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Le parcours de cultivation d’une présidente de tribunal

18 avril 2023 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Depuis que j’ai commencé à cultiver le Falun Dafa, j’essaie de vivre selon le principe de Dafa, Authenticité-Bienveillance-Tolérance, que ce soit au travail, à la maison ou auprès d’autres pratiquants.

Chaque fois que je voyais les signes d’un conflit potentiel, je suivais strictement les exigences du Fa et je pouvais ainsi éviter le conflit, et m’éloigner de plus grandes tribulations. Je regardais à l’intérieur, et je m’observais par la suite pour identifier mes attachements afin de pouvoir les éliminer. Ce parcours d’amélioration constante et d’élévation par la cultivation m’a apporté beaucoup de bonheur et de fierté.

Agir avec droiture au travail

Je suis présidente de tribunal de district. Même si je suis fonctionnaire de la branche judiciaire, je n’ai jamais essayé de cacher le fait que je pratiquais le Falun Dafa, malgré la persécution en cours. J’ai demandé au gouvernement central de faire valoir mes droits à la liberté de religion et j’ai parlé de Dafa à mon entourage. J’ai clarifié la vérité concernant Dafa à mes supérieurs, à mes collègues, à des avocats et même à des plaideurs. J’ai aidé beaucoup de ces personnes à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. Tout ce que je fais, je le fais avec droiture. J’ai non seulement pu mener une carrière fructueuse, mais j’ai également été promue à des postes plus élevés dans le système judiciaire.

Un jour, mon mari est parti en voyage d’affaires dans la province voisine. Alors qu’il prenait un repas avec un avocat de la province, ce dernier lui a dit : « J’ai entendu parler de la présidente de tribunal de votre district. Elle parle du Falun Dafa avant chaque procès et dit aux gens qu’ils sont injustement persécutés par le gouvernement. Elle explique à tout le monde comment le PCC a créé des mensonges pour calomnier la méthode, y compris aux plaideurs et aux avocats. Elle est tellement téméraire. N’a-t-elle pas peur d’être dénoncée ? »

L’avocat a demandé à mon mari s’il connaissait cette juge et mon mari n’a rien dit. Au retour du voyage, il m’en a parlé et a semblé contrarié : « Même les gens du Shanxi sont au courant de ce que tu fais. » Puis il a fait une pause et a dit : « Tu dis à tout le monde à quel point le PCC est malveillant, alors pourquoi la police ne s’en prend-elle pas à toi ? » Je lui ai répondu que personne ne pouvait me toucher parce que je faisais la bonne chose.

Un haut fonctionnaire du tribunal m’a appelée un jour alors que j’étais en pleine audience. Il m’a dit qu’un plaideur m’avait signalée comme pratiquante de Falun Gong (également appelé Falun Dafa) au secrétaire du Parti du district lors de sa visite de routine. Le responsable du tribunal a exigé que j’aille le voir immédiatement.

Je lui ai dit : « Je suis la juge résidente du tribunal et je suis en pleine audience. Recevoir le secrétaire du Parti et traiter les plaintes sont des tâches qui incombent aux fonctionnaires du tribunal, je n’ai pas à m’en mêler ». J’ai raccroché et j’ai ensuite parlé à toutes les personnes présentes dans la salle d’audience, y compris plus de 20 personnes assistant à l’audience, du Falun Dafa et des raisons pour lesquelles le PCC a lancé la persécution. Les plaideurs m’ont ensuite fait un signe de pouce en l’air.

J’ai appris plus tard qu’un fonctionnaire du tribunal avait incité le plaideur à me signaler ce jour-là en représailles d’un désaccord que nous avions eu dans le passé. Toutefois, l’incident n’a débouché sur rien et je n’ai pas subi de conséquences.

Je traitais plus de 300 affaires par an et je réglais plus de 90 % d’entre elles. De tous les juges du tribunal du district, c’est moi qui recevais le plus d’éloges et de primes. Toutes les affaires difficiles du district étaient transférées à mon tribunal. La plupart des superviseurs me respectaient et m’invitaient souvent à déjeuner.

Lors d’une réunion au niveau du district, un fonctionnaire a déclaré ouvertement : « Si tout le monde pouvait être comme la pratiquante du Falun Dafa de notre tribunal de district, nous n’aurions qu’à nous asseoir, nous détendre et boire du thé tous les jours. » Une fois, un fonctionnaire du tribunal m’a emmenée à une réunion et sa collègue a été stupéfaite d’apprendre que j’étais une pratiquante de Falun Dafa. Voyant à quel point le fonctionnaire était respectueux à mon égard, elle a dit : « Je vois que la pratiquante de Falun Dafa bénéficie d’un traitement spécial ici. Dans notre district, les pratiquants du Falun Gong n’osent même pas lever la tête, et sont toujours harcelés par leurs supérieurs. »

Au cours de la réunion, le secrétaire adjoint du district m’a demandé : « Comment se fait-il que vos plaideurs et même vos superviseurs aient peur de vous ? » Je n’y avais jamais pensé auparavant, mais j’ai trouvé une réponse intelligente sur-le-champ : « Hé bien, vous êtes le secrétaire du Parti. Si quelqu’un vous demande de l’aide pour quelque chose, la première chose à laquelle vous pensez est probablement de savoir si cela va vous impliquer ou non. Ensuite, vous pensez à ce que cela vous apportera, sinon vous ne l’aiderez pas. Vous vous assurez que cela vous sera bénéfique et que cela mérite votre temps, sinon vous ne vous impliquerez pas ».

