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Les cheveux et la culture traditionnelle chinoise

17 septembre 2022 |   Écrit par Jin Yu

(Minghui.org) La culture traditionnelle chinoise est issue du divin. Cela se voit dans tous les aspects de la culture, y compris dans la façon dont les Chinois portaient leurs cheveux.

Les cheveux : un don du divin

De nombreuses cultures dans le monde partagent des légendes sur la façon dont les êtres divins ont créé les humains, mais chaque histoire raconte un groupe différent d’êtres divins et une série différente d’événements. Ces différentes origines peuvent peut-être être observées à travers les cheveux des gens.

Par exemple, les Asiatiques ont tendance à avoir des cheveux noirs raides, alors que les Caucasiens ont souvent des cheveux blonds ou bruns, et que les personnes d’origine africaine ont des cheveux noirs fins et bouclés ‒ ce qui montre comment les différents êtres divins ont créé des humains différents et à leur image.

L’existence des cheveux met également en doute la théorie de l’évolution de Darwin. Du point de vue de l’évolution, les cheveux remplissent trois fonctions : la protection contre le soleil en été, la rétention de la chaleur en hiver et l’attrait général.

Cependant, les humains défient ces adaptations. Si les poils étaient nécessaires pour se protéger du soleil et conserver la chaleur, nous aurions évolué pour avoir des poils ou de la fourrure sur tout le visage, comme les singes, puisque, anatomiquement, nous avons le même besoin que les singes. Pourtant, il y a des régions visiblement glabres sur nos visages, là où les singes ont de la fourrure. Dans le même temps, les humains chauves semblent bien vivre sans protection sur leur tête contre le soleil ou le froid.

Les sourcils sont également un autre mystère dans le cadre de l’évolution, car ils poussent en quelque sorte à un rythme plus lent que les cheveux sur nos têtes, et dans une forme différente.

Mais si nous sortons de la notion des cheveux en tant que besoin évolutif et que nous les considérons comme le produit d’une conception intelligente, ces phénomènes peuvent être plus faciles à comprendre. Et si nous nous replongeons dans les anciennes légendes qui entourent les cheveux sur nos têtes, nous découvrirons que nos tresses et nos mèches révèlent plus que ce que l’on peut voir à première vue.

Les cheveux et l’âge

Dans la Chine ancienne, les cheveux sont souvent utilisés comme un symbole de l’âge. Par exemple, un enfant était souvent appelé un garçon ou une fille « aux cheveux jaunes », car les cheveux des enfants chinois avaient tendance à être plus clairsemés et d’un brun jaunâtre. En grandissant, leurs cheveux devenaient denses, noirs et brillants.

Les cheveux et le passage à l’âge adulte

On considérait qu’une fille atteignait sa maturité à l’âge de 15 ans. Un autre mot pour désigner une jeune fille de 15 ans était jiji, qui se traduit par « avoir besoin d’une épingle à cheveux ». La coutume voulait que les femmes n’épinglent leurs cheveux qu’après avoir atteint la maturité.

Un garçon atteignait la maturité à l’âge de 20 ans. On l’appelait alors ruoguan, ou quelqu’un qui était « prêt à porter un chapeau ». Ce terme désigne également la coiffure, puisque les hommes avaient les cheveux longs et devaient les attacher pour les mettre sous leur chapeau une fois la maturité atteinte. La cérémonie de passage à l’âge adulte d’un homme de 20 ans consisterait à le « couronner » d’un chapeau pour la première fois.

Les cheveux et les personnes âgées

Les Chinois âgés ont les cheveux gris ou blancs, et si l’on dépasse ce stade, les cheveux peuvent redevenir jaunâtres. Nous pouvons le lire cette allusion dans un poème de Tao Yuanming, un poète de la dynastie Jin :

« Tant les vieux aux cheveux jaunis que les jeunes aux cheveux détachés étaient satisfaits. »

Cependant, ce n’est pas tout le monde qui grisonnait. Ceux qui suivaient des pratiques spirituelles étaient souvent une exception. Zhang Sanfeng, un taoïste renommé qui a vécu sous les dynasties Song, Yuan et Ming, a un jour donné quelques conseils à l’empereur Yongle des Ming pour vivre longtemps.

