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Récupération extraordinaire d’une tribulation de maladie

14 octobre 2023 |   Écrit par Ping Ping, une pratiquante de Falun Dafa à Tianjin, Chine

(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa de 60 ans qui a commencé à pratiquer en mars 1999. Je souffrais d’une très mauvaise santé avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa. Bien que je prenais des médicaments toute l’année et que j’apprenais de nombreux types de qigong, ma santé ne s’est jamais améliorée. Compte tenu des pressions familiales, j’ai envisagé de mettre fin à mes jours. J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa après avoir été persuadée à plusieurs reprises par mes amis, et je me suis rétablie de façon inattendue de toutes mes maladies en l’espace de deux mois. Vingt-trois ans se sont écoulés depuis lors et, outre l’amélioration de mon bien-être mental, le Falun Dafa m’a permis de devenir une personne meilleure et plus prévenante. Je voudrais partager avec vous une tribulation de vie et de mort que j’ai vécue.

Alors que je me coupais les ongles dans la nuit du 8 mai 2022, j’ai accidentellement coupé un petit morceau de chair, de la taille d’un grain de riz, sur le côté de mon petit orteil droit. Comme il n’y avait qu’un léger saignement et aucune douleur, je n’ai pas pris en compte cet incident et je suis allée me coucher.

Cinq jours plus tard, je suis allée acheter des légumes au village voisin. De retour à la maison, j’ai ressenti une certaine faiblesse dans ma jambe droite, mais j’ai tout de même rejoint le groupe d’étude du Fa chez un autre pratiquant. Cette nuit-là, j’ai découvert que ma blessure était un peu rouge et enflée. Le lendemain matin, j’ai constaté que mon orteil droit était un peu enflé et douloureux. Après avoir fait les exercices de Dafa, je suis allée préparer le petit-déjeuner. Mais dès que j’ai fait le premier pas, mon pied droit a commencé à me faire très mal. Je suis restée à la maison toute la journée. J’ai passé les trois jours suivants confinée à l’intérieur, à étudier le Fa et à émettre la pensée droite. Comme mon fils, ma fille et mon mari travaillaient ailleurs, j’étais seule à la maison. Cependant, comme je ne voulais pas les inquiéter, je ne leur ai pas parlé de mon état.

Deux jours plus tard, mon pied droit avait beaucoup gonflé. Marcher me faisait très mal, comme si je marchais sur des aiguilles. Incapable de bouger, je ne pouvais pas me faire à manger. Heureusement, mes compagnons de cultivation et mes voisins ont entendu parler de ma situation. Ils m’ont livré de la nourriture et m’ont aidée à prendre soin de moi, mais en l’espace de quelques jours, j’ai quand même perdu beaucoup de poids. Mon fils et ma fille sont rentrés à la maison deux jours plus tard, pour le week-end. Dès qu’ils m’ont vue, ils ont insisté pour que je me rende à l’hôpital. Je les ai rassurés en leur expliquant que cela faisait partie du processus d’élimination du karma et qu’avec la protection du Maître, j’irais bien. Incapables de me faire changer d’avis, mes enfants ont abandonné l’idée. Inquiets d’un éventuel confinement dû à la pandémie de COVID-19, ils ne sont restés que pour la nuit. Avant de partir, ils m’ont demandé de les appeler si mon état s’aggravait. Je les ai rassurés en leur disant que tout irait bien.

J’ai épousé mon mari actuel en 2001. À l’époque, mon mari avait déjà un fils de 16 ans et une fille d’un an de son précédent mariage. Être belle-mère est difficile et tout le monde m’a conseillé d’avoir mon propre enfant. Pour maintenir l’harmonie au sein de la famille, j’ai refusé d’avoir d’autres enfants et je me suis concentrée sur l’éducation de ma jeune belle-fille. Mon beau-fils s’est ensuite marié et a eu des enfants. Je me suis occupée de mon petit-fils jusqu’à ce qu’il entre au collège. Peu après, mon beau-fils et sa femme ont eu un deuxième enfant, qui est actuellement en première année à l’école.

