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[Fahui de Minghui] Une rancune de 20 ans disparaît après avoir regardé à l'intérieur

7 décembre 2022 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa dans la province du Jilin

(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

Ma famille, dont ma fille, mon gendre et moi-même, a commencé à pratiquer le Falun Dafa avant le début de la persécution, le 20 juillet 1999. Ma petite-fille est âgée de 15 ans. Elle a grandi dans Dafa.

J’ai une personnalité franche et enthousiaste. Ma fille est gentille et simple. Ma petite-fille est grande, calme et intelligente. Elle a appris à jouer de la cithare et apprend maintenant à jouer du pipa. Nous sommes tous originaires du Nord-Est. Mon gendre est du Sud. Il ne parle pas beaucoup. Sa personnalité est différente de nos personnalités extraverties. Comme il est un pratiquant, j'avais décidé à l'époque d'encourager ma fille à rompre avec son petit ami non pratiquant et à l'épouser, bien qu'il ait quelques années de plus qu'elle. Je pensais que nous pourrions tous les trois cultiver diligemment ensemble.

Les rancunes s’intensifient

Pendant les deux ou trois premières années qui ont suivi le début de la persécution du Falun Dafa, nous nous sommes rendus tous les trois dans de nombreux endroits pour produire des documents d'information sur le Falun Dafa et les distribuer aux gens. Au début, nous avons coopéré les uns avec les autres. Puis j'ai commencé à critiquer mon gendre. Je n'aimais pas qu'il sorte se promener tous les soirs, qu'il reste dehors la moitié de la nuit et qu'il dorme parfois dans le parc. J'ai compris que cela pouvait être dû à la pression de la persécution, car il avait déjà été arrêté pour avoir clarifié la vérité. Mon opinion sur lui avait toujours été qu’il cultivait par intermittence.

Au début de leur mariage, il n’avait pas d'emploi. Ma fille lui a trouvé plusieurs emplois. Maintenant, il a un bon travail et gagne six ou sept mille yuans par mois. Il garde son salaire et achète rarement des fournitures pour la famille, comme de l’huile de cuisson ou du riz. Ils n’ont pas beaucoup d’affection l’un pour l’autre. J’ai remarqué qu’il a commencé à prêter beaucoup attention à son apparence physique après avoir commencé à travailler. Il rentrait toujours tard et disait qu’il faisait des heures supplémentaires. Il ne passait qu’une demi-journée à la maison le samedi et le dimanche. Deux fois, il a dit qu’il devait faire des heures supplémentaires le week-end. Je n’ai pas fait attention à mon caractère et je suis allée sur son lieu de travail pour voir s’il faisait effectivement des heures supplémentaires. Le gardien m’a dit qu’il ne faisait pas d’heures supplémentaires le samedi ou le dimanche. J’ai alors su qu’il mentait à la famille.

Cela faisait des années qu’il rentrait tard à la maison, mais il mentait sur le fait qu’il faisait des heures supplémentaires. J’ai commencé à soupçonner qu’il avait une autre femme et une autre famille. Comme j’avais un attachement très fort, je pense que les forces anciennes ont profité de cette faille et ont renforcé mes pensées négatives. J’ai deviné que mon gendre avait une liaison et j’en ai inventé diverses versions dans mon esprit. Je soupçonnais qu’il était avec cette femme un jour, puis avec une autre un autre jour.

Mon gendre et moi vivons dans la même maison. Vous pouvez imaginer à quel point la situation était tendue ! Il m’en voulait de le surveiller et me détestait de le soupçonner. Je me plaignais et disais qu’il ne se souciait pas de sa famille et ne cultivait pas diligemment. Je ne pouvais pas me défaire de mon attachement à lui. Il me considérait comme son ennemie et a même essayé de me chasser de la maison. La rancœur entre lui et moi était profonde.

