses exploitaient les conceptions humaines que Xuan et moi n’avions pas éliminées et creusaient un fossé entre nous pour interférer et détruire notre corps uni.

J’ai commencé à émettre la pensée droite pour nettoyer mon champ et le groupe. Pendant l’étude collective, j’ai partagé ma compréhension dans l’espoir que tout le monde y réfléchisse. Au cours de ce processus, lorsque je pensais que c’était difficile et que je me sentais contrariée, je pensais à quitter le groupe. Mais l’étude collective est un format que le Maître nous a laissé et il pouvait y avoir des significations plus profondes dont je n’étais pas consciente. Si je quittais le groupe, j’aurais eu tort, car je n’aurais pas réussi à maintenir un environnement de groupe où nous pouvions nous rappeler les unes aux autres de faire mieux et de devenir plus assidues. Ce serait une omission dans ma cultivation et une indication de mon incapacité à bien faire.

Pendant quelques jours, j’hésitais à quitter le groupe d’étude pour un temps.

Puis j’ai fait un rêve à propos d’un examen. Il y avait de nombreux problèmes à l’examen que je ne savais pas résoudre, alors j’ai décidé d’abandonner. Lorsque je me suis réveillée, j’ai compris que c’était une indication du Maître : la situation à laquelle je faisais face était comme un examen. Comment pouvais-je abandonner ? J’ai donc décidé de me concentrer sur l’étude du Fa. Je savais que ce n’est qu’en étudiant bien le Fa que je trouverais des solutions à mes problèmes.

Un matin, les mots du Maître me sont venus à l’esprit,

« Clair et harmonieux »

« Zhen Shan Ren en son cœur,

Se cultiver, en faire bénéficier le peuple.

Dafa ne quitte pas son cœur,

Un jour, c’est sûr, surpasser l’homme. »

(Hong Yin)

Mon cœur était heureux, car il était rempli des principes du Falun Dafa. Mais par où devais-je commencer ?

J’ai progressivement développé une meilleure compréhension de ma situation. Oui, je me sentais mal, mais qu’en était-il de Xuan ? Peut-être se sentait-elle encore plus mal. Dans le passé, je ne prêtais attention qu’à mes sentiments et à mes émotions. Si je ne tenais pas compte des sentiments de Xuan, comment pouvais-je vraiment la comprendre et faire de bonnes choses pour elle ? Mon incapacité à me mettre à la place des autres n’était-elle pas une manifestation de mon égoïsme ?

J’ai commencé à travailler pour me débarrasser de mon égoïsme et pour mieux comprendre Xuan. Je me suis demandé quelle serait la bonne façon de faire les choses qui seraient bonnes pour Xuan et pour notre groupe d’étude du Fa.

Le Maître a dit :

« Je veux encore vous dire, en fait votre nature du passé était fondée sur la base de l’ego et de l’égoïsme. Désormais, quoi que vous fassiez vous devez penser d’abord aux autres, arriver en vous cultivant à l’éveil complet sans égoïsme ni ego, autrui d’abord et soi ensuite, ainsi dès maintenant, quoi que vous fassiez ou disiez, vous devez penser aux autres, et même penser aux générations futures ! » (« La nature de Bouddha sans écoulement », Points essentiels pour avancer avec diligence)

J’ai progressivement acquis une meilleure compréhension de ces principes du Fa. Le Maître m’a aidée à reconnaître que la capacité de mon cœur était trop petite. Ces conflits avec Xuan n’étaient rien. Je devais simplement me concentrer sur le groupe pour remplir notre mission de pratiquants de Falun Dafa.

Avec cette pensée, j’ai pris mon vélo pour aller chez Xuan. Je n’avais plus peur que notre conversation devienne désagréable –je voulais simplement ouvrir mon cœur et lui parler. J’ai partagé mes compréhensions et elle m’a dit, en souriant : « Mon ressentiment est maintenant lui aussi parti. »

Au cours des dix dernières années, j’avais pensé cultiver la tolérance, mais j’en ai été incapable. J’ai maintenant compris que ce n’est qu’en renonçant à l’égoïsme et aux autres attachements que je peux avoir de la tolérance, qui est le reflet naturel de mon niveau, et non quelque chose de forcé. L’indulgence émergera naturellement lorsque nous ne serons plus attachés à savoir si les autres sont bons ou mauvais, justes ou injustes. Ce n’est qu’en nous alignant sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance que nous pourrons nous libérer de la nature égoïste de l’ancien univers et atteindre les exigences d’altruisme et de désintéressement du nouvel univers. Ce n’est qu’alors que nous pourrons faire preuve d’une grande tolérance.

Épilogue

Après avoir écrit ce qui précède, je pensais en avoir terminé avec mon article. Puis je suis tombée sur l’histoire de Lu Hongjian, un ancien sage de la dynastie Tang.

Lu et son ami Li Jiqing avaient un jour besoin d’eau de la rivière Nanling, qui se trouve près du fleuve Yangtsé. L’assistant de Li a ramé jusqu’à la partie où la rivière est profonde et il a puisé de l’eau.

En versant de l’eau de la bouteille, Lu a dit : « Cela ne vient pas de la rivière Nanling. On dirait plutôt de l’eau provenant des rives du fleuve Yangtsé. »

« Je suis allé à la rivière Nanling en bateau et j’y ai vu des centaines de personnes », a répondu l’aide. « Pourquoi vous tromperais-je ? »

Lu n’a rien dit et a commencé à verser l’eau de la bouteille dans une bassine. Il s’est ensuite arrêté à moitié et a versé quelques cuillerées supplémentaires.

« Le reste de l’eau de cette bouteille vient de la rivière Nanling », a-t-il remarqué.

L’assistant était choqué. Il s’est agenouillé et a dit : « Après avoir pris l’eau de la rivière Nanling, je suis retourné sur la rive. Comme le bateau se balançait, j’ai perdu environ la moitié de l’eau contenue dans la bouteille. Pour la remplir à nouveau, j’ai pris de l’eau près de la rive. Je ne savais pas que le sage était si extraordinaire ! »

En repensant à mes conflits avec Xuan, j’ai réalisé que c’était comme si j’étais l’aide et que Xuan était le sage Lu Hongjian. Probablement que son côté éclairé pouvait voir tous mes attachements. Elle me montrait la partie impure en moi (qui était comme l’eau de la rive) tandis que j’insistais sur la bonne partie de moi (qui était comme l’eau prise là où la rivière était profonde). Alors pourquoi ne lui ai-je pas parlé plus tôt de mon « eau de la rive » ?

J’ai réalisé que c’était dû à ma recherche de la renommée. Je ne voulais pas faire face à mes défauts ni admettre mes erreurs. Je voulais juste protéger mon image « parfaite ». Mais c’était erroné. Après tout, mes parties impures ne peuvent être dissimulées et le Maître le voit. Il utilise probablement les mots de Xuan pour mettre en évidence mes insuffisances afin que je puisse m’améliorer dans ces domaines.

Après dix ans de cultivation, j’ai enfin appris ce que signifie laisser tomber les conceptions et les attachements humains.

Merci, Maître ! Merci, compagnons de cultivation !

Traduit de l’anglais