(Minghui.org) Mme Zhang, une pratiquante de Falun Dafa au Canada, appelle souvent des gens en Chine pour leur parler du Falun Dafa et dénoncer la persécution par le Parti communiste chinois (PCC) à l’encontre de cette discipline de l’esprit et du corps. Un jour de décembre dernier, elle a parlé avec Chen, un policier de la province du Shandong.
Chen a dit que de nombreuses personnes étaient mortes pendant la récente vague de COVID, famille après famille, et village après village. C’est pourquoi il a cru ce que Minghui a confirmé, à savoir que Maître Li Hongzhi, le fondateur du Falun Dafa, avait révélé que plus de 400 millions de personnes en Chine étaient mortes au cours des trois dernières années et plus de pandémie.
En plus de démissionner des organisations du PCC, Chen a décrit comment les autorités locales persécutaient les pratiquants de Falun Gong, il a aussi parlé de ceux qui sensibilisaient les gens aux atrocités du PCC. En outre, deux policières ont utilisé des mesures extrêmes pour agresser sexuellement des pratiquantes, Chen espérait que Mme Zhang et d’autres pratiquants pourraient leur dire d’arrêter de faire le mal.
Des morts, village après village
Après avoir écouté Mme Zhang parler du Falun Gong, Chen a accepté de démissionner des organisations du PCC. Lorsque Mme Zhang lui a demandé d’exhorter ses parents à démissionner du PCC, Chen a sangloté et a dit : « Ils sont déjà morts en raison de la pandémie. »
Selon Chen, ses parents vivaient à la campagne, dans l’un des dix villages du bourg. Il a dit : « Tant de gens sont morts [lors de la récente vague]. L’autre jour, j’ai vu un reportage local disant que 4500 personnes étaient mortes là-bas ces derniers jours. Cela continue comme ça tous les jours. Pouvez-vous les aider ? »
Mme Zhang a hoché la tête et a dit que ce n’était pas un problème. Elle a demandé si Chen avait les numéros de téléphone des villageois afin de pouvoir les joindre. « Nous, les Chinois, croyons au principe qui dit que “le bien sera récompensé par le bien, et le mal recevra sa rétribution”. Parce que le PCC a fait du mal à tant de personnes lors des précédentes campagnes politiques et qu’il persécute maintenant le Falun Gong, toute personne qui soutient les innocents et se tient à l’écart du PCC sera bénie », a-t-elle expliqué. En fait, de nombreuses personnes ont pu rester en sécurité en récitant « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».
« C’est formidable », a répondu Chen. « J’ai beaucoup de numéros de téléphone ici. J’espère que ces personnes sont encore en vie. » Il a ensuite lu les numéros à Mme Zhang.
Après avoir noté les numéros de téléphone, Mme Zhang a mentionné que le PCC avait toujours dissimulé les faits relatifs aux catastrophes naturelles et d’origine humaine, et que les gens devaient compter sur eux-mêmes pour rester en sécurité. Elle a raconté que lorsque la pandémie a éclaté pour la première fois, elle a pu parler à un chef de village près de l’épicentre de Wuhan. « Il m’a dit que les autorités avaient scellé les portes et les fenêtres des foyers infectés à l’aide de planches de bois clouées. En fait, la femme du chef du village était également infectée. Il a dit que si sa femme venait à mourir, le reste de la famille mourrait probablement puisqu’il leur était interdit de sortir », a poursuivi Mme Zhang.
Mme Zhang a conseillé au chef du village de réciter les phrases de bon augure « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », ces phrases lui apporteraient des bénédictions. Le chef du village a dit : « Les choses sont sans espoir maintenant et vous êtes ma dernière chance, je vais écouter tout ce que vous me direz. » Lui, sa femme et leurs enfants ont immédiatement accepté de démissionner des organisations du PCC. Comme sa femme était trop malade pour réciter les phrases, tous les autres se sont placés devant elle et ont récité les phrases pendant plus de vingt minutes. Elle était en larmes et a bientôt été capable de réciter les phrases elle aussi. Un grand nombre d’habitants du village ont survécu de cette façon.
Mme Zhang a dit à Chen : « Nous devons dire à plus de gens, comme ceux de ton village, comment rester en sécurité en récitant les phrases et en démissionnant des organisations du PCC. »
« Bien sûr, je vais trouver d’autres numéros de téléphone », a répondu Chen.
Mme Zhang a ensuite lu le nouvel article de M. Li Hongzhi « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ». Elle a également mentionné que, selon les informations de Minghui, M. Li avait révélé que plus de 400 millions de personnes étaient mortes en Chine depuis le début de la pandémie, il y a plus de trois ans.
« Je fais confiance à ce nombre. Il suffit de regarder la situation dans ma ville natale pour savoir que c’est vrai », a déclaré Chen.