Conflits soudains

Il était presque midi. J’allais préparer le déjeuner. Le riz était vieux et sentait mauvais, alors je l’ai lavé à l'eau froide et je l’ai frotté. Mon gendre a crié : « Qui t’a dit de nettoyer le riz ? Quand tu frottes le riz, les éléments nutritifs s'en vont ! » Je n’étais pas ébranlée et j'ai dit : « Alors, laisse-moi faire tremper le riz. » Mon gendre a crié : « Qui t'a dit de faire tremper le riz ! » Ma petite-fille l'a entendu crier et a dit : « Tu cries toujours contre grand-mère. Comment cuire du riz pourrait-il causer des problèmes ? »

Ma petite-fille a vu que je coupais des légumes. Elle m'a dit avec émotion : « Grand-mère, arrête de hacher. Laisse-le faire. » Ma petite-fille m'a poussée dans l’autre pièce. Elle a grondé son père : « Tu es toujours impoli avec grand-mère. Tu n'as pas du tout une attitude bienveillante. Tu es toujours en colère. Qu’est-ce que ma grand-mère a dit ? Elle n'a rien dit, mais tu es toujours en colère. Elle s'est tue et tu as continué à parler. » Ma petite-fille était tellement en colère qu'elle a failli pleurer.

Il était presque midi. J’ai donc suivi ma petite-fille dans sa chambre. J’ai émis la pensée droite. Mon gendre ne préparait pas le déjeuner, alors j'ai pensé que je devais quand même cuisiner. J'ai regardé à l'intérieur. Je me suis demandé si je devais déménager. Je vivais avec la famille de ma fille depuis plus de vingt ans. Je faisais toute la cuisine, la lessive et le ménage. J'encourageais ma fille, mon gendre et ma petite-fille à cultiver. Je réveillais ma fille le matin pour qu'elle fasse les exercices. Le soir, nous lisions tous les quatre le Fa ensemble. Mon gendre lisait parfois avec nous. Maintenant, il me traitait avec cette attitude. Cela signifiait probablement qu’il était temps pour moi de partir. Mon gendre n’était pas content que je vive ici. Je devais louer un appartement et déménager.

Une pratiquante, Mei (pseudonyme), m’a rendu visite ce jour-là. Elle m'a dit : « S'il te plaît, viens chez moi et aide-moi. J’ai engagé deux personnes pour s’occuper de mon père, mais elles sont parties. S’il te plaît, viens. » J’ai répondu : « D'accord, je t’aiderai à condition que cela ne m’empêche pas d'étudier le Fa, de faire les exercices, d’émettre la pensée droite et de clarifier la vérité aux gens. Peu importe combien tu me paieras. » Puisque je serais absente durant le jour seulement, j'ai décidé d'accepter le travail et de laisser la famille de ma fille vivre de manière indépendante.

Les deux premiers jours, les enfants étaient ravis de ce changement. Ma petite-fille était très heureuse parce que son père lui donnait de l’argent pour commander des plats à emporter du restaurant. Elle m’a dit : « Grand-mère, maintenant que tu n’es plus là pour cuisiner, mon père m'achète des dumplings et des brioches tous les jours. » Mais elle en a vite eu assez et a dit : « Rien n'a aussi bon goût que ce que tu fais. »

Mon gendre ne s'entendait toujours pas avec moi. Il continuait à rentrer tard et manquait toujours le moment d’émission de la pensée droite et de se joindre à nous pour lire le Fa. Je l'ai critiqué : « Si tu finis ton travail à 17 h et que tu rentres à 18 h, tu peux émettre la pensée droite juste à temps. Si tu ne réussis pas à émettre la pensée droite, cela ne va pas seulement te nuire, mais aussi nuire aux autres. Tu dois faire attention à tes dimensions. » Parce que je continuais à dire des choses comme cela, il a perdu son calme et m'a crié dessus. J'en voulais encore à mon gendre lorsque j'ai décidé de me rendre chez Mei. Je me suis dit : « Maintenant, je n’ai plus besoin de rentrer chez moi après le travail. » Ainsi, après avoir quitté la maison de Mei, je suis allée chez une autre pratiquante pour lire le Fa. Je suis arrivée à la maison vers 20 h.

