(Minghui.org) J’ai grandi dans une famille de pratiquants de Falun Dafa. Dafa m’a donné une bonne santé ainsi que la sagesse. J’ai été un excellent élève tout au long de l’école primaire, secondaire et de la majeure partie du lycée.
Quand j’étais petit, je n’étais pas attaché aux notes ou au rang dans la classe. Cependant, au secondaire, je suis devenu sensible aux éloges des professeurs et à la compétition entre les élèves. Peu à peu, j’ai accordé de plus en plus d’attention au rang de la classe. Mon désir de notoriété s’est accru, et bientôt les forces anciennes ont profité de mes failles.
J’ai été un excellent élève pendant des années. Cependant, après avoir entamé ma dernière année de lycée, mes notes ont commencé à fluctuer. Ces fluctuations et baisses soudaines étaient tout simplement inacceptables pour moi. J’ai d’abord cherché des raisons extérieures, mais je n’en ai trouvé aucune. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai compris que quelque chose n’allait pas avec mon xinxing. J’ai toujours considéré mes bonnes notes comme allant de soi. Même si je comprenais qu’elles étaient données par Dafa. Dans cette société toxique où tout le monde recherche la gloire et la fortune, j’ai commencé à prêter attention à ma réputation. J’étais satisfait de mes petites réussites. Je pensais que j’avais du talent et que je devais m’efforcer d’atteindre mes objectifs matériels. Ce n’est que lorsque j’ai reçu ce coup dur que j’ai réalisé que mon désir de notoriété était devenu très fort.
Après en avoir discuté avec ma mère, qui est également pratiquante, j’étais déterminé à éliminer cet attachement à la notoriété. J’ai émis la pensée droite et j’ai récité plusieurs fois :
« Ne pas chercher la renommée, être heureux et sans souci,
Ne pas s’attacher au gain, un être bienveillant et loyal ; »
(« Être un Homme », Hong Yin)
Au bout d’un certain temps, je me suis moins préoccupé de la notoriété. Je n’étais pas troublé lorsque mes camarades de classe parlaient de leurs résultats, et mon cœur n’était pas touché lorsque je recevais les résultats des examens. Pourtant, mes notes ne s’amélioraient pas. Il me semblait que je ne pourrais jamais atteindre le niveau que j’avais autrefois. Chaque fois que je pensais aux bonnes notes que j’avais obtenues auparavant et aux éloges de mes professeurs, je ressentais une amertume indescriptible dans mon cœur. Je pensais avoir éliminé la majeure partie de mon attachement à la réputation, mais chaque fois que je pensais à cela, j’étais énervé. Je me suis rendu compte que je n’étais pas dans un bon état de cultivation et que je n’avais pas trouvé la source du problème.
J’ai continué à regarder à l’intérieur. D’autres scénarios autour des notes sont apparus : j’étais contrarié par le fait que mes notes n’étaient pas aussi bonnes qu’avant ; j’étais affligé par le fait que les objectifs de l’examen d’entrée à l’université étaient difficiles à atteindre ; j’étais jaloux lorsque les notes de mon camarade de bureau étaient meilleures que les miennes ; je m’inquiétais que les enseignants ne soient pas satisfaits de moi, et ainsi de suite. J’ai vu mon attachement à la réputation, au désir de me faire valoir, à la mentalité compétitive et à la jalousie. J’étais triste et j’avais honte. Après avoir cultivé pendant si longtemps, j’avais encore tant d’attachements humains, et ils étaient si forts.
Ma mère m’a suggéré de continuer à regarder à l’intérieur. J’ai découvert que ces attachements étaient liés les uns aux autres et qu’ils avaient tous la même origine : l’égoïsme. Pourquoi étais-je si obsédé par les notes ? Pourquoi m’inquiétais-je de la baisse de mes notes ? J’étais sincèrement heureux pour mon ami qui avait obtenu une meilleure note que moi. Alors pourquoi étais-je si jaloux de mon camarade de bureau lorsqu’il me surpassait ? C’était de l’égoïsme, de l’ego bien déguisé, de la matière en décomposition provenant de l’ancien univers ! Ce n’était pas vraiment moi ! J’ai dit au Maître : c’est mon égoïsme caché qui a permis aux forces anciennes de profiter de mes failles. Je ne reconnaîtrai jamais l’interférence des forces anciennes. Je ne ferai que suivre l’arrangement du Maître ! J’ai demandé au Maître de m’aider à abandonner le faux moi et à revenir à mon vrai moi.
Lorsque j’ai passé les examens suivants, toutes mes copies comportaient un grand nombre d’erreurs bizarres et de bas niveau. Lorsque les copies d’examen notées m’ont été rendues, je n’arrivais pas à croire qu’elles avaient été écrites par moi. Ce qui était encore plus incroyable, c’est qu’il y avait de nombreuses erreurs dans la notation de l’examen, ce qui a fait baisser ma note totale de plusieurs dizaines de points.
J’étais tout à fait conscient que le faux moi que j’avais déterré ne voulait pas être éliminé ou désintégré, et il m’attaquait vicieusement, m’empêchant de m’améliorer et de valider Dafa.
Ma mère et moi avons décidé d’émettre la pensée droite pour éliminer tout le mal qui conspirait pour interférer avec ma validation de Dafa. Je devais nier la persécution des forces anciennes, abandonner mes attachements humains et croire dans le Maître et Dafa !
Lors de l’examen suivant, les erreurs ont été considérablement réduites et il n’y a pas eu d’erreurs de notation sur ma copie. Lors de l’examen suivant, ma note était la deuxième meilleure de la classe. Mes camarades de classe étaient surpris. Le soir même, le professeur principal a appelé mon père pour nous féliciter. Tout cela s’est passé très vite. Je me suis rendu compte que je me souciais peu des résultats, mais que mon cœur était rempli de gratitude.
Le Maître a dit :
« J’en ai parlé dans mon enseignement du Fa, le principe est le même que celui d’un élève qui étudie bien – il est naturel qu’il aille à l’université, si on s’attache au fait d’aller à l’université mais qu’on étudie mal, on ne peut pas entrer à l’université, un pratiquant n’a pas tort en ayant le souhait d’atteindre la plénitude parfaite, cependant lorsque la pensée se positionne dans le Fa, en cultivant et pratiquant sans cesse il atteindra à son insu le critère de la plénitude parfaite. » (« Éliminer le dernier attachement », Points essentiels pour avancer avec diligence II)
Il est du devoir de chaque élève de bien étudier. Être un bon élève est naturellement une manifestation de la validation de Dafa, mais la condition préalable est de renoncer à tout attachement humain et de suivre l’arrangement du Maître. Lorsque le cœur d’un disciple de Dafa est au bon endroit, le Maître donne le meilleur !
Juste avant les examens d’entrée à l’université, mes notes se sont rapidement améliorées et stabilisées. Pendant les examens, j’étais calme et j’ai bien travaillé. J’ai été admis dans une université importante. Ma famille a été témoin de la puissance de Dafa, et la beauté de Dafa a été montrée aux gens autour de nous.
Merci Maître !
Traduit de l’anglais