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Les trois séjours de mon mari dans un centre de désintoxication – qu'est-ce qui a permis sa guérison ?

30 mars 2021 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Lors d'une fête en 2009, alors que mon mari était ivre, ses soi-disant « amis » lui ont injecté de la drogue. Au cours des six années suivantes, la police l'a emmené trois fois au centre de désintoxication de la localité. Il n'a cessé de rechuter jusqu'à ce qu'il commence à lire les livres de Falun Dafa avec ma mère et moi. Sept mois plus tard, il était une nouvelle personne et avait même repris le travail. Avant de raconter son histoire, je vais d'abord raconter la mienne.

J'ai eu des problèmes de santé depuis mon enfance. Après avoir subi une opération cardiaque à l'âge de 7 ans, je souffrais de maux de tête chroniques. J'ai réussi à terminer l'école secondaire, mais je n'ai pas pu continuer à cause de ma santé fragile.

À cette époque, ma mère a commencé à cultiver et pratiquer le Falun Dafa. Plusieurs de ses maux ont été résolus, notamment les problèmes cardiaques, la trachéite, l'arthrite et les migraines. Son humeur s'est également améliorée et notre famille était plus heureuse que jamais. Impressionnée par ses changements positifs, j'ai commencé à me rendre avec elle dans un parc de la localité pour faire les exercices de Falun Dafa chaque matin. J'ai également lu avec elle le Zhuan Falun, qui explique les principes du Falun Dafa.

Me marier

En 1997, ma tante a ouvert une affaire dans une ville de la côte et m'a demandé si je pouvais l'aider. J'ai dit que, même si je n'avais que 17 ans, je voulais bien. Pendant que j'étais là-bas, petit à petit, j'ai arrêté de faire les exercices et de lire les enseignements.

En 2000, je suis retournée chez moi et j'ai trouvé un autre emploi. À ce moment-là, ma mère avait été envoyée en camp de travaux forcés parce qu'elle pratique le Falun Dafa. Mon père la soutenait, bien qu'il ne cultive et ne pratique pas lui-même. Quand la persécution a commencé en 1999, il a été trompé par la propagande calomnieuse. Ses paroles négatives m'ont également affectée et m'ont éloignée de Dafa. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi elle était si déterminée à continuer dans une telle répression d'ampleur nationale. Chaque jour, je sortais avec des amis et je buvais avec eux pour tuer le temps.

Un collègue m'a présenté quelqu'un qui, plus tard, est devenu mon mari. Après que nous nous sommes fréquentés pendant un certain temps, mes parents se sont renseignés et ont entendu dire qu'il avait mauvaise réputation – il était presque comme un membre de la mafia. Il n'avait même pas terminé le lycée et ne faisait que jouer avec ses amis toute la journée. Sa famille était inquiète, car il se bagarrait, buvait de l'alcool et jouait à des jeux d'argent, mais elle ne pouvait rien y faire.

J'avais l'esprit confus à l'époque. Pour moi, il était beau et beau parleur. Il me traitait bien et m'invitait dans de beaux restaurants. Il avait aussi beaucoup d'amis et pouvait me trouver de l'aide dès que j'en avais besoin. Ma mère n'arrêtait pas de me demander de rompre avec lui, mais je l'ai ignorée. Mon père était très en colère et a fini par avoir un problème cardiaque. Ma mère n'avait pas d'autre choix que d'accepter et de me suivre.

Ce n'est qu'une fois mariée que j'ai appris que mes parents avaient raison. Il y a un ancien diction chinois qui dit : « Si vous n'écoutez pas les paroles d'un homme âgé, vous allez bientôt souffrir. » Chaque jour, mon mari mangeait, buvait et perdait son temps avec ses amis. Il ne retournait à la maison que tard le soir. Il ne se préoccupait absolument pas de moi et n'était pas heureux quand il était à la maison. Il était comme une autre personne.