Quand je suis arrivée à la maison, ils n’avaient pas encore soupé. Lorsqu’ils ont commencé à cuisiner après être rentrés du travail, ils n’ont mangé qu'après 21 h. Ils avaient peu de temps pour lire le Fa. Ma fille s’endormait après avoir lu seulement une ou deux pages. Quand elle émettait la pensée droite, elle ne pouvait plus garder sa main levée de façon droite.

Comme je ne m'occupais plus des tâches ménagères, ma fille et mon gendre étaient tous deux occupés. Ma fille a aussi réalisé que faire le ménage n'est pas facile. Elle s’est plainte au bout de deux jours : « Je suis trop fatiguée. » Je lui ai répondu : « Tu es trop fatiguée. Je l’ai fait pendant plusieurs décennies, mais je n'étais pas fatiguée. » Je leur avais demandé de payer la nourriture dans le passé, mais ils ne l'avaient jamais fait. Ce n'est pas que je sois attachée à l'argent. Il s'agit des principes au niveau des gens ordinaires. Je cuisinais pour eux et je m'occupais de leur enfant gratuitement. Je voulais que ma fille et son mari me donnent de l'argent pour acheter de la nourriture pour la famille. Mais ils ne me donnaient pas même un centime.

Je sais que mon beau-fils ne donne pas son salaire à ma fille et achète rarement des choses pour la famille. Ma fille a un revenu limité. Alors dans mon cœur, je continuais à blâmer mon gendre.

J'ai lu le Fa avec d'autres pratiquants après le travail pendant deux jours. Lorsque j’ai vu la famille de ma fille souper si tard, j’ai commencé à regarder à l'intérieur de moi : « Je suis une pratiquante, donc c'est moi qui ai tort. Je suis égoïste. » J'ai décidé que je rentrerais à la maison juste après le travail et que je cuisinerais pour eux. Ce serait prêt quand ils rentreraient. S’ils ne lavaient pas leurs vêtements, je les laverais pour eux. Je suis une pratiquante. Le Maître m’a appris à être désintéressée. Toutes les vies dans le nouvel univers sont désintéressées. J’ai continué à regarder à l’intérieur pour me débarrasser de mon attachement au ressentiment.

Abandonner mon attachement profond

Travailler comme aide à domicile pendant un mois m'a permis de me défaire complètement de mon attachement à mon gendre. C’était peut-être un arrangement miséricordieux du Maître pour m’aider à surmonter le plus grand obstacle dans ma cultivation.

Mei avait parfois une mauvaise attitude envers son père. J’ai été surprise quand je l’ai vu. Comment une pratiquante peut-elle se comporter de la sorte ? J’y ai pensé tout à coup : n’est-ce pas ainsi que je me comportais à la maison, en insistant toujours pour avoir le dernier mot ? Comment pouvais-je valider la beauté de Dafa en me comportant de la sorte ? Je devais me corriger complètement. Pendant vingt ans, je n’avais pas réussi à m’améliorer. Cela avait rendu les choses difficiles pour mon gendre. Il m’en voulait et se comportait comme il le faisait parce que la racine de mon attachement n’avait pas été enlevée. J’ai dit au Maître : « Maître, je dois arracher cette racine. C'est ce que les anciennes forces ont arrangé. Si je ne m’élève pas, mon gendre sera lésé et ne pourra pas retourner dans son véritable foyer. Ses êtres l’attendent. »

J’ai compris que je devais cesser d'attendre que les autres s’élèvent. Au lieu de cela, je devais travailler sur moi-même. Lorsque je m’élevais, tout ce qui m’entourait s’élevait. Si mon gendre n’émet pas la pensée droite, je l’émettrai pour qu'il se débarrasse des mauvaises choses dans ses dimensions et des mauvaises choses qui le font sortir tout le temps. Je le renforcerai pour qu’il puisse bien cultiver et amener tous ses êtres avec lui lorsqu’il atteindra la plénitude parfaite. J’ai arrêté de penser négativement à son sujet. J’avais été trompée toutes ces années et j’avais suivi les arrangements des forces anciennes. Je le soupçonnais toujours de faire quelque chose d’inapproprié. Quand j’ai regardé en arrière, j’ai découvert que j’étais ridicule. Au lieu de penser à la façon de sauver les gens, j’étais focalisée sur mon gendre. Quand je me suis vraiment examinée, j'ai découvert que j'avais fait une énorme erreur !

