(Minghui.org) Le 17 juillet 2021, des pratiquants de Falun Gong ont manifesté devant l'Ambassade de Chine à Paris, en France, pour rappeler que le Parti communiste chinois a commencé la persécution de cette discipline spirituelle pacifique il y a vingt-deux ans. Ils ont aussi organisé une reconstitution de torture pour demander la fin de la persécution. Cinq politiciens ont envoyé des lettres de soutien à l'Association du Falun Dafa.

Les pratiquants ont organisé des rassemblements simultanément dans neuf autres grandes villes de France, dont Lyon, Marseille, Strasbourg, Bordeaux, Nantes, Toulouse, la Guadeloupe, la Martinique et la Réunion.

Parmi les politiciens qui ont envoyé des lettres de soutien à l'Association du Falun Dafa en France, on compte la vice-présidente du Sénat Nathalie Delattre, la sénatrice Monique de Marco et les députés Alain David, Jean-Luc Lagleize et Philippe Naillet. Ils ont condamné la persécution du Falun Gong par le PCC et ont exprimé leur soutien aux pratiquants de Falun Gong.

(De gauche à droite) La vice-présidente du Sénat Nathalie Delattre, la sénatrice Monique de Marco, les députés Jean-Luc Lagleize, Alain David et Philippe Naillet, et Fiorella Luna, représentante de l'Association End Transplant Abuse in China (ETAC)

Tong Hanlong, président de l'Association du Falun Dafa en France, a fait un discours lors du rassemblement.

Tong Hanlong, président de l'Association du Falun Dafa en France, a présenté les différents moyens utilisés par le PCC pour persécuter les pratiquants de Falun Gong, notamment l'emprisonnement, la torture, le travail forcé, l'injection de médicaments psychiatriques, ainsi que les prélèvements forcés d'organes sur des pratiquants vivants. Il a appelé à un arrêt immédiat de la persécution, et a demandé au gouvernement français de sanctionner le PCC.

Fiorella Luna, représentante de End Transplant Abuse in China (ETAC), a exposé les crimes des prélèvements forcés d'organes par le PCC.

Des pratiquants de Falun Gong manifestent devant l'Ambassade de Chine à Paris.

Une reconstitution de torture montre la persécution par le PCC.

Simon, un professionnel du multimédia et du journalisme, a suivi le défilé du Falun Gong jusqu'à l'Ambassade de Chine. Il a dit au journaliste : « Le Parti communiste chinois tente de changer les règles du monde. Il supprime les personnes qui pratiquent une religion ainsi que divers groupes qui ont des conceptions différentes. Je suis contre le Parti communiste chinois. Il doit s'effondrer ! La persécution doit cesser ! Le peuple chinois doit se réveiller ! »

Yallur, ingénieur en informatique, a déclaré : « Un régime totalitaire est prêt à tout pour conserver son pouvoir. Il persécute impitoyablement tout groupe qui pourrait représenter une menace pour son pouvoir. Les prélèvements forcés d'organes sont honteux. Le Falun Gong n'a pas de visée politique. C'est simplement un très grand nombre de personnes. Supprimer des citoyens légitimes, c'est ce que font les dictateurs. »

Nathalie, une autre habitante de la région, a dit : « Le problème de la persécution s'est étendu aux pays occidentaux, nous devons donc nous unir contre la brutalité du PCC ! »

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Traduit de l'anglais