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Le temps est compté pour sauver les gens – le Maître est avec nous

19 mars 2021 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Au premier jour du Nouvel An chinois, que ce soit dans les régions rurales ou dans les villes, les gens se rendent toujours visite afin d'échanger leurs vœux du Nouvel An. Cependant en 2020, j'ai vu très peu de gens dans la rue le premier jour du Nouvel An chinois, ce qui était étrange. J'ai ensuite appris que quelqu'un avait attrapé le coronavirus dans un village voisin, et que le village avait été ensuite confiné.

Le bureau de notre village a commencé à diffuser le lendemain : « Ne sortez pas, ne vous rassemblez pas, restez chez vous. » Dans l'après-midi, des gens ont été chargés de garder les entrées du village et d'enregistrer les informations personnelles des occupants des véhicules.

Les adhérents du Falun Dafa du village voisin nous ont appelés le sixième jour du Nouvel An lunaire. Ils avaient commencé à distribuer à grande échelle des documents sur la pratique et nous ont demandé si nous voulions quelques exemplaires de la Prophétie de Liu Bowen qu'ils venaient tout juste d'acquérir. Nous avons décidé de prendre 1000 exemplaires. Après avoir ramassé les documents, la douleur dans mes genoux, qui durait depuis des jours, a disparu.

Il est impératif de sauver des gens

Cet après-midi-là, nous avons mis les livrets dans des sacs. Le soir suivant, un autre pratiquant et moi avons distribué chacun 500 exemplaires.

J'ai commencé après 21 heures. J'écoutais l'enregistrement de Fa sur mon téléphone pendant que je distribuais les documents et je suis devenu plus confiant. Plusieurs villageois qui tiennent des commerces ont des chiens et des caméras de surveillance. Certaines familles ont deux caméras. Les chiens de certaines familles ont aboyé avant même que je ne m'approche et les propriétaires sont immédiatement sortis pour voir ce qui se passait. Certaines lumières à détection de mouvement se sont soudainement allumées. Lorsque ces choses se produisaient, je me cachais pendant un moment et j'émettais la pensée droite. Je continuais à travailler lorsque la situation redevenait sûre.

Alors qu'il me restait 80 exemplaires, une sirène de police a soudainement retenti. Je me demandais si j'avais été détecté par une caméra de surveillance et signalé à la police. J'ai décidé de me cacher et de le rester pendant un moment. Mes jambes étaient si fatiguées que je pouvais à peine bouger de toute façon. Après avoir émis la pensée droite pendant une dizaine de minutes, on pouvait toujours entendre la sirène de police. J'ai pensé : « Il est impératif que je sauve les gens pendant la pandémie. Le Maître me protège et les divinités gardiennes de la Loi sont également avec moi. La police ne me trouvera pas. » J'ai cessé de me cacher et j'ai continué de distribuer les informations. J'ai laissé des documents à tous les domiciles du quartier. Lorsque je suis rentré chez moi, il était presque 2 heures du matin.

Sauver les gens dans d'autres villages

Après avoir couvert notre village et deux villages voisins, nous avons décidé de distribuer les documents dans des villages situés au nord de chez nous. Cette fois-ci, cinq d'entre nous y sont allés. Après avoir terminé quatre des villages, un pratiquant nous a dit que trois pratiquants vivaient dans le cinquième village plus au nord, tous septuagénaires, et que nous devrions nous mobiliser pour distribuer des documents localement.

Je suis allé dans ce village à la recherche des pratiquants. Toutes les routes étaient bloquées, j'ai donc dû marcher sur les chemins de traverse. J'ai marché pendant une heure, mais je n'ai pas trouvé leurs domiciles, alors je suis rentré chez moi.

Le lendemain, j'ai obtenu l'adresse d'un contact et je me suis mis en route. Les routes étaient à nouveau bloquées. Un villageois m'a indiqué quelle entrée je pouvais utiliser. Comme je ne trouvais pas l'adresse, j'ai demandé au Maître de me donner un indice. J'ai finalement trouvé le domicile de la pratiquante. Elle m'a dit qu'elle allait garder 250-300 exemplaires, mais que les deux autres pratiquants ne voulaient pas participer à la distribution. Elle m'a dit que ces personnes venaient chez elle tous les jours après 18 h30 pour étudier avec elle. Elle voulait que j'aille chez elle, que je participe à l'étude collective et que je partage mes expériences de cultivation avec eux.

