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Dafa m’a transformée et a apporté des bénédictions à ma belle-mère

4 octobre 2022 |   Écrit par Hengxin, une pratiquante de Dafa dans la province du Shandong, Chine

(Minghui.org) Mes beaux-parents vivent à la campagne. Ils ont trois filles et deux fils. Mon mari est le plus jeune et le seul à être allé à l’université. Il est devenu enseignant. Ses frères et sœurs sont tous agriculteurs. Nous vivons loin de sa famille, et mes beaux-parents pensaient qu’ils ne pouvaient pas compter sur nous pour les soutenir dans leurs vieux jours, alors ils ont mieux traité leur fils aîné que mon mari.

Ma belle-mère ne s’est pas bien occupée de moi après mon accouchement. Je devais reprendre le travail après mon congé de maternité et je lui ai demandé de s’occuper de notre bébé pendant deux mois avant que ma mère ne prenne le relais. Elle a accepté, mais est rentrée chez elle six jours plus tard et n’est plus revenue. J’étais très en colère.

Mes beaux-parents aimaient beaucoup plus leur petit-fils issu de l’aîné de la famille que notre fille. Ils ne venaient jamais lui rendre visite, mais prenaient bien soin de leur petit-fils.

J’avais l’impression qu’ils ne nous traitaient pas bien, alors nous leur rendions rarement visite. Je ne me disputais pas, mais je leur en voulais. Chaque fois que mon mari se disputait avec moi, j’évoquais toutes les mauvaises choses que ses parents nous faisaient subir. J’avais décidé que je me vengerais d’eux à l’avenir, lorsqu’ils auraient besoin de nos soins.

Traiter ma belle-famille avec bonté

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998. Les principes du Fa ont éveillé ma conscience, et j’ai compris que mes tribulations étaient causées par le karma. Lorsque les autres me traitaient mal, je pouvais rembourser mon karma. En même temps, Dafa enseigne aux gens à être bons, et cela m’a fait réaliser à quel point mes pensées étaient terribles à l’égard de mes beaux-parents. J’ai décidé de rembourser les griefs par la vertu, et de traiter mes beaux-parents avec bonté.

Mais c’était plus facile à dire qu’à faire, car ma colère et mon ressentiment envers eux étaient épais comme de la glace. Chaque fois que le ressentiment surgissait, j’étudiais le Fa, car Dafa pouvait ouvrir mon cœur et raffermir ma pensée droite.

J’ai gardé à l’esprit l’enseignement du Maître : « Pour chaque chose on se réfère à la Loi, Arriver à faire ainsi, c’est la cultivation. » (« Cultiver réellement », Hong Yin)

Même si je ne pouvais pas me débarrasser de tout mon ressentiment d’un coup, je me suis demandé au moins de les traiter avec bonté. J’ai d’abord commencé à être gentille avec mon beau-père.

Quelques années après avoir obtenu le Fa, mon beau-père a subi une attaque et était dans un état végétatif. Il est décédé trois ans plus tard. Pendant l’été de ces trois années, j’ai fait venir mes beaux-parents pour qu’ils restent avec nous. Les deux premières années, nous avons vécu dans l’appartement attribué par l’école, qui ne comportait que deux chambres. Comme il n’y avait pas assez de chambres, nous avons emprunté l’appartement vacant de notre voisin pour y loger mes beaux-parents. La troisième année, nous avons acheté une maison, et mes beaux-parents ont vécu avec nous. Réalisant que mon beau-père était mourant, nous l’avons ramené dans sa ville natale. Nous sommes arrivés à 21 heures et il est décédé le lendemain.

Après les funérailles, ma belle-mère a vécu dans notre maison pendant un certain temps, puis est retournée vivre seule à la campagne.

Une nuit d’octobre 2012, alors qu’elle avait 77 ans, elle a fait une crise cardiaque et a été admise à l’unité de soins intensifs (USI). Le médecin a émis un avis de maladie grave le lendemain. Nous avons décidé de la ramener à la maison.

Je lui ai dit à haute voix dans ses oreilles de réciter les deux phrases de bon augure de Dafa : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » J’ai également dit à mes belles-sœurs de les réciter aussi. J’ai supplié le Maître de sauver ma belle-mère. Pendant ce temps, la famille préparait toujours les funérailles.

Mon mari a pris sa tension artérielle et son pouls toutes les deux heures pendant la nuit. À notre grande surprise, sa tension artérielle et son rythme cardiaque ont progressivement augmenté, pour atteindre un niveau presque normal à l’aube. Après être restés à la maison pendant une journée, nous savions qu’elle était hors de danger, même si elle était très faible. Nous l’avons emmenée à l’hôpital quelques jours plus tard pour un contrôle.