« Ayez un esprit calme avec peu de désirs terrestres, et vous atteindrez la longévité », a-t-il écrit.

Cette tradition de cultivation de soi se poursuit chez les pratiquants actuels de Falun Dafa, qui est un système de méditation fondé sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Un article du site Minghui (en anglais) parle d’une mère âgée qui a retrouvé une apparence jeune et une énergie abondante après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa. Elle a également retrouvé ses cheveux noirs. Remarquant qu’elle était capable de cultiver des légumes et de les vendre sur le marché des agriculteurs avec facilité, la plupart des clients pensaient qu’elle n’avait que la cinquantaine. Lorsque cela se produisait, la mère souriait et disait aux gens qu’elle avait déjà 83 ans.

Les cheveux et l’âge dans la littérature

Néanmoins, la couleur des cheveux d’une personne était généralement utilisée pour faire référence à son âge, comme on le voit dans certains poèmes célèbres.

« Lis jusqu’à minuit, et continue aux premières lueurs du jour / Si tu n’étudies pas quand tes cheveux sont noirs, tu pleureras quand ils seront blancs », a écrit Yan Zhenqing de la dynastie Tang.

Li Bai, l’un des poètes les plus célèbres de Chine, a écrit les lignes suivantes :

« N’avez-vous pas vu les parents, qui se tiennent devant un miroir et déplorent leurs mèches / Ébène à l’aube de la vie, maintenant pâlies comme la neige au crépuscule ? ».

Les coiffures

Depuis les temps anciens, la Chine est également connue sous le nom de Huaxia. Xia signifie un grand pays avec des rituels et des rites majestueux, tandis que hua fait référence à l’élégance des vêtements et de l’écriture, selon Kong Yingda, un érudit de la dynastie Tang.

Les coiffures diverses et variées arborées par les hommes et les femmes témoignent de cette élégance et sont la marque de la culture chinoise aux accents divins.

Les coiffures d’enfants

Dès le plus jeune âge, il existait des coutumes concernant la façon dont les gens portaient leurs cheveux. Pour les filles de moins de sept ans et les garçons de moins de huit ans, les cheveux étaient laissés libres sans être épinglés ou attachés. Ensuite, jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 15 ans, leurs cheveux étaient séparés au milieu et regroupés des deux côtés de la tête dans un style appelé zongjiao, ou cornes de chèvre. En fait, l’expression « amis de zongjiao » est couramment utilisée pour désigner deux personnes qui sont amies depuis l’enfance.

À l’âge de quinze ans, les cheveux étaient attachés en un seul chignon. Les filles se faisaient épingler les cheveux pour la première fois, comme indiqué dans la définition du jiji ci-dessus.

Les coiffures à travers les dynasties

Les coiffures portées par les adultes différaient selon les dynasties. Le poème Mo Shang Sang, sous la dynastie Han, a décrit une jeune femme, Luo Fu, qui portait « un chignon tombant sur la tête avec des boucles d’oreilles en perles ».

Mulan Ci (La Ballade de Mulan) des dynasties du Nord et du Sud, décrit Mulan « peignant ses cheveux en forme de nuage, puis y déposant une fleur jaune devant un miroir ».

Nombre de ces coiffures étaient d’origine divine. Selon le Zhi Hu Zi, la Reine Mère vint un jour rendre visite à l’empereur Wu de la dynastie Han. Impressionné par la mode des cieux, qui ne ressemblait à rien de ce qu’il avait vu sur terre, l’empereur ordonna aux dames de la cour impériale d’imiter la coiffure de la déesse. Il a baptisé cette coiffure le « chignon de la fée volante ».