J’ai poursuivi : « Mais je suis différente : je cultive Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Mon objectif est de traiter chaque affaire dans le strict respect de la loi. Je ne me préoccupe pas de savoir si quelqu’un a le pouvoir de me faire renvoyer ou si ma tête sera toujours reliée à mon corps. Je ne me préoccupe même pas de mon propre intérêt. » Le secrétaire adjoint est resté sans voix et s’est éloigné en silence. Un autre fonctionnaire m’a dit : « Tu sais pourquoi tout le monde a peur de toi ? C’est parce que tu dis toujours la vérité. »

Une amie m’a dit un jour : « Il n’est pas difficile pour une personne de faire une bonne action, mais il est difficile de toujours faire de bonnes actions. Tu as choisi une voie difficile. » Je lui ai répondu : « Je ne considère pas cela comme faire bonne action. Je fais seulement ce que je suis censée faire. En tant que pratiquante d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je ne ferais pas de mal aux autres pour mon propre bénéfice. Mais cela ne compte guère comme une bonne action. »

Je dis souvent à mes plaideurs : « Vous n’avez pas à me remercier si vous gagnez le procès, parce que vous êtes censés gagner. Ne me maudissez pas non plus si vous perdez, car vous ne pouvez pas prouver votre innocence. Je ne fais que prendre une décision sur la base des preuves que vous me présentez, et je fais de mon mieux pour être juste. »

Un avocat m’a dit un jour en plaisantant : « Votre Honneur, si vous expliquez si clairement les articles pertinents pour l’affaire, que nous reste-t-il à faire ? » Mon supérieur m’a également demandé : « Si vous réglez tous les litiges au tribunal, que reste-t-il à faire à la cour d’appel ? » Ma greffière m’a dit : « Votre Honneur, tout ce que vous voulez, c’est avoir une bonne réputation. Mais en quoi est-ce plus pratique que 5000 yuans ? » Elle m’a aussi dit une fois : « Vous devriez vivre dans un pays démocratique si vous voulez un État de droit. »

Cultiver la tolérance à la maison

Dans le passé, j’étais colérique et je possédais une personnalité forte. Si mon mari osait lancer une tasse, je lançais un thermos. Une fois, j’ai jeté le téléviseur de la console multimédia juste parce qu’il avait dit quelque chose que je n’aimais pas. Cependant, après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, je me suis conformée aux critères élevés établis par le Maître et j’ai essayé de ne pas riposter lorsqu’on me réprimandait ou m’injuriait.

Mon mari regardait une série télévisée dans laquelle une femme accédait à des postes élevés en utilisant les hommes de sa vie. Il a fait remarquer qu’elle était très habile, mais je n’étais pas d’accord et j’ai dit qu’elle était moralement corrompue. Mécontent d’entendre cela, mon mari a pris le pot de bonbons sur la table basse et me l’a lancé.

Pour éviter un conflit direct avec lui, je me suis levée et j’ai commencé à m’éloigner sans dire un mot. Mais il s’est jeté sur moi, m’a frappé au visage et m’a agrippée à la gorge. J’ai eu des bleus et des coupures partout et j’ai complètement perdu la voix. La vue de mon visage a choqué mon fils lorsqu’il est rentré de l’école. Craignant qu’il ne m’arrive à nouveau quelque chose, il m’a supplié de partir avec lui le lendemain matin à l’école. Je lui ai dit : « Ne t’inquiète pas. Tout ira bien pour maman. »

Le Maître a dit:

« Alors quand vous rencontrez des conflits, je dis que c’est précisément pour transformer votre propre matière noire en matière blanche, pour la transformer en De. » (Quatrième leçon, Zhuan Falun)

J’ai pu rester calme parce que je connaissais les principes de Dafa. Je n’étais pas en colère et je ne considérais pas ce que je vivais comme une souffrance. Mon mari, en revanche, était furieux et amer. En voyant son état, je ne savais pas quoi dire.

Pour pouvoir m’occuper de mes parents, je suis restée avec eux en quarantaine pendant les mois de confinement en raison de la COVID. Mon mari a dû s’occuper seul de notre maison et de notre fils. Le jour où je suis rentrée chez moi après la levée des restrictions, j’ai été surprise de trouver des restes de nourriture sous l’arbre dans notre jardin, un seau d’eau sale dans l’évier et notre maison en désordre et sale. Mon mari est une personne très ordonnée et aime généralement garder les choses propres.