Le Maître a dit :

« En atteignant le royaume [jing jie] d’un bouddha, on n’aura pas des choses aussi basses, ce sera complètement noble. On saura tout, y compris les pensées des bœufs ou des chevaux, mais ces choses ne l’affecteront pas et on ne voudra même pas y penser, on saura tout sans avoir besoin de générer même une pensée. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa en Nouvelle-Zélande »)

Toutes mes pensées sur mon gendre étaient négatives. Je m’enfonçais en pensant comme ça. N’avais-je pas fait ce que les forces anciennes voulaient ? Le mal veut créer des conflits et des séparations, et nous tirer tous vers le bas pour qu’aucun de nous ne puisse s’élever.

J’ai eu honte quand j’ai réalisé cela. Maintenant, lorsque j’ai de mauvaises pensées à propos de mon gendre, j’émets la pensée « Mie » (éliminer). Quand j’ai quitté l'environnement familial, en travaillant comme aide à domicile pendant un mois, j’ai pu réfléchir sur moi-même avec un esprit calme. J’étudiais le Fa tranquillement après avoir terminé mon travail. Je me suis analysée pendant l’étude du Fa, pour voir si j’avais fait des choses non conformes aux exigences du Fa, et ce que j’avais fait de mal. J’ai découvert que tout était de ma faute.

Le Maître a dit :

« C’est pourquoi parfois, nous ne devons pas nous enfoncer dans la pointe d’une corne de bœuf avec un cœur très fort d’homme ordinaire, et ne jamais réussir à en sortir, plus nous y pensons, plus nous nous y attachons, plus vous y pensez plus votre cœur bout, plus vous y pensez plus le démon l’utilise. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Boston en 2002 », Enseignement du Fa dans les conférences II)

Développer sincèrement la compassion

Mon gendre m’évitait toujours. Après avoir complètement abandonné mes mauvaises pensées à son égard, il a commencé à me parler. Dans le passé, il me traitait comme une ennemie et ne me regardait même pas. Je lui demandais toujours de lire le Zhuan Falun, d’étudier le Fa, d’émettre la pensée droite, etc. Forcer les gens à cultiver n’est pas bon. Le Maître prend soin de lui, alors j’ai arrêté de m’inquiéter pour lui.

J’ai changé et je suis devenue compatissante envers lui. Mon gendre a volontairement commencé à lire le Fa avec nous. Il est devenu plus gentil. Ma fille a dit qu’elle avait remarqué que son mari souriait maintenant, et que sa façon de parler ou de la regarder n’était plus grossière. J’ai réalisé que j’avais fait du mal à ma fille pendant de nombreuses années parce que je n’avais pas abandonné mes attachements humains. Je soupçonnais toujours que mon beau-fils faisait des choses mauvaises et j’avais continuellement des conflits avec lui.

Je suis aussi devenue compatissante envers ma belle-fille. Je pensais souvent qu’elle avait épousé mon fils pour l’argent de notre famille. Je pense maintenant qu’elle s’est mariée dans ma famille parce qu’elle appartient à notre famille. Je ne dois pas distinguer ma belle-fille des membres de ma famille. C’est bien qu’elle prenne soin de l’enfant qu’elle a eu avec son ex-mari.

Maintenant, je ne me préoccupe plus de savoir si mon gendre fait des heures supplémentaires ou non. Je suis finalement sortie du piège que les forces anciennes avaient tendu.