Le médecin qui avait dit que ma belle-mère n’avait aucune chance de survivre a été très surpris et a plaisanté avec ma belle-mère : « Je suppose que le roi de l’enfer ne veut pas vous prendre. »

Bien sûr, nous savions que c’était parce qu’elle avait accepté Dafa et me soutenait dans la pratique, alors le Maître l’a sauvée. Depuis lors, ma belle-mère récite plusieurs fois par jour : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Parents et amis croient que Dafa est bon

Il y a deux ans, ma belle-mère a eu un malaise au cours de l’automne, juste au moment de la récolte des pommes. Mon mari l’a emmenée à l’hôpital, et le médecin a suggéré qu’elle y reste quelques jours. Comme la famille était occupée par la récolte et que je n’étais pas trop occupée au travail, j’ai dit à mon mari que je pouvais prendre quelques jours de congé pour m’occuper d’elle.

Je me suis occupée d’elle à l’hôpital pendant dix jours jusqu’à sa sortie. Chaque fois qu’elle a été hospitalisée, mon mari et moi nous sommes occupés d’elle.

Il y a dix ans, ma belle-sœur a quitté la ville pour s’occuper de l’enfant de son fils. Son mari s’occupait des arbres fruitiers dans la ville natale de mes beaux-parents. Il a promis de donner à sa mère (ma belle-mère) 3000 yuans par an, mais ne les lui a donnés que pendant deux ans, puis a arrêté. Il y a trois ans, il est parti chez son fils, alors la responsabilité de s’occuper de ma belle-mère nous est revenue, mais nous ne nous sommes jamais plaints.

Ma belle-mère peut s’occuper d’elle-même et est réticente à vivre chez ses enfants. Cependant, elle aime rester chez nous, et nous l’emmenons chez nous plusieurs fois par an pour dix à vingt jours à la fois.

En automne, il y a quelques années, j’ai demandé à ma sœur de me conduire chez ma belle-mère. J’ai acheté du poisson, de la viande et d’autres choses pour elle. Elle était très touchée et l’a raconté à tout le monde. Mon mari m’a dit avec joie : « Tu es célèbre. Les gens du village ont dit que ma mère est bénie, et ils l’envient d’avoir une si bonne belle-fille. » Ma belle-mère m’a félicitée devant les villageois pour des choses que je considérais comme normales. Il n’est pas étonnant que lorsque je retournais la voir, les voisins me parlaient avec enthousiasme et me louaient pour ma piété filiale.

L’année dernière, pendant les vacances du Nouvel An chinois, le village a été confiné en raison de la pandémie. Les gens n’étaient pas autorisés à entrer ou à sortir du village. Nous nous sommes empressés d’emmener ma belle-mère chez nous avant que le village ne soit fermé. Je lui ai parlé de la pandémie mondiale, et elle a cru que la COVID était destinée à éliminer les gens, et elle a cru encore plus en Dafa.

Lorsque je pratiquais les exercices, elle récitait silencieusement : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » tout en étant assise les jambes croisées. Une fois, alors que j’étudiais le Fa, elle était anxieuse de ne pas pouvoir lire, se disant : « Dans la prochaine vie, j’irai à l’école, alors je saurai lire et écrire. C’est tellement frustrant ! »

Ma belle-mère est restée chez nous jusqu’à ce que le confinement soit levé. Elle était très touchée et m’a dit : « Tu es la seule à penser à moi. » Je lui ai rappelé de réciter les phrases de bon augure. Elle m’a répondu : « Ne t’inquiète pas, je ne me relâcherai pas une fois rentrée chez moi. » J’ai souri, et j’étais heureuse qu’elle ait la pensée droite vis-à-vis de Dafa.

Chaque fois qu’elle vit avec nous, je m’occupe de tous ses besoins. Ma deuxième belle-sœur m’a raconté que son fils avait un mauvais caractère et se disputait souvent avec sa femme. Une fois, la femme a dit à son fils : « Apprends à pratiquer le Falun Dafa avec ta tante ! » Mes proches savent tous que Dafa est bon. Je suis très heureuse pour eux.

À la fin de l’année dernière, ma belle-mère m’a dit qu’elle était désolée de la façon dont elle m’avait traitée par le passé et m’a remerciée de prendre soin d’elle. J’ai répondu : « Il est juste et approprié de soutenir les personnes âgées. De plus, vous avez bénéficié de Dafa. Si vous voulez remercier quelqu’un, vous devriez remercier notre Maître. »

Merci Maître ! Merci Dafa !

Traduit de l’anglais