J’ai enlevé ma veste en entrant et je suis allée directement dans la cuisine pour préparer le dîner. Alors que j’ouvrais le couvercle d’une casserole, j’ai entendu mon mari crier depuis la chambre : « Ne touche à rien ! » Quelque chose m’a semblé anormal. J’ai remis le couvercle sur la casserole et je suis sortie rapidement de la cuisine. Je n’allais pas me disputer avec lui.

Mon mari a préparé son dîner et a mangé. Après qu’il est retourné dans la chambre, j’ai nettoyé la cuisine, vidé le seau d’eau sale et je l’ai lavé. J’ai ensuite commencé à préparer les ingrédients pour faire des gâteaux de lune, les préférés de mon mari. Sa mauvaise attitude ne me dérangeait pas – je savais qu’en raison de mon absence ces derniers mois, mon fils et lui n’avaient probablement pas bien mangé. Je voulais me rattraper en préparant ses gâteaux de lune préférés.

Au bout d’un moment, il est sorti de la chambre et semblait de bien meilleure humeur. Il a dit joyeusement : « Je vais aller chercher du poivre en grains. » J’ai répondu : « Très bien. Je prépare quelques ingrédients pour faire des gâteaux de lune. » Une dispute imminente a été évitée parce que j’ai fait preuve de considération à son égard.

Je suis si reconnaissante envers le Maître de m’avoir sauvée de façon si consciencieuse. Merci au Maître de m’avoir sortie de l’enfer et de m’avoir poussée vers l’avant et vers le haut sur mon chemin de cultivation pour transcender ce monde séculier et toutes ses souffrances.

Le Maître a dit :

« Cultiver jusqu’à ne pas laisser un seul attachement,

L’amertume passe, la douceur arrive, c’est le bonheur véritable. »

(« Cultiver dans l’égarement », Hong Yin)

Je me réjouis vraiment de mon parcours de cultivation. Si je n’avais pas pratiqué le Falun Dafa, mon mari et moi étant tous deux si têtus, on peut se demander si notre famille serait encore intacte, ou même si je serais encore en vie. Tout cela est grâce au Maître !

Coopérer avec des compagnons de cultivation

J’ai rencontré une jeune pratiquante qui m’a dit qu’elle avait passé beaucoup de temps avec un pratiquant masculin. Elle m’a dit que dans son rêve, il lui avait été révélé qu’elle et ce pratiquant étaient destinés à se marier. Trop timide pour le dire directement au pratiquant, elle a fait part de son rêve à une pratiquante âgée. La pratiquante âgée a arrangé une rencontre entre elle et le pratiquant pour « réaliser son souhait ». Le pratiquant lui avait rendu visite chaque semaine pour « partager son expérience et s’améliorer ensemble ».

En apprenant cela, je me suis inquiétée pour eux deux. J’ai dit à la jeune pratiquante : « Ce que tu fais n’est pas en accord avec le Fa. Arrête de le voir, s’il te plaît. » Après avoir longuement réfléchi, j’ai rencontré le pratiquant masculin et lui ai parlé, par souci de responsabilité envers notre environnement de cultivation local. Je lui ai dit : « La jeune pratiquante a obtenu le Fa il y a peu de temps et a encore beaucoup d’attachements et de conceptions humaines. Elle est confuse entre l’amitié et l’amour. S’il te plaît, arrête de la voir à partir de maintenant. » Il a hésité : « Mais je veux l’aider à s’améliorer. » Je l’ai rassuré : « Je vais prendre les choses en main à partir de maintenant. Je vais partager mes expériences avec elle et l’aider à s’améliorer. Tu n’as pas à t’inquiéter. » Il a accepté. La jeune pratiquante est maintenant ferme dans sa cultivation.

Un jour, alors qu’il pleuvait, j’ai reçu un appel téléphonique d’une pratiquante âgée. Elle pleurait au téléphone et demandait à me voir immédiatement. J’étais en ville pour faire des courses et je me trouvais à près de 50 km de chez elle, mais j’ai tout laissé tomber et je me suis immédiatement dirigée vers son domicile. Lorsque je suis arrivée, elle m’a dit qu’elle s’était disputée avec une autre pratiquante.

Tout a commencé lorsque j’ai donné 640 yuans à une autre pratiquante pour qu’elle achète un lecteur MP3. L’autre pratiquante a demandé à la pratiquante âgée de l’acheter, mais n’a pas voulu la payer quand elle l’a fait, disant qu’elle l’avait déjà payée. Elles se sont disputées. La pratiquante âgée était très contrariée et voulait clarifier les choses avec moi. Après avoir appris ce qui s’était passé, j’ai dit : « Ne vous inquiétez pas. Je vous paierai les 640 yuans. Ne demandez plus l’argent à l’autre pratiquante. » Le problème est résolu. Aujourd’hui, elles étudient toujours le Fa ensemble et collaborent pour clarifier la vérité, comme à l’accoutumée.

Une pratiquante et moi-même sommes passées par une petite ville et avons vu une grande foule rassemblée au marché de producteurs. Nous nous sommes garées sur le bord de la route et avons commencé à distribuer des affiches de Dafa et à clarifier la vérité aux gens du marché. La pratiquante a tendu une affiche à un policier, mais ce dernier l’a