Mon gendre a toujours voulu aller au restaurant seul avec sa femme et sa fille. Ma fille refusait généralement parce que j’étais à la maison. Ma petite-fille disait aussi que sa grand-mère était aussi à la maison, alors elle ne voulait pas y aller non plus. Mon gendre se mettait toujours en colère. Maintenant, afin de laisser mon gendre avoir son propre espace et lui enlever de la pression, je rentre dans ma chambre dès que je prépare le petit-déjeuner. Je reste dans ma chambre et j’étudie le Fa. Je ne sors que lorsqu’il s'est lavé, a pris son petit-déjeuner et est parti. Mon gendre et ma fille sont absents toute la journée. Le soir, après avoir dîné, je reste dans ma chambre. J’étudie le Fa et j’émets la pensée droite. Mon gendre rentre tard et ne me voit pas. Parfois, il ne me voit pas pendant trois ou quatre jours d’affilée. Il demande toujours à ma petite-fille si sa grand-mère est à la maison. J’ai pensé à être désintéressée et à ne plus lui mettre de la pression.

Regarder à l’intérieur

La famille est en effet un très bon environnement pour la cultivation. Chaque pensée reflète si je suis une personne ordinaire ou une pratiquante. Non seulement une pratiquante doit cultiver la parole, mais elle ne doit même pas penser. Quand on pense beaucoup, ce que l’on pense peut être du niveau des êtres humains.

Par exemple, ma fille, son mari et sa fille peuvent ne pas laver leurs serviettes, même si celles-ci sont devenues sales. Quand je voyais cela dans le passé, j’avais peur qu’ils utilisent mes serviettes. Je lavais donc mes propres serviettes et je les suspendais dans ma chambre. Plus tard, j’ai réalisé qu’il n’y a pas de petites choses dans la cultivation. N’étais-je pas égoïste ? Alors maintenant, je lave leurs serviettes et je les suspends.

Dans le passé, je ne voulais pas que les autres utilisent mon dentifrice ou mes pantoufles. J’ai changé. Je ne suis plus difficile pour savoir si c’est à moi ou aux autres.

Autrefois, si quelqu’un était dans les toilettes et que je voulais les utiliser d’urgence, je criais : « Sors vite. J’attends depuis longtemps ! » J’étais autoritaire et j’agissais selon la culture du Parti. Maintenant, si la porte est fermée à clé, je m’en retourne tranquillement et j’attends. Je ne fais pas de bruit et je tiens compte des autres.

Un jour, je me suis acheté une nouvelle serviette de bain, mais elle a disparu. J’ai commencé à réfléchir à la raison de la disparition de ma serviette de bain. Je me suis rendu compte que j’avais pensé que je ne la partagerais pas avec eux. J’étais attachée à cette nouvelle serviette, et c’était donc bien qu’elle ait disparu. Sinon, je n’aurais pas découvert mon égoïsme.

Dans le passé, je me plaignais qu’ils ne lavaient rien quand c’était sale. Maintenant, je vois qu’ils sont très occupés, qu’ils partent tôt et rentrent tard. Si je fais plus de choses à la maison, ils auront plus de temps pour étudier le Fa. Je ne me plains plus de la cuisine, même le week-end.

Quand Mei m’a demandé de m’occuper de son père, je lui ai dit que je l’aiderais pendant un mois, et que lorsque l’école commencerait, je devrais m’occuper de ma petite-fille. J’ai donc quitté mon emploi d’aide à domicile. Une autre pratiquante âgée cherchait une aide à domicile à ce moment-là et m’a contactée. J’ai dit à ma famille que je comptais déménager et travailler comme aide. Ma petite-fille m’a dit : « Grand-mère, s'il te plaît, ne travaille plus comme aide à domicile. » Ma fille a aussi dit : « Maman, s’il te plaît, ne pars pas. » Cette fois, je n’ai pas insisté pour avoir le dernier mot, comme je l’aurais fait auparavant. Je suis le cours naturel des choses. Puisque ma famille a besoin de moi, alors je resterai à la maison pour m’occuper d’eux. Tous les quatre, nous étudions bien le Fa, nous cultivons avec diligence et nous suivons le Maître pour retourner à nos véritables foyers.

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(Dix-neuvième conférence de partage d’expériences par Internet de Minghui pour les disciples de Dafa de Chine continentale 2022)

Traduit de l'anglais