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Commentaire : La démission de 400 millions de personnes du Parti communiste chinois signale sa fin ultime

10 août 2022 |   Écrit par Li Ming

(Minghui.org) Selon le calendrier lunaire chinois, chaque année est séparée en 24 périodes solaires. Dimanche dernier (7 août) était la 13e période, soit li qiu (début de l’automne), qui signale généralement le moment où tout a atteint son apogée et se dirige vers le déclin. Par coïncidence, quatre jours auparavant, le nombre de Chinois (à l’intérieur et à l’extérieur de la Chine) ayant renoncé à leur adhésion au Parti communiste chinois (PCC) et à ses deux organisations juniors, à savoir la Ligue de la jeunesse et les Jeunes Pionniers, a atteint 400 millions.

Le PCC nuit à la Chine depuis des décennies et de nombreuses personnes se demandent quand il s’effondrera. Depuis la publication du livre intitulé Neuf commentaires sur le Parti communiste en novembre 2004, les gens démissionnent des organisations du PCC, allant de centaines à des milliers, et de 100 millions, 200 millions, jusqu’à 400 millions actuellement. La chute du PCC n’est qu’une question de temps.

Le danger d’ignorer les avertissements

En juin 2002, il y a vingt ans, dans la zone panoramique de Zhangbu, province du Guizhou, un bloc rocheux a été découvert. Plusieurs caractères chinois étaient gravés sur le rocher : « Le Parti communiste chinois périra. »

Des experts de l’Académie chinoise des sciences et de l’Académie chinoise des sciences géologiques ont examiné le bloc rocheux et ont découvert qu’il avait une histoire de 270 millions d’années. En outre, ces caractères ont été formés par la nature, et non sculptés à la main. Près de 100 médias d’information en Chine, dont le porte-parole du PCC, CCTV (China Central Television), ont rapporté cette découverte, bien qu’ils n’aient mentionné que les mots « Parti communiste chinois ». Néanmoins, le rocher ne ment pas, et le dernier caractère chinois, « périra », est bien là et apparaît également sur la photo figurant sur les billets d’entrée de la zone panoramique.

Afin d’empêcher les gens de voir le mot « périra », le PCC a récemment recouvert le mot, ce qui nous rappelle l’histoire du folklore « Quand les yeux du lion deviennent rouges ».

Il était une fois un village dont la moralité des gens était corrompue comme les villes bibliques de Sodome et Gomorrhe. Le divin avait l’intention de détruire tout le monde, sauf une femme, qui était restée gentille, serviable et respectueuse. Déguisée en mendiante en haillons, Bodhisattva visita le village, elle y a été humiliée et même battue par des voyous. Mais personne ne les arrêta ou n’aida la mendiante, sauf la vieille femme.

Accueillant la mendiante chez elle, la femme prit soin d’elle et lui offrit de la nourriture. Alors, Bodhisattva reprit sa véritable apparence et dit à la vieille femme qu’une catastrophe allait arriver et que le village serait ruiné. Lorsque les yeux du lion de pierre devant le temple deviendraient rouges, elle a dit qu’il serait temps de fuir.

Ayant bon cœur, la femme remercia Bodhisattva et s’empressa de partager l’avertissement avec tous ceux qu’elle rencontrait. Mais presque personne ne l’a crue et les gens riaient même d’elle. Un peu plus tard, un jeune homme voulut se moquer et peignit les yeux du lion en rouge. Lorsque la femme s’en aperçut, elle s’est réfugiée dans un endroit élevé tout en appelant les autres à faire de même, mais très peu l’écoutèrent. Peu après, le village fut frappé par une inondation, et de nombreux villageois périrent.

Pourquoi démissionner du PCC ?

Tout au long de l’histoire et à travers les cultures, il a été démontré que lorsque la moralité des gens devenait corrompue, ils étaient confrontés au danger ou aux conséquences. Le divin donnait des indices à ceux qui étaient encore bons afin qu’ils puissent rester sains et saufs. L’histoire du lion de pierre ci-dessus, ainsi que l’histoire de Sodome et Gomorrhe en Occident, démontrent ce principe.

Dans la société actuelle, le PCC est le pire responsable des violations des droits de l’homme dans le monde. Héritant de la Terreur rouge de l’ancienne Union soviétique, le régime du PCC a massacré les propriétaires terriens lors de sa réforme agraire, tué les propriétaires d’entreprises pour leurs biens et attaqué impitoyablement les intellectuels jusqu’à ce qu’ils n’osent plus élever une voix différente de celle du PCC. Tout cela s’est produit dans les années 1950, peu après la prise de pouvoir du PCC en 1949.

Après la Grande famine (1959-1961) qui a fait plus de 45 millions de victimes, le régime, au cours de la tristement célèbre Révolution culturelle (1966-1976), a systématiquement détruit la culture traditionnelle chinoise. Comme si cela ne suffisait pas, il a continué à réprimer le mouvement démocratique avec le massacre de Tiananmen en 1989 et, à partir de 1999, il a commencé à persécuter les innocents pratiquants de Falun Gong.


