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Le temps précieux que j’ai passé à travailler dans une librairie

20 décembre 2023 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Mongolie intérieure, Chine

(Minghui.org) Pendant la Révolution culturelle, mon père a été envoyé à la campagne pour travailler, et notre famille l’a accompagné. Je devais effectuer de lourds travaux agricoles tous les jours, car mes parents étaient en mauvaise santé. Lorsque j’ai eu ma propre famille, mon mari me frappait souvent lorsqu’il perdait de l’argent au jeu. J’ai divorcé en 1988 et j’ai élevé seule mes jeunes enfants. Nous nous en sommes sortis avec très peu d’argent.

En 1993, j’ai été mutée dans une grande librairie. J’étais en mauvaise santé. Je souffrais d’une maladie cardiaque, d’une cholécystite, de fibromes utérins, de migraines et de rhumatismes. Mes collègues ont fait preuve de sympathie à mon égard, connaissant mes antécédents familiaux et mon état de santé.

« Falun Dafa est bon ! »

J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997 et, bien que je sois analphabète, j’ai lentement appris à lire en étudiant le Zhuan Falun. Je suis passée de la morosité à la gaieté, et mon caractère colérique s’est amélioré. J’ai arrêté de fumer et de boire, et j’ai laissé tomber le ressentiment que j’avais envers mon ex-mari. Les maladies qui me tourmentaient ont disparu et, chaque jour, je ressentais de la joie et de la paix.

Mes collègues ont vu les différences chez moi avant et après que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, et ils ont cru que le Falun Dafa est bon. Ils m’ont patiemment appris à comprendre les nouveaux caractères du Zhuan Falun. Mon chef de section a été convaincu des merveilles du Falun Dafa après avoir vu les changements en moi et a également commencé à pratiquer.

J’ai appris que je devais me conduire selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et être une meilleure personne. Lorsque mes collègues ont rencontré des difficultés, j’ai fait preuve d’empathie, je leur ai fait part de ma compréhension de la situation et j’ai partagé avec eux les bienfaits que j’ai tirés de Dafa, tant sur le plan physique que sur le plan mental. Je les ai également encouragés à réciter « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! »

Tous les jours, je nettoyais la librairie avant de mettre les marchandises en rayon. Les sacs de livres étaient particulièrement lourds et je déplaçais les plus grands pour que d’autres n’aient pas à le faire. J’essayais de tout mettre sur les rayons pendant mon service pour alléger le fardeau de ceux du service suivant. Si une collègue était malade, je prenais l’initiative de la remplacer et je ne m’attendais pas à ce qu’elle me remplace. Mes collègues étaient touchés par mon comportement et m’apportaient des repas faits maison.

Sous mon influence, les membres de l’équipe ont travaillé dur et se sont souciés les uns des autres. Les autres équipes enviaient la qualité de notre coopération. Mes collègues ont pu constater de leurs propres yeux que le Falun Dafa peut vraiment élever le niveau moral des gens.

Mes collègues conservent leur sens de la justice

Le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa le 20 juillet 1999. En 2001, quelqu’un m’a signalée pour ma pratique du Falun Dafa. Les policiers m’ont emmenée au Bureau 610, où ils m’ont torturée. J’ai été transférée dans un centre de détention et illégalement condamnée à une peine d’un an de travaux forcés.

Le directeur de la librairie et deux chefs d’équipe ont remarqué que je ne me présentais pas au travail. Ils se sont renseignés auprès de mes enfants et ont appris que la police m’avait emmenée dans un centre de détention. Certains de mes collègues se sont alors rendus au Département de police, ont demandé où je me trouvais, ont expliqué que j’étais quelqu’un de bien et ont demandé ma libération.

La police a rejeté leur demande. Mes collègues ont alors exigé que la police délivre des billets de visite pour vingt personnes, car tous les membres des deux équipes voulaient me rendre visite.

Une dizaine de collègues sont arrivés au centre de détention avec de la nourriture. Dès qu’ils ont franchi la porte, ils ont crié mon nom, les larmes aux yeux. Les gardiens ont arrêté le groupe et n’ont laissé entrer que six ou sept personnes. Lorsqu’ils ont vu les tendons et la chair de mes poignets meurtris et blessés par la torture, mes collègues ont pleuré et ont dit aux gardiens : « C’est une bonne personne, comment pouvez-vous la traiter de la sorte ? »

Huit mois plus tard, j’ai été libérée. Après un mois d’étude du Fa et d’exercices à la maison, j’ai retrouvé la sensibilité de mes mains et elles se sont mises à bouger normalement. Le directeur des ressources humaines de la librairie m’a appelée et m’a demandé gentiment : « Pourquoi n’avez-vous pas encore repris le travail ? » J’ai donc repris le travail et mes collègues étaient très heureux de me voir.

Mes collègues ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées

Lorsque mes collègues ne se sentaient pas bien ou avaient des problèmes personnels à régler, je travaillais volontairement plus longtemps pour les remplacer. D’autres équipes voulaient que je les rejoigne.