Les membres de ma famille me respectent, car ils connaissent les difficultés que j’ai endurées pour la famille au cours des vingt dernières années. Ils m’ont soutenue dans ma pratique du Falun Dafa et ont compris que le Falun Dafa est bon. Après être retournés à leur travail, mon beau-fils et ma belle-fille ont appelé mon frère cadet et lui ont parlé de ma situation. Mon frère cadet s’est précipité avec mon neveu le jour suivant. En voyant mon état, ils m’ont conseillé de me rendre à l’hôpital. Mon frère cadet avait vu les incroyables pouvoirs de guérison de Dafa et savait que j’étais en bonne santé depuis 1999. Lorsque j’ai rejeté sa proposition, il a accepté ma décision, mais a insisté pour que j’aille chez lui afin qu’ils puissent s’occuper de moi. Ne pouvant refuser, je suis finalement retournée dans ma ville natale avec lui.

Au bout de deux ou trois jours, ma blessure initiale s’est cicatrisée d’elle-même. Mais à sa place, deux autres plaies sont apparues sur le côté de mon orteil, d’où s’écoulaient de grandes quantités de pus poisseux et malodorant. Bien que mon jeune frère se soit beaucoup occupé de moi et ait refusé de me laisser bouger, j’ai insisté pour faire tout ce que je pouvais par moi-même. J’ai également continué à pratiquer les exercices quotidiennement, malgré la douleur insupportable ressentie chaque fois que je me tenais debout sur mon pied. Après avoir fait les exercices de Dafa, j’étais trempée de sueur.

J’étudiais le Fa, j’émettais la pensée droite, je regardais en moi mes défauts et j’essayais de me corriger. Au fil des jours, mes symptômes ont commencé à s’atténuer, tout comme les inquiétudes de mon jeune frère.

J’ai alors remarqué quelque chose dans ma plaie et j’ai pu l’extraire avec du papier de soie. Cela ressemblait à un ver de deux pouces de long. La situation s’est répétée deux jours plus tard. Ensuite, la plaie a commencé à expulser du pus durci de la taille d’un grain de soja. Bien que la situation ait semblé effrayante aux yeux des autres, je savais que le Maître purifiait mon corps et expulsait ces choses sales.

Dimanche, mon mari, ma belle-fille, mon petit-fils et ma fille sont venus me voir. En voyant mon pied enflé, devenu noir et violet à partir du mollet, tous ont insisté pour que j’aille à l’hôpital. Ils ont appelé près de 20 membres de ma famille proche, qui ont été choqués de voir mon état. Tous se sont relayés pour me persuader, criant et pleurant que ma jambe serait amputée si je refusais d’y aller. Je leur ai dit qu’en tant que pratiquante de Dafa, le Maître s’occuperait de moi et que ma situation n’était pas comme celle d’une personne ordinaire.

Comme je restais impassible, ma nièce et son mari sont allés chercher un médecin qu’ils connaissaient. Celui-ci a examiné mon pied, a sorti une aiguille métallique et a percé la zone située entre le gros orteil et le deuxième orteil. Lorsqu’il l’a retirée, du pus s’est écoulé de la zone percée. Il m’a demandé si j’avais mal et je lui ai répondu que non. Le médecin a secoué la tête et est allé informer ma famille de son diagnostic. Après son départ, les membres de ma famille sont revenus dans ma chambre en larmes. Le médecin leur avait dit que même si je me rendais à l’hôpital maintenant, je perdrais ma jambe et que ma vie serait même en danger. Mon mari, désespéré, a dit : « Je vais me mettre à genoux pour te supplier. Écoute-moi cette fois-ci et va à l’hôpital. » Je leur ai dit de ne pas tenir compte du diagnostic du médecin, car avec l’aide du Maître, j’allais m’en sortir.

La belle-fille de mon fils aîné (issue de mon premier mariage), elle-même médecin, s’est précipitée pour me rendre visite peu après. Elle m’a dit : « Ton état actuel est très dangereux. Il est impossible que ta jambe guérisse d’elle-même sans traitement. » Après avoir continué à refuser leurs conseils et à les rassurer en leur disant que j’allais bien, mes proches se sont sentis frustrés et en colère. J’ai entendu ma tante suggérer bruyamment qu’ils me transportent de force à l’hôpital. Même si ma jambe était amputée, au moins ma vie serait sauvée. Mes proches ont également commencé à discuter des préparatifs des funérailles, au cas où je perdrais la vie, avant de partir en larmes. Mon mari devait s’occuper d’un projet dans une autre région et ne pouvait pas rester à mes côtés. Avant de partir, il s’est écrié : « Le médecin a dit que tu souffrais d’une septicémie. Pourquoi continues-tu à refuser le traitement ? » Je l’ai rassuré en lui disant que tout irait bien, car le Maître prenait soin de moi.