Un jour, alors qu'il était parti depuis plusieurs heures, je suis allée là où il était et je lui ai demandé de rentrer à la maison. Pensant qu'il allait perdre la face devant ses amis, il a menacé de me battre, même si j'étais enceinte de huit mois. Après la naissance de notre fils, il ne se préoccupait toujours pas de vivre en famille, alors j'ai élevé notre fils toute seule.

Ma belle-mère avait une mauvaise santé et ne pouvait pas m'aider. J'ai demandé à ma mère si elle pouvait s'occuper de l'enfant pour que je puisse travailler. Même si j'avais refusé d'écouter mes parents, ma mère a accepté de m'aider parce que le Falun Dafa lui avait enseigné la compassion et le pardon. En plus de m'aider pour mon fils, ma mère a également essayé de m'aider. Elle m'a fait remarquer que je subissais beaucoup de stress. Elle m'a également rappelé d'être prévenante envers les autres au lieu de me plaindre.

J'ai été émue par sa capacité à me pardonner. Elle m'a expliqué que la pratique du Falun Dafa lui avait appris la compassion, mais que le Parti communiste chinois (PCC) persécutait le Falun Dafa et son principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Reprendre la pratique

Touchée par les paroles de ma mère, j'ai regardé les DVD qu'elle m'avait donnés sur le Falun Dafa. J'ai compris pourquoi les pratiquants chérissaient tant Dafa. J'ai aussi appris à quel point l'ancien dirigeant du PCC et d'autres fonctionnaires avaient inventé des mensonges pour diffamer Dafa et tromper les gens. Ma mère m'a rappelé que ma mauvaise santé s'était améliorée après que j'avais commencé à pratiquer Dafa, ce qui expliquait pourquoi j'étais en bonne santé et pleine d'énergie aujourd'hui.

Elle a expliqué que le véritable but de la vie n'était pas de faire des bêtises et de s'enfoncer davantage dans les mondanités, mais de devenir une bonne personne et de retourner à notre foyer céleste. « Pour y parvenir, il faut se cultiver, et Dafa est la meilleure et la seule voie pour cela », a-t-elle ajouté. En 2007, j'ai repris la pratique du Falun Dafa.

En raison de mes responsabilités, je n'étudiais les enseignements et ne faisais les exercices que pendant mon temps libre. Je n'étais pas en mesure de parler de Dafa à plus de gens et de dénoncer la propagande diffamatoire comme d'autres pratiquants. Pourtant, Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) s'est occupé de moi. Je me sentais mieux et je ne me plaignais plus de mon mari. Au contraire, je le traitais bien. J'étais heureuse quand il rentrait à la maison et je n'étais pas contrariée quand il était absent. J'ai aussi parlé avec lui, en espérant qu'il devienne une meilleure personne. Je lui ai dit que nous devions être des parents responsables et élever notre enfant ensemble.

Je ne sais pas dans quelle mesure il acceptait ce que je disais, ni même s'il m'écoutait. Je voulais simplement qu'il soit bon afin que nous ayons une famille heureuse.

Le début de notre cauchemar

En 2009, mon mari s'est enivré avec ses « amis », qui lui ont secrètement injecté de la drogue. Il est devenu dépendant, mais je n'en savais rien. Je savais seulement qu'il avait tout à coup cessé de sortir et commencé à rester à la maison. Un jour, en rentrant à la maison au milieu de la journée, je l'ai trouvé en train de s'injecter de la drogue. J'ai été choquée, car c'est un chemin sans retour. S'il continuait, sa vie et notre famille seraient fichues.

J'ai demandé à mon mari d'arrêter, mais il a refusé d'écouter. Quand sa mère a entendu parler de sa toxicomanie, elle a dit la même chose. Mais il l'a ignorée, elle aussi. Après s'être retrouvé à court d'argent, il a commencé à emprunter à toutes les personnes que nous connaissions pour acheter de la drogue. Il a contacté mes collègues de travail, ma famille et tous ceux qu'il connaissait. Il est même allé voir les amis de mon père pour emprunter de l'argent au nom de mon père. Il a mis en gage mon manteau de fourrure. Lorsque son père est allé chercher son chèque de paie, on lui a dit que mon mari avait déjà pris l'argent. Mon mari a demandé une carte de crédit et a emprunté 60 000 yuans dessus.