Je me suis rendu chez elle le lendemain soir en prenant le livre Enseignement du Fadans les conférences (IX)avec moi. Nous avons lu :

« Si je concluais cette affaire juste maintenant, les vies détruites dans le futur seraient trop nombreuses. Ces personnes descendues pour obtenir la Loi et ces personnes venues dans le but d'obtenir la Loi seraient venues en vain. Au début, ces vies, peu importe ce qu'elles font comme travail actuellement, toutes étaient des divinités. Bien qu'elles aient vu combien c'est terrifiant ici, cependant elles ont osé sauter la tête la première, elles ont osé venir ici, pourquoi ? Parce qu'elles avaient espoir dans la rectification par la Loi et en Dafa, avec une croyance extrêmement ferme, elles sont venues. Peu importe comment elles se comportent maintenant, nous devons voir comment les choses étaient au début et regarder leur histoire, on doit regarder comment était cette vie dans le passé et on doit faire de notre mieux pour les sauver. C'est la Grande Loi de l'univers, après tout, et pour les innombrables êtres, l'occasion est rare. Il n'y a qu'une seule fois, si on peut le garder, il va être gardé ; s'il ne peut pas être gardé, il va donc disparaître pour toujours. Donc, je trouve que nous devons continuer à le faire et continuer à les sauver. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 », Enseignement du Fa dans les conférences IX)

Après avoir étudié ensemble, la pensée droite de chacun a été renforcée et tous ont décidé de sortir et de distribuer les pamphlets. Nous avons tous pris une part égale.

Je suis rentré chez moi après 21 heures. En réfléchissant à ce qui s'est passé, j'ai réalisé que j'avais suivi un chemin différent et peu familier, mais que je ne m'étais jamais égaré sous la guidance du Maître. Je me suis rendu compte que j'étais passé devant de nombreux postes de surveillance, mais que lorsque je les ai passés à vélo, les personnes de garde étaient occupées à manger dans des tentes. Si j'étais revenu en utilisant le même chemin, j'aurais été arrêté et interrogé.

Sauver plus de gens

Environ deux mois plus tard, les barrages routiers ont été levés. J'ai téléchargé des documents sur le site Web Minghui et imprimé 560 exemplaires. Quatre d'entre nous se sont rendus dans le village où les premiers cas de coronavirus avaient été signalés dans notre région. Nous avons distribué les documents sans incident. Cependant, il nous manquait une quarantaine de livrets et nous avons décidé de revenir et de terminer le travail plus tard.

Nous avons couvert deux autres villages où nous n'avions pas distribué à grande échelle les documents auparavant. Il n'y avait pas de pratiquants dans ces deux endroits. Beaucoup de choses intéressantes se sont produites. Nous nous sommes divisés en groupes de deux pratiquants. J'étais avec le chauffeur. Nous nous sommes perdus, car nous ne connaissions pas bien les lieux, mais après avoir imploré le Maître de nous aider, j'ai vite retrouvé le chauffeur qui m'attendait au bord de la route.

Lorsqu'un chien a aboyé bruyamment après nous. Je lui ai dit : « Si tu veux entrer dans le nouvel univers, souviens-toi “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.” Si tu continues à aboyer et à nous interférer, sais-tu à quel point tu commettras un péché ? » Il a immédiatement cessé d'aboyer. Nous avons distribué avec succès tous les documents.

Après cela, nous sommes allés dans un autre village, qui était le dernier que nous voulions couvrir dans notre région. Nous avons remarqué qu'il y avait plusieurs caméras de surveillance et qu'une maison sur deux avait un lampadaire. L'un des pratiquants a suggéré que nous retournions pendant un jour de pluie. Nous y sommes retournés sous une forte pluie, vêtus d'imperméables et de bottes de pluie et nous avons finalement rempli notre souhait.

Au cours des six derniers mois, notre tâche principale a été de distribuer autant de documents pour clarifier les faits que possible et de sauver plus de gens pendant la pandémie. Nous devrions être plus diligents, sauver plus d'êtres afin de ne pas décevoir le Maître.

Traduit de l’anglais