Par la suite, j’ai intensifié mon étude du Fa, j’ai fait les exercices et j’ai émis la pensée droite plus fréquemment. Ce faisant, j’ai découvert des lacunes dans mon caractère, qui ne correspondaient pas aux normes du Fa. La jalousie, le ressentiment, la lutte pour l’intérêt personnel, l’impatience et la compétitivité sont quelques-uns des défauts que j’ai découverts.

Par exemple, j’avais du ressentiment. Lorsque mon pied était enflé et que je ne pouvais pas cuisiner moi-même, ma belle-sœur qui vivait dans le village passait me voir tous les jours. Lorsque je lui ai demandé de m’aider à cuire des brioches à la vapeur, elle n’a pas répondu. Je pensais qu’elle n’avait pas entendu ma demande et je l’ai répétée trois fois de suite. Cependant, ma belle-sœur a continué à m’ignorer et s’est même servie dans les cadeaux que d’autres m’avaient offerts. Je me suis mise en colère et je me suis dit : « Tu n’as vraiment aucune conscience. Je t’ai toujours donné de bonnes choses et je t’ai même accueillie chez moi pendant deux mois alors que ta maison était en travaux. En tant qu’hôte, j’ai dû m’occuper de toi pendant ton séjour. Et quand j’ai des problèmes, tu me traites comme ça ?! » Je n’ai pas respecté les exigences d’un pratiquant et j’ai plutôt nourri du ressentiment et de l’indignation.

Mon caractère impatient m’empêchait également de faire preuve de considération à l’égard des autres. Après avoir découvert mes attachements, j’ai cessé d’en vouloir à ma belle-sœur. Peut-être que le Maître l’avait utilisée pour me tester, et que je n’avais pas réussi à passer le test malgré de nombreuses années de cultivation. J’ai eu honte et j’ai décidé de ne pas décevoir le Maître. Au bout d’un mois, mon état s’est progressivement amélioré et j’ai pu m’occuper de mes propres besoins. J’ai appelé mon mari et lui ai demandé de me raccompagner chez moi. Le lendemain, mon mari et ma fille sont arrivés. Ils ont été ravis de voir que le gonflement avait diminué et que je pouvais marcher en pantoufles.

Avant le 6 octobre 2022, jour des fiançailles de ma fille, celle-ci avait été angoissée pendant des jours, pensant que je ne pourrais pas assister à sa cérémonie de fiançailles. Elle m’a dit qu’elle devait remercier le Maître pour ce miracle.

Les parents et les amis de ma ville natale ont été tout aussi bouleversés par mon rétablissement. La rumeur s’était répandue que je ne vivrais pas longtemps. Pourtant, en me voyant discuter debout devant eux, ils ont tous admis la grandeur du Falun Dafa. L’hôpital m’aurait facturé des dizaines de milliers de yuans d’honoraires, m’aurait amputé la jambe et n’aurait même pas pu garantir ma survie. Pourtant, le Falun Dafa avait miraculeusement guéri ma jambe gratuitement !

Ma nièce avait fait un pari avec moi un peu plus tôt : « Tante, je ne crois vraiment pas que tu puisses te rétablir sans aller à l’hôpital. Si tu te rétablis vraiment, j’exaucerai ton vœu, quel qu’il soit. » En voyant que je m’étais rétablie, elle m’a demandé : « Tante, quel est ton souhait ? » « Je n’ai besoin de rien de ta part, dis simplement à tes collègues, amis et camarades de classe ce qui m’est arrivé. » Ma nièce a accepté avec joie.

Ma belle-fille aînée, qui travaille comme médecin, m’a personnellement appelée un peu plus tard pour s’enquérir de mon état. Lorsque je lui ai dit que je m’étais rétablie, elle n’en croyait pas ses oreilles. Elle est venue chez moi, m’a vue marcher avec une jambe normale et s’est exclamée, l’air surpris : « C’est incroyable. Ton état était si grave, et pourtant tu t’es rétablie sans aucun traitement. La science médicale ne peut pas expliquer cela. Le Falun Dafa est vraiment étonnant ! »

Traduit de l’anglais