En 2010, la police a fait admettre mon mari dans un centre de désintoxication pour deux ans. Avant son départ, ma mère lui a parlé et lui a demandé de prendre soin de lui. « Je vais t'aider à prendre soin de ta femme et de ton fils. Quand tu reviendras, nous serons toujours une seule famille », a-t-elle dit. Mon mari a été très touché.

Afin de m'aider, ma mère est venue habiter chez moi. Cela m'a facilité de faire les exercices et d'étudier le Fa. Elle a également commencé à imprimer des documents sur la persécution pour aider les gens à comprendre les faits concernant Dafa et la persécution. J'avais peur et je ne voulais pas participer. Elle m'a expliqué l'importance de le faire : des millions de personnes avaient été empoisonnées par les mensonges du PCC et avaient besoin de connaître la vérité.

J'ai été d'accord avec elle et j'ai commencé à aider. J'ai acheté des fournitures et dès que j'en avais le temps, j'imprimais des documents et je les donnais aux pratiquants qui vivent à la campagne. Comme je sais bien dactylographier, les pratiquants m'ont donné souvent leurs articles et m'ont demandé de les éditer. Un jour, j'ai reçu très tard un article le dernier jour de soumission pour une conférence de partage d'expériences. J'ai travaillé jusqu'à minuit et je l'ai fini à temps pour la date limite de soumission.

Nous avons organisé une étude du Fa à mon domicile, et comme j'écoutais les autres pratiquants parler de leurs expériences de cultivation, j'ai senti que je m'élevais rapidement. J'ai enfin pu rembourser tout l'argent que mon mari avait emprunté et je n'avais pas de ressentiments. Je sais que Dafa m'a aidée.

Deux fois encore au centre de désintoxication

Quand deux ans plus tard, mon mari est revenu à la maison, j'ai pris soin de lui et je l'ai encouragé à se comporter bien. Ma mère l'a également encouragé à changer. Touché par notre sincérité et notre gentillesse, mon mari a versé des larmes et a dit : « Je promets de rester loin des drogues, au lieu de faire des erreurs aussi stupides. » Cependant, trois mois plus tard, il se droguait à nouveau. Afin de gagner plus d'argent, les dealers sont venus le trouver et l'ont forcé à s'injecter de nouveau de la drogue. Cette fois, c'était encore pire qu'avant.

Le directeur du centre de désintoxication a dit un jour que les toxicomanes se piquent avec tout ce qu'ils peuvent trouver. « Ils mourront de cette façon tôt ou tard », a-t-il dit. Environ dix mois après être sorti, mon mari a été envoyé à nouveau au centre de désintoxication. Son père était tellement en colère et bouleversé qu'il est décédé. Nous pensions que cela réveillerait mon mari et l'aiderait à changer. Mais il avait l'air idiot et n'avait que peu d'expression sur le visage. « Il n'est plus un être humain », a dit l'un de ses proches.

Je me suis rappelé que j'étais une pratiquante et je ne l'ai pas abandonné. J'ai continué à lui rendre visite. Il a avalé un briquet et a dû être opéré. Ma mère s'est occupée de mon fils, tandis que j'ai arrêté de travailler pour m'occuper de mon mari jusqu'à ce qu'il sorte des urgences. Je ne me suis pas plainte et lui ai simplement dit de ne plus faire de bêtises de ce genre. Je savais que j'étais capable de lui pardonner parce que je pratique le Falun Dafa. Si je n'avais pas été pratiquante, je l'aurais abandonné depuis longtemps et notre famille aurait été brisée.