Un autre exemple de coiffure d’origine d’un autre monde est le « chignon du serpent enchanté ». On dit que ce style a été découvert par Dame Zhen, épouse de l’empereur Wen de Wei, lorsqu’elle a vu un jour un serpent vert se transformer en la forme du chignon dans le palais.

Il y a ensuite le « chignon de l’envol » et le « chignon béni de nuages », des styles de la dynastie des Sui qui, du fait qu’ils semblent flotter avec légèreté autour de la tête de la personne qui les porte, évoquent les brumes éthérées des royaumes divins.

La dynastie Tang a été l’apogée de la culture chinoise, avec des coiffures élaborées représentant cet apogée. Le chignon en spirale et le nœud de lys étaient tous deux en vogue à l’époque, mais les styles les plus emblématiques de l’époque étaient les chignons « inversés », où le chignon commençait par une queue de cheval au sommet de la tête et était ensuite noué de manière ornementale, parfois autour de divers instruments de façonnage. Parmi les styles notables de chignons inversés, citons le « chignon à double lame », le « chignon vers le ciel » et le « chignon sycee ».

Le Zanhua Shinü Tu (Dames de la cour parées d’ornements floraux) de Zhou Fang et le Daolian Tu (Dames de la cour préparant de la soie nouvellement tissée) de Zhang Xuan représentent des scènes de la dynastie Tang.

Les femmes de ces images ont des visages ronds et pleins, des corps généreux et sains, et portent des vêtements splendides ainsi que des coiffures qui s’élèvent au-dessus de leur tête. Avec leurs bijoux en or, argent, jade et autres matériaux précieux, elles incarnent l’esthétique élégante et luxueuse de la dynastie prospère des Tang.

Le rouleau peint Han Xizai Yeyan Tu (Festivités nocturnes de Han Xizai) illustre une scène des Cinq Dynasties, la période qui a précédé la dynastie Song. Dans cette peinture, les dames avaient des chignons hauts attachés près de l’arrière de la tête, et portaient un ensemble d’accessoires capillaires délicats. L’ensemble donne une impression de grâce animée.

Le rouleau peint Han Xizai Yeyan Tu (Festivités nocturnes de Han Xizai) illustre notamment les coiffures des dames à l’époque des Cinq Dynasties (907 - 960) (Attribué à Gu Hongzhong (顾闳中, 937 - 975), Rouleau peint, 28,7 x 335,5 cm

Original au Musée u Palais à Pékin, Chine

Reproduction par la Beijing Ji Ding Wen Hua Development Company, 2017.

Sous la dynastie Song, les dames de la cour de l’empereur Lizong portaient des chignons imposants sur la tête, appelés « chignons coniques ». Le Jinci, un temple construit pendant la dynastie, comportait des statues féminines qui arboraient cette coiffure.

Influencés par les couronnes sacrées du bouddhisme et les diadèmes en forme de lotus du taoïsme, les Tang et les Song aimaient aussi porter des diadèmes de leur cru, avec des images de fleurs de lotus, de phénix et d’autres symboles de bon augure.

Dans la dynastie Song, une tendance pour les coiffures féminines était appelée les « vues de la saison », où les femmes se paraient de postiches représentant des fleurs de saison. Les quatre fleurs utilisées étaient les fleur de pêcher pour le printemps, les fleurs de lotus pour l’été, les chrysanthèmes pour l’automne et les fleurs de prunier pour l’hiver, chacune étant sublime à sa manière.

Dans la dynastie Song, les femmes se paraient de fleurs correspondant à la saison en cours. (Creative commons)

Les pratiquants d’une discipline spirituelle avaient leurs propres coiffures qui les différenciaient du reste de la société. Les moines et les nonnes se rasaient la tête et portaient des soutanes en signe de leur engagement à se libérer des préoccupations mondaines. Les taoïstes ont un chignon unique qu’ils portent, ainsi que les robes correspondantes.

