(Minghui.org) Après l'apparition du coronavirus à Wuhan pendant l'hiver 2019, en raison des efforts déployés par le gouvernement chinois pour dissimuler l'épidémie, la ville voisine de Chibi n'a pas pu se préparer. Alors que 200 infections avaient été signalées, le nombre réel était bien plus élevé. Il y a eu plusieurs situations où des pratiquants de Falun Gong (également appelé Falun Dafa) et des personnes qui croyaient aux phrases de bon augure « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » ont été protégés du virus.
Détenues infectées, pratiquantes de Falun Gong non touchées
Mme Wang est une pratiquante de Falun Gong âgée de Chibi. Elle a été arrêtée et condamnée à un an de prison pour avoir parlé du Falun Gong en public.
Comme le coronavirus s'est répandu comme une traînée de poudre dans la région, de nombreux prisonniers ont été infectés. Tous les prisonniers ont été mis en quarantaine dans un hôtel. Mme Wang a été placée dans une chambre avec deux autres prisonnières chargées de la surveiller.
Bientôt, l'une des deux détenues a été testée positive au coronavirus. Quelques jours plus tard, l'autre détenue a également été testée positive. Mme Wang n'a pas été touchée.
Deux autres détenues ont été envoyées pour rester avec Mme Wang et la surveiller. Elles ont fini par être infectées par le virus elles aussi. À nouveau, Mme Wang n'a pas été touchée.
L'immunité de Mme Wang contre le virus a causé beaucoup de remous dans la prison. Certains prisonniers pensaient que les pratiquants de Falun Gong n'étaient pas des gens ordinaires et ne voulaient plus être impliqués dans la persécution des pratiquants. Les deux dernières détenues envoyées par la prison pour surveiller Mme Wang n'étaient pas violentes. Elles n'ont pas été infectées par le virus.
Dans les temps anciens, les Chinois croyaient que les épidémies n'infectaient pas les gens au hasard. Ceux qui commettent des crimes en persécutant les pratiquants pacifiques ne seraient pas épargnés par les fléaux.
Symptômes disparus après avoir cru en« Falun Dafa est bon »
Avant l'épidémie de Wuhan, Mme Yi, pratiquante de Falun Gong, et son mari ont accompagné à l'hôpital pulmonaire de Wuhan le frère de Mme Yi pour traiter son emphysème.
Dès leur arrivée, Mme Yi et sa famille ont remarqué que les gens de l'hôpital portaient des masques chirurgicaux. Ils ont aussi essayé d'en acheter, mais n'ont pas pu en trouver en ville. Ce qu'ils ne savaient pas, c'est que l'hôpital pulmonaire de Wuhan avait été désigné comme centre de traitement des patients atteints de coronavirus.
L'ampleur et les véritables statistiques de la pandémie n'étaient pas connues du public. Le frère de Mme Yi a été transféré dans une autre unité pour une raison inexpliquée. Pendant tout ce temps, Mme Yi et son mari ont dormi sur des brancards dans le couloir et ont utilisé les salles de bain des patients à l'étage.
Le médecin traitant les a convaincus de rentrer chez eux : « Pourquoi ne ramenez-vous pas votre frère à la maison pour l'instant ? On ne peut pas traiter son état rapidement, et vous ne voudriez pas attraper autre chose. »
Lorsqu'ils sont rentrés chez eux, Mme Yi a commencé à avoir des frissons, une toux et des symptômes gastro-intestinaux. Tous ses malaises ont disparu après avoir fait les exercices de Falun Gong. Le mari de Mme Yi avait des difficultés à respirer. Il ne pratiquait pas le Falun Gong, alors Mme Yi lui a suggéré de réciter sincèrement : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Il s'est vite remis aussi.
Le rétablissement des trois membres de la famille
Le frère de Mme Bing, la femme de son frère et leur fils pratiquaient le Falun Gong avant que le Parti communiste chinois ne persécute brutalement le Falun Gong en 1999. Par peur, les trois membres de la famille ont cessé de pratiquer.
Tous trois ont été infectés par le coronavirus, et le frère de Mme Bing a été mis sous respirateur.
Mme Bing leur a dit de réciter sincèrement : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Tous les trois se sont rétablis.
Traduit de l'anglais en France