Le Maître a dit :

« Après avoir appris votre Falun Dafa, ces ouvriers arrivent au travail les premiers et partent les derniers. Ils travaillent avec zèle, ils acceptent volontiers les tâches que leur chef leur confie et ne se disputent plus pour des avantages personnels. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Après avoir recommencé à cultiver, j'ai suivi le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance diligemment dans ma vie quotidienne. En plus d'accomplir mes propres tâches, j'aide aussi les autres. Je fais souvent le travail que les autres ne veulent pas faire et je n'ai pas de rancune. Je suis toujours agréable avec mes collègues et les clients. Les responsables sont impressionnés par ma gentillesse et louent mon amabilité. Pendant de nombreuses années, j'ai souvent été récompensée en tant qu'employée modèle au niveau provincial. Je ressentais simplement que j'étais une pratiquante responsable.

Deux ans plus tard, mon mari est sorti du centre de désintoxication, pour y être renvoyé six mois plus tard pour encore deux années. C'était son troisième séjour. Il a commencé à avoir des problèmes de santé, et les médecins l'ont libéré pour raisons médicales. Pendant que mon mari recevait des soins médicaux, ma mère et moi avons discuté de ce que nous devions faire. Nous étions toutes deux d'accord pour dire que nous ne pouvions pas laisser mon mari continuer à souffrir. Nous devions l'aider.

En réalité, mon mari n'était pas une mauvaise personne et avait une bonne compréhension de Dafa. Il sait que ma mère est pratiquante et la respecte. Chaque fois que la police commençait à arrêter des pratiquants, dès qu'il en entendait parler, il appelait ma mère pour la prévenir. Lorsque ma mère a été arrêtée et détenue en 2009, mon mari et sa sœur se sont rendus tous les jours au département de police pour demander sa remise en liberté.

Il est vrai que mon mari est toxicomane. Mais il est aussi une victime. Ces dealers de drogues ont continué à mal agir envers lui et ne voulaient pas le lâcher. Chaque fois qu'il était de retour du centre de désintoxication, il voulait arrêter. Mais les dealers essayaient par tous les moyens de lui mettre la main dessus, le poussant toujours plus loin.

Ma mère et moi sommes toutes deux pratiquantes et nous savons que Dafa est sans limites, nous avons donc voulu sauver mon mari. Sa sœur est également venue nous voir. « Seul Dafa peut sauver mon frère », a-t-elle dit, suppliant ma mère d'aider mon mari à pratiquer le Falun Dafa. Les parents et les frères et sœurs de mon mari ont tous été témoins de la bonté des pratiquants et ils ont foi en Dafa.

Un nouveau départ

Comme mon mari avait confiance en ma mère, elle lui a parlé. À notre surprise, il a accepté immédiatement. Mais l'interférence était énorme. Au début, nous avions convenu d'écouter une conférence audio par jour chez ses parents. Le premier jour, il était très sincère et écoutait attentivement. Le troisième jour, cependant, il a dit qu'il devait faire quelque chose pour un ami. Il a cessé de venir et a continué à dire qu'il était occupé.

Nous savions que c'était l'interférence qui l'empêchait d'être aidé. Nous avons donc changé l'heure pour le soir et nous avons regardé tous les trois les vidéos des conférences du Maître chez moi. Même si ce n'était qu'une heure à chaque fois, mon mari avait parfois l'esprit clair et parfois non. Il lui arrivait aussi d'aller aux toilettes. Ma mère a également émis la pensée droite afin d'éliminer toute interférence.

Ma mère venait chaque jour chez moi et apportait la nourriture préférée de mon mari. À cause des drogues, le foie de mon mari était endommagé. Après plusieurs jours, son estomac était gonflé comme une ballon en caoutchouc. Ma mère lui a dit à ne pas se faire de souci, car c'était le Maître qui nettoyait son corps. Cette nuit-là, mon mari a dormi profondément. Chaque jour, ma mère cuisinait de la nourriture délicieuse pour le dîner et mon mari était très reconnaissant.

Par moments, la dépendance de mon mari l'emportait et il s'injectait secrètement des drogues. Nous faisions semblant de ne pas le remarquer et ne lui en voulions pas. Nous le traitions toujours avec gentillesse. Parfois, je devenais anxieuse, pensant qu'il était sans espoir. Mais ma mère n'abandonnait pas. Je savais que c'était sa croyance en Dafa et dans le Maître et qu'elle pensait que mon mari pouvait être sauvé.