À l’inverse, la perte de la culture traditionnelle dans notre société moderne est également visible dans les coiffures des gens. De nos jours, beaucoup de gens recherchent des coiffures exotiques et ébouriffées. Si nous continuons ainsi en tant que société, nous risquons d’oublier d’où nous venons et comment y retourner.

Les cheveux et la santé

Bien que les cheveux poussent sur la peau, ils sont bien reliés au corps. Vus au microscope, les cheveux sont une tige cylindrique composée de plusieurs couches. Lorsque le grand circuit céleste d’une personne est ouvert, l’énergie circule dans toutes les parties du corps, y compris dans chacun de ces minuscules cylindres.

La médecine chinoise estime que les cheveux sont liés au sang et aux reins. Certains dictons courants en médecine chinoise démontrent ces liens, tels que « le sang engendre les cheveux » et « l’état des reins se voit dans les cheveux ».

Les médecins de médecine chinoise utilisent un processus d’examen en quatre étapes. Ils regardent d’abord le patient et essaient de trouver toute anomalie visible. Ensuite, ils écoutent pour détecter tout indice auditif de l’état du patient. Ensuite, ils demandent au patient de leur parler de son état, et enfin, ils prennent le pouls du patient.

Les cheveux font partie de la phase d’observation du diagnostic et constituent un indice utile pour les médecins de médecine chinoise afin de déceler d’éventuelles affections. Les cheveux d’un Chinois en bonne santé sont noirs et lustrés, tandis que ceux d’une personne malade sont souvent jaunâtres et secs. Comme l’herbe fanée, ils sont cassants et ont tendance à se fendre.

Les cheveux et le caractère

L’apparence d’une personne, y compris ses cheveux, peut être le reflet de sa nature.

Par exemple, les personnes aux cheveux épais peuvent être persistantes ou têtues. En revanche, celles qui ont des cheveux fins et doux peuvent être plus réfléchies et avoir un esprit complexe.

Les personnes dont les cheveux reculent vers le sommet de la tête peuvent être plus ouvertes d’esprit et plus sages.

La plupart des gens ont une ligne de cheveux droite ou arrondie, mais certaines personnes ont une ligne de cheveux sur le front en forme de « v ». Ces personnes peuvent être enclines à avoir un mauvais caractère.

Histoires de cheveux

L’importance culturelle des cheveux pour les Chinois se manifeste également dans la fréquence à laquelle ils sont représentés dans la littérature.

Lin Xiangru, un haut fonctionnaire de Zhao à la période des Royaumes combattants en Chine, avait des cheveux très expressifs.

Lorsque le roi de la puissante nation Qin a proposé d’échanger quinze de ses villes contre le précieux disque de jade Heshi appartenant au roi de Zhao, ce dernier a craint que le roi de Qin n’honore pas sa part du marché. Lin s’est porté volontaire pour aller à Qin afin de vérifier si le roi était bien là.

Lorsqu’il est arrivé, il a constaté que le roi de Qin montrait le jade à ses fonctionnaires et à ses dames, sans avoir l’intention d’offrir les villes. Lin prit le disque de jade dans sa main et devint « furieux au point que ses cheveux se dressèrent et qu’il faillirent faire tomber son chapeau ». Il fustigea le roi de Qin pour ne pas avoir tenu sa promesse. Finalement, il a pu ramener le disque de jade à Zhao en toute sécurité.

Yue Fei, l’un des généraux les plus célèbres de l’histoire chinoise, avait également des cheveux expressifs. Il a écrit un jour sur l’invasion des Jurchen et l’humiliation qui y était associée : « Mes cheveux se dressent sous l’effet de la colère et font tomber mon chapeau. »

Une autre histoire concerne Cao Cao, l’avant-dernier grand chancelier de la dynastie des Han orientaux. Un jour, alors que le blé était mûr, il donna l’ordre aux soldats de ne pas endommager les cultures de blé et décréta que tout contrevenant serait exécuté.

