(Minghui.org) Je suis une personne ordinaire en Chine et je voudrais dire quelques mots à mes concitoyens chinois. La plupart d’entre nous sommes des gens modestes qui travaillons dur. Avec le recul, cependant, je pense que depuis le début, nous avons été dupés par le Parti communiste chinois (PCC). Voici pourquoi je pense cela.
Prenez conscience des mensonges
Dans les médias, en particulier à la télévision, nous entendons constamment parler de la « prospérité commune ». Mais ce n’est qu’un slogan politique. En réalité, ces fonctionnaires s’enrichissent pendant que nous travaillons dur. En fait, nous, citoyens ordinaires, sommes confrontés à de nombreuses et énormes difficultés telles que l’impossibilité financière de se loger, de se soigner, d’éduquer nos enfants et de prendre soin de nos aînés. Très souvent, toute la famille mène une vie frugale pendant des décennies et éprouve toujours des difficultés à acheter une maison. Même si nous finissons par en acheter une, nous ne pourrons la posséder que pendant quelques décennies [voir note 1]. De plus, si un membre de la famille est atteint d’une maladie grave, des décennies d’économie peuvent être réduites à néant du jour au lendemain pour payer les frais médicaux. Ne menons-nous pas une vie misérable ?!
Le confinement dû à la pandémie COVID-19 est un autre exemple. Pendant trois ans, le Parti a insisté chaque jour sur les raisons pour lesquelles la politique zéro-COVID était si cruciale et si nécessaire. Mais en décembre dernier, cette politique a été brusquement levée sans aucun avertissement ni plan de secours. De plus, le Parti a fait volte-face et a souhaité que les gens soient infectés le plus rapidement possible afin d’acquérir une immunité collective. Les médias tels que l’agence de presse Xinhua, le Quotidien du peuple et les chaînes CCTV ont rapidement suivi, remplaçant le slogan « s’engager à éliminer tout cas d’infection » par une propagande telle que « Les Chinois ne sont pas intimidés par la pandémie. Nous savons qu’il y a un danger, mais nous fonçons... »
La levée soudaine du confinement a été catastrophique. La récession économique qui en a résulté a entraîné la faillite de nombreuses entreprises et le licenciement de leurs employés. Les emplois de livraison de nourriture et de livraison express sont devenus très recherchés, attirant de nombreux titulaires d’un diplôme universitaire de premier cycle, voire d’un master.
De plus, la récente réforme des soins de santé est intervenue sans préavis et les prestations ont été considérablement réduites. Certains citoyens ont protesté, mais le gouvernement n’a pris aucune mesure. En plus de l’assurance médicale considérablement réduite, les pensions de nombreuses personnes sont également pitoyablement basses. À la campagne, certains agriculteurs comme moi ne reçoivent qu’environ 100 yuans (soit 15 euros) par mois. En revanche, les agriculteurs taïwanais reçoivent une allocation mensuelle de 7550 NT (soit 248 euros), plus l’assurance. En outre, la crise des retraites en Chine continentale signifie que les personnes qui prendront leur retraite à l’avenir risquent de ne pas recevoir de pension. Conjuguée à l’augmentation du coût de la vie, cette situation équivaut à faire bouillir lentement une grenouille, ce qui, en fin de compte, ne laisse aux citoyens chinois aucune issue.
En tant que citoyens ordinaires, nous ne pouvons pas nous comparer à ces hauts fonctionnaires qui possèdent des dizaines de logements et disposent de tellement d’argent liquide que pour le compter, on fait griller plusieurs compteuses de billets de banque [Note 2].
Ce qui est encore pire, c’est la tromperie et l’incitation à la haine. Au nom du patriotisme, ces fonctionnaires ont mobilisé les citoyens pour qu’ils se retournent contre les pays démocratiques occidentaux, notamment les États-Unis, le Japon, le Royaume-Uni et d’autres pays, en particulier lorsque ces pays critiquent les violations massives des droits de l’homme en Chine. Par conséquent, tout en étant contraints de consommer de l’huile usagée recyclée et du lait en poudre empoisonné, nous devons soutenir le PCC et le remercier de nous avoir « libérés » et de nous avoir offert une bonne vie. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que 85 % des hauts fonctionnaires du PCC possèdent un passeport étranger et que plus de 90 % de leurs petits-enfants ont une résidence permanente à l’étranger.
Rester en sécurité
Par conséquent, la chose la plus importante pour nous est de prendre soin de nous-mêmes et de rester en bonne santé et en sécurité. À mon avis, la pratique du Falun Gong est le meilleur moyen d’y parvenir. Le Falun Gong est un système de méditation basé sur cinq exercices et sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il est gratuit et bénéficie aux personnes de tous âges et de tous niveaux sociaux. Mais le PCC n’aime pas le Falun Gong et il a commencé en 1999 à persécuter ce groupe.
La Chine a une histoire de plusieurs millénaires, des valeurs et une culture traditionnelles très développées. Mais les valeurs de base du PCC, à savoir la brutalité et le mensonge, sont en contradiction avec la culture traditionnelle, y compris avec les enseignements du Falun Gong. Parce qu’ils pensent être de bons citoyens en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, un grand nombre de pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés, détenus, emprisonnés et torturés dans le cadre des efforts déployés par le PCC pour les forcer à renoncer à leur croyance.
Depuis l’Antiquité, les gens croient en l’harmonie du Ciel, de la Terre et de l’humanité. En attaquant des innocents et en détruisant la culture traditionnelle, le PCC est condamné. Toute personne associée au régime est également en danger. C’est pourquoi les pratiquants de Falun Gong informent les gens des faits et leur ont demandé de rester en sécurité en croyant à « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et en récitant ces deux phrases.
En suivant notre conscience et en rejetant le PCC, nous aurons un avenir meilleur. La vérité parle d’elle-même, mais nous devons faire un bon choix avant qu’il ne soit trop tard.
Notes de fin de texte
Note 1 : Selon le « Règlement provisoire de la République populaire de Chine concernant la cession et le transfert du droit d’utilisation des terrains appartenant à l’État dans les villes » adopté en 1990, bien que l’on puisse acheter et posséder un logement, le terrain appartient toujours au gouvernement et le propriétaire peut bénéficier jusqu’à « 70 ans à des fins résidentielles ».
Note 2 : En 2014, lorsque Wei Pengyuan, ancien directeur adjoint du département du charbon de l’Administration nationale de l’énergie, a fait l’objet d’une enquête, la police a trouvé à son domicile environ 200 millions de yuans en espèces. Il a fallu seize compteuses de billets pour compter l'argent liquide et quatre d’entre elles ont grillé.
Traduit de l’anglais