Un jour, maman est venue comme d'habitude, mais mon mari n'était pas très bien. Il a secrètement pris des médicaments et est resté dans la salle de bains pendant plus d'une heure. Puis il n'a cessé de me critiquer et n'a pas du tout parlé de l'étude collective. Ma mère n'a pas eu d'autre choix que de partir. Quand elle est revenue le lendemain, mon mari a continué comme si rien ne s'était passé la veille.

Faire des progrès

Après quelque temps, un autre type d'interférence est apparu. La police a arrêté ma mère pour sa croyance et l'a détenue pendant cinq jours. Le jour où elle a été relâchée, la mère de mon mari et sa sœur sont venues chez ma mère pour la supplier de continuer d'étudier le Fa avec mon mari. Nous avons recommencé à regarder les vidéos et graduellement mon mari a changé. Sa santé s'est améliorée et il a utilisé de moins en moins de drogues.

Le Maître a dit :

« C’est pareil pour quelqu’un qui prend de la drogue. Pour la drogue, certains disent que ce n'est rien, ce n'est pas grave si j'en prends un peu. C'est vrai, la sensation n'est pas mal, encore une fois ? Pas de problème, encore une fois ? Ça y est, on ne peut plus se contrôler. Pourquoi ? Quand la substance a été aspirée, elle forme dans ton corps un toi léger et diffus, une fois suffit, car la toxicité est grande ; à la deuxième prise, ce toi léger et diffus devient un peu plus consistant ; si tu en prends encore, il est encore plus consistant, plus tu en prends, plus il est consistant, plus il est fort. Il possède même toute la structure de ton corps, il a même une pensée, c'est tout à fait un toi de nature démoniaque composé de drogue. Bien sûr, peut-être qu'il ne fera rien d'autre, il veut juste absolument prendre de la drogue. S'il n'y en a plus, si tu n'en prends plus, ça ne va pas. Pourquoi ? Parce qu'il a déjà pris vie. Et après avoir pris vie ? Vous le savez, si tu n'en prends plus, comme ton corps a un métabolisme, il deviendra de plus en plus diffus, de plus en plus diffus et il mourra. » (« Enseignement du Fa au Fahui de New York 2019 »)

La dépendance de mon mari a commencé à s'affaiblir progressivement. Un jour, il allait bien, mais le lendemain, il voulait s'injecter de la drogue. Un moment, il avait l'esprit clair, mais au bout d'un moment, il redevenait confus. Mais nous n'étions pas distraits. Nous avons émis la pensée droite pour éliminer les interférences et nous avons supplié le Maître de le sauver.

Pendant tout ce processus, je me suis éveillée davantage au principe du Fa. C'est-à-dire, le processus d'aider mon mari à abandonner les drogues était aussi un processus d'élévation du xinxing. Au début, j'ai aidé mon mari à cause de ma sentimentalité et parce que je me souciais de notre famille et de notre enfant. Cela s'est ensuite transformé en compassion. J'ai traité mon mari comme un être et j'ai ressenti la responsabilité de le sauver. Au cours de cette période, j'ai également réussi à me défaire de mon ressentiment et à le remplacer par de la compassion.

Après sept mois, mon mari a été capable de s'éloigner des drogues et a récupéré une bonne santé. Son poids est redevenu normal. Son caractère s'est aussi amélioré – il était content et plein d'énergie chaque jour. Pendant la pandémie, il a travaillé dans une clinique et a aidé des patients. Grâce à sa bonne attitude au travail et son éthique de travail, il a été récompensé par son employeur.

Nous sommes tous reconnaissants envers le Maître pour avoir sauvé mon mari et ma famille. À cause de la toxicomanie de mon mari, sa mère a été bouleversée et est tombée malade. Maintenant, elle est en bonne santé et heureuse. La sœur de mon mari est également très reconnaissante. Elle dit souvent aux gens : « Le Falun Dafa est formidable. » « Sans Dafa, mon frère serait mort et la famille déchirée. Merci au Falun Dafa et merci à Maître Li ! »

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Traduit de l'anglais