Cependant, son propre cheval a sursauté un jour et a piétiné un champ de blé. Alors que Cao était sur le point de se suicider, son conseiller l’en a empêché, lui disant qu’il ne pouvait pas faire cela, car leur armée n’aurait alors plus de chef. Comme les gens de l’Antiquité chérissaient leurs cheveux comme leur propre corps, Cao s’est coupé les cheveux en guise de mesure disciplinaire.

Sun Jing, également de la dynastie Han, étudiait très dur. Pour éviter de s’assoupir, il attachait ses cheveux à la poutre de soutien de sa maison. Chaque fois qu’il s’assoupissait, ses cheveux tiraient contre la poutre et le réveillaient. Grâce à cette méthode d’étude, il est devenu un grand érudit.

Tao Kan, un général de la dynastie Jin, est né dans une famille pauvre. Un jour, son ami Fan Kui est venu lui rendre visite par un jour de neige, mais la famille de Tao n’avait pas assez de nourriture pour accueillir Fan et ses hommes.

« Ne vous inquiétez pas. Je vais trouver une solution », lui a assuré sa mère.

Elle a sorti le foin qui rembourrait leurs lits, et l’a coupé en morceaux pour nourrir les chevaux de Fan et ses hommes. Elle s’est ensuite coupé les cheveux et les a vendus pour acheter du riz et des légumes. Tao était un fonctionnaire bien connu de l’histoire chinoise et sa mère était également célébrée comme l’une des mères les plus vertueuses.

Wu Zixu était un général de la période des Printemps et Automnes. Après que le roi de Chu a tué son père et son frère aîné, il a poursuivi Wu également. Wu a fui vers la nation de Wu. Cependant, avant de pouvoir y entrer, il devait passer le poste de contrôle de Zhaoguan, qui était sous le contrôle du roi de Chu. La nuit avant qu’il ne passe le poste de contrôle, Wu était si inquiet que ses cheveux sont devenus blancs pendant la nuit. Le lendemain, il a pu passer le poste de contrôle avec succès grâce à ses cheveux blancs, et est arrivé sain et sauf dans la nation de Wu.

Mei Sheng était un érudit de la dynastie Han. Lorsque Liu Bi, le roi de Wu, a prévu de se rebeller contre l’empereur, Mei a tenté de l’en empêcher en disant que le risque était énorme, « comme si on suspendait mille livres à un cheveu ». Plus tard, Liu échoua et fut tué.

Des cheveux et une prophétie

La Chine était également connue comme le pays du divin, et abritait une culture vaste et colorée, enrichie d’un sens profond. Les exemples ci-dessus ne sont que quelques exemples de la façon dont cela se manifeste dans le domaine des cheveux ‒ juste une petite partie de cette grande civilisation.

Pour conclure, il y a encore une anecdote liée aux cheveux qui relie la tradition ancienne à notre monde moderne.

Liu Bowen, un sage et prophète de la dynastie Ming, a un jour prédit l’avenir dans sa prophétie, Shaobing Ge (la Chanson du pain) :

« La personne [qui introduira la grande voie] n’est pas un moine ou un taoïste. Il porte la coiffure d’une personne de tous les jours ».

Il a également mentionné que les gens ne cultiveraient pas dans les temples, mais qu’ils cultiveraient tout en vivant dans le monde séculier.

Cela coïncide avec la pratique du Falun Dafa dans la Chine d’aujourd’hui. Avec environ 100 millions de pratiquants, cette méthode met l’accent sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, l’essence de la culture traditionnelle chinoise. À cette époque particulière de l’histoire, elle relie le passé et le présent, nous conduisant de milliers d’années d’histoire vers un avenir plus radieux.

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Traduit de l’anglais