En jetant un regard en arrière sur ces quelques décennies, on constate que le PCC a l’habitude de tuer différents groupes de personnes qu’il considère comme des ennemis. Cela n’est pas surprenant, étant donné l’idéologie fondamentale du PCC, à savoir la lutte des classes et la brutalité. Mao Zedong a dit un jour : « Se battre avec le ciel est une joie sans fin, se battre avec la terre est une joie sans fin, et se battre avec l’humanité est une joie sans fin. » En outre, pendant ces campagnes politiques, le PCC a également inventé des mensonges pour tromper le public et le transformer en ses complices pour cibler ses ennemis. C’est particulièrement le cas depuis qu’il persécute le Falun Gong, ayant fait subir à tout le monde dans la société, des citoyens ordinaires aux fonctionnaires, un lavage de cerveau afin que ceux-ci se retournent contre les pratiquants de Falun Gong et leur principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

C’est pourquoi, depuis vingt-trois ans, les pratiquants de Falun Gong dans toute la Chine travaillent sans relâche pour faire connaître la persécution et contrer la propagande haineuse du PCC. Ils diffusent la vérité dans les villages reculés, les villes animées, les chantiers de construction et les bâtiments gouvernementaux, au risque d’être arrêtés, détenus, torturés ou même tués pour leurs organes. Ils utilisent leur propre argent pour produire des documents de clarification de la vérité afin d’éveiller les gens aux tromperies et aux atrocités du PCC.

Ils le font parce qu’ils savent que si le PCC a trompé les gens et tué des vies innocentes dans le passé, les choses ne peuvent qu’empirer si le grand public y acquiesce et reste indifférent. En outre, si les gens choisissent de rester silencieux face à la persécution ou de rejoindre le PCC lors de la répression des valeurs traditionnelles ou du bien commun, il y aura de terribles conséquences.

Ne sombrez pas avec le PCC

Certaines personnes pensent que la persécution ne les concerne pas parce qu’elles ne pratiquent pas le Falun Gong. Mais lorsque la liberté de croyance est supprimée et que les droits de l’homme fondamentaux sont bafoués, il n’y a pas de lieu sûr en Chine, car les témoins pourraient bien devenir la prochaine cible, comme lors des campagnes politiques passées.

Lorsque les Jeux olympiques d’hiver se sont déroulés à Pékin en février 2022, la nouvelle d’une « femme enchaînée », qui a été enlevée et vendue comme esclave sexuelle, a éclaté à Xuzhou, province du Jiangsu. En mars, les autorités ont verrouillé Shanghai dans sa tentative d’atteindre le zéro COVID, laissant de nombreuses personnes sans condition de vie élémentaire ni traitement médical. En juin, quatre jeunes femmes ont été battues par un autre groupe de clients dans un restaurant de Tangshan, province du Hebei. Au lieu de demander justice pour les victimes, les autorités ont préféré protéger les agresseurs. Cet incident a révélé la collusion entre les fonctionnaires et le crime organisé. En juillet, la crise bancaire du Henan a eu lieu, avec la disparition de 40 milliards de yuans (6 milliards de dollars) de dépôts dans certaines banques rurales de la province du Henan. Ce scandale a encore montré la fraude et la corruption du système du PCC.

Le pire dans ces tragédies, c’est la façon dont les responsables du PCC les ont couvertes et ont puni ceux qui ont divulgué l’information.

La liste est presque sans fin. Alors, à qui la faute ? Il est vrai que le PCC a provoqué le chaos. Lorsque le régime sera un jour tenu responsable de ses crimes, des dizaines de millions de membres du PCC seront également traduits en justice. Prenons par exemple les crimes du PCC contre les pratiquants de Falun Gong : génocide, persécution religieuse, torture, prélèvement forcé d’organes, etc. Ce sont tous des crimes, et les participants devront faire face à de graves conséquences comme les auteurs de l’Holocauste. Ils ne pourront pas échapper à la justice en disant qu’ils ne faisaient que « suivre les ordres ».

Des choses similaires se sont produites après la dissolution du communisme en Europe de l’Est. De nombreux pays, comme la République tchèque, la Pologne et l’Allemagne, ont adopté des lois pour poursuivre la police secrète, les informateurs et leurs complices. Plus de 300 000 personnes ont fait l’objet d’une enquête en République tchèque. Parmi elles, 15 000 informateurs et complices se sont vu interdire l’accès à la fonction publique pendant cinq ans. En Pologne, près de 700 000 personnes ont été tenues de signaler aux autorités si elles avaient fourni des informations à la police secrète. Celles qui refusaient ou mentaient se voyaient également interdire l’accès à la fonction publique. En Allemagne de l’Est, la moitié des juges et des procureurs ont été démis de leurs fonctions et 42 000 fonctionnaires ont été licenciés.

C’est pourquoi le jalon de 400 millions de personnes qui ont démissionné des organisations du PCC constitue une étape importante. En se séparant du Parti, elles pourront vivre dans la dignité au lieu de se plier au régime totalitaire et de travailler comme complices pour nuire aux innocents. Comme de plus en plus de personnes dans le monde rejettent le PCC, bientôt le jour viendra où nous pourrons vivre dans une société sûre et sans communisme.

Traduit de l’anglais