Je suis devenue plus compétente au fur et à mesure que ma cultivation progressait. Dafa a ouvert ma sagesse et mes compétences commerciales, telles que le placement et l’introduction de livres, se sont considérablement améliorées.

Pour mieux servir les clients, j’ai lu attentivement des documents sur la vente de livres. J’étais capable de trouver immédiatement et avec précision les livres que les clients demandaient, ce qui les rendait satisfaits de notre magasin. Ils me demandaient souvent par mon nom pour les servir lorsqu’ils avaient besoin d’aide. Mes collègues ont dit : « Je ne savais pas qu’elle était aussi compétente. Elle n’a pas l’air d’être analphabète. Elle semble plutôt bien éduquée. »

J’ai réalisé que mes collègues avaient une affinité prédestinée avec moi, et j’ai commencé à les sensibiliser à Dafa et à la nature du PCC, leur donnant ainsi l’occasion d’être sauvés. L’un après l’autre, mes collègues ont vu clair dans les mensonges du PCC et ont déclaré qu’ils se retireraient du PCC, la Ligue de la jeunesse ou les Jeunes Pionniers.

La chef comptable a reçu un diagnostic de cancer de l’ovaire. Elle a subi une intervention chirurgicale et a perdu tous ses cheveux à cause de la chimiothérapie. J’ai sympathisé avec elle et je lui ai clarifié la vérité au sujet de Dafa. Elle et toute sa famille ont déclaré leur démission du PCC et de ses organisations affiliées.

La mère de la comptable connaissait mon histoire et a suggéré à sa fille de pratiquer Dafa. Je l’ai aidée à trouver un exemplaire du Zhuan Falun et je lui ai enseigné les cinq exercices. Elle a pratiqué et s’est miraculeusement remise du cancer. Elle a même eu une chevelure noire abondante. Elle a recommandé le Falun Dafa à beaucoup de ses amis et de ses proches et, en conséquence, sa mère, sa fille et son gendre ont commencé à pratiquer Dafa.

Quand j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, la chef comptable de l’époque savait que Dafa est bon et que j’étais une employée honnête, aimable et consciencieuse. Plus tard, elle a été transférée dans un autre endroit. Lorsque j’ai repris le travail à la librairie après avoir quitté le camp de travail, elle est revenue à notre librairie en tant que présidente. Elle occupe toujours ce poste aujourd’hui.

Lorsque je parlais à mes collègues des faits sur le Falun Dafa et que je les persuadais de démissionner du PCC et de ses organisations pour la jeunesse, je la rencontrais parfois, mais elle ne m’empêchait pas de parler avec les gens. Elle me demandait un CD de clarification de la vérité ou m’encourageait en disant : « Vas-y et continue ta pratique. »

Un jour, elle a voulu m’offrir une veste en duvet qu’elle avait reçue lors d’une conférence. J’ai répondu : « Je suis une pratiquante de Dafa ; je ne peux rien prendre aux autres. » Elle me l’a quand même offerte et s’est exclamée : « Aide-moi à démissionner du PCC et de ses organisations pour la jeunesse. »

J’ai souri et j’ai demandé : « Tu veux dire que tu veux démissionner des organisations du PCC ? » Elle a répondu : « C’est exactement ce que je veux dire ! » J’ai demandé : « En utilisant ton vrai nom ? » Elle a répondu par l’affirmative, puis s’est éloignée en sautillant comme une jeune fille. Je savais que c’était son côté qui savait qui célébrait le fait qu’elle avait été sauvée.

L’une de mes collègues était une responsable expérimentée de l’impression. Je me suis approchée d’elle et lui ai parlé de Dafa, partageant avec elle les bienfaits physiques et mentaux que j’ai tirés de ma pratique. Je lui ai également parlé de la persécution que j’avais personnellement subie.

Elle a été très touchée et a trouvé incroyable que des choses aussi mauvaises (la persécution) se produisent dans la société d’aujourd’hui. Elle a immédiatement accepté de démissionner du PCC. Nous nous sommes bien entendues et elle a pris l’initiative de m’aider à corriger les fautes d’impression dans les livres de Dafa.

Je suis récemment retournée à la librairie pour voir mes anciens collègues. Ils m’ont demandé : « Tu lis toujours [Zhuan Falun] ? » J’ai répondu : « Oui. » Ils m’ont dit : « Ce livre est remarquable ! Aucun autre livre ne peut l’égaler. Tu devrais le lire attentivement. »

Conclusion

Mes collègues de travail à la librairie ont été témoin des changements miraculeux avant et après que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa et ont apprécié l’honnêteté, la gentillesse et la persévérance d’une pratiquante de Dafa. Après avoir compris les faits, ils ont rejeté la perversité du PCC et ont sincèrement validé le Falun Dafa et la bonté du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Puisse cette histoire permettre à un plus grand nombre de personnes de comprendre que le Falun Dafa est bon et qu’il constitue la voie juste. Elles ne devraient pas manquer la précieuse occasion d’être sauvées.

Traduit de l’anglais