Des pratiquantes de Falun Dafa victimes d’abus sexuels
Au cours de la conversation, Mme Zhang a déclaré que de nombreux pratiquants de Falun Dafa en Chine avaient subi des persécutions brutales pour avoir défendu leur croyance, et que certains avaient même été victimes de prélèvements d’organes. Chen a dit qu’il savait que les pratiquants de Falun Dafa sauvaient des gens et qu’il aimerait signaler les crimes qu’il connaissait dont les pratiquants avaient été victimes. Il a déclaré : « Nous avons ici deux femmes policières qui sont de véritables perverses et qui ont brutalement torturé des pratiquantes de Falun Dafa. Je vais vous donner leurs numéros. S’il vous plaît, dites-leur de cesser. » Il a ajouté que plus de dix pratiquants avaient été arrêtés la veille.
« Ces deux policières sont cruelles et elles sont encore pires que les policiers masculins », a déclaré Chen. « Par exemple, elles ont déshabillé des pratiquantes, les ont menottées aux barreaux des fenêtres, puis leur ont administré des décharges électriques sur leurs seins et dans leur vagin.
Il y avait aussi d’autres types de torture. « Elles faisaient allonger des pratiquantes sur un lit en position de l’aigle déployé, les quatre membres attachés aux quatre coins du lit. Elles ont ensuite inséré des vibrateurs électriques (de plus de 10 cm de long et de 2 cm de diamètre) dans leur vagin et les ont torturées pendant des heures... » Chen a poursuivi : « Il est difficile d’imaginer que ces policières sont des femmes et qu’elles ont pourtant été capables de faire de telles choses. S’il vous plaît, dites-leur de cesser, je vous donnerai leurs coordonnées ainsi que les coordonnées d’autres personnes. Je ne peux pas leur demander moi-même de cesser... Mais j’espère que ces pratiquantes pourront être libérées et sauver d’autres personnes... »
Un sympathisant du Falun Dafa envoyé dans un hôpital psychiatrique
Chen a également raconté comment un villageois a été persécuté pour avoir aidé des gens. Gang (pseudonyme) n’est pas un pratiquant de Falun Dafa. Après avoir vu que tant de personnes étaient mortes de la pandémie, il a fait ce que font les pratiquants de Falun Dafa, en collant des affiches dénonçant les crimes du PCC et en exhortant les gens à démissionner des organisations du PCC.
Chen a déclaré : « J’ai entendu dire que Gang a été arrêté, envoyé dans un hôpital psychiatrique et qu’on lui a injecté des substances inconnues. En plus de cela, les gardiens l’ont également torturé utilisant plus de dix méthodes différentes. Ils l’ont attaché, battu, presque tout ce que des gardiens peuvent imaginer. Il n’a été libéré que lorsqu’il était sur le point de mourir. J’ai entendu dire qu’il était à l’article de la mort chez lui maintenant... »
De nombreuses personnes ont été impliquées dans cette affaire. « Certains villageois l’ont signalé à la police, certains policiers l’ont arrêté, tandis que certains membres du personnel de l’hôpital psychiatrique l’ont maltraité. Plus de 100 personnes étaient impliquées dans ce crime », a expliqué Chen. « Il voulait sauver les villageois, mais ils se sont retournés contre lui et l’ont signalé. Quelle société ! »
L’histoire d’un directeur d’un poste de police
Mme Zhang a mentionné que Maître Li avait écrit :
« […] une épidémie telle que l’actuel « virus du PCC » (la pneumonie de Wuhan) survient dans un objectif précis et avec une cible précise. Elle vient pour éliminer les membres du Parti pervers et ceux qui suivent le PCC pervers. »(« Rationalité »)
Chen l’a remerciée et lui a dit qu’il lui donnerait les numéros de téléphone de quelques agents de police, en espérant qu’elle pourrait les aider à démissionner eux aussi des organisations du PCC. « Je travaille ici depuis de nombreuses années et je connais beaucoup de personnes. J’espère simplement qu’elles pourront se réveiller, afin que moins de gens meurent », a-t-il dit.
Il a également raconté l’histoire de son camarade de collège Hui. « Il est directeur d’un poste de police et a été très actif dans la persécution des pratiquants de Falun Dafa ces années. Mais il a des regrets maintenant, depuis que sa fille a reçu un diagnostic de cancer », a expliqué Chen.
Hui et sa femme n’ont eu un enfant que très tard. À un âge maternel avancé, sa femme est morte peu après la naissance du bébé. La fille de Hui, maintenant âgée de 18 ans, est hospitalisée pour un cancer. Une fois, après avoir souffert de douleurs atroces pendant toute la nuit, elle a supplié son père en pleurant : « Pourrais-tu dire à tes subordonnés de me tuer ? Je ne veux plus souffrir comme ça... »
Mme Zhang a dit qu’elle était désolée d’entendre cela. « Oui, s’il vous plaît, donnez-moi le numéro de téléphone de Hui. Je vais essayer de l’aider à ne plus faire de mauvaises actions. Cela aiderait aussi sa fille », a-t-elle poursuivi. « Tant de gens ont commis des péchés en se rangeant du côté du PCC. Se retirer du Parti les aidera beaucoup. »
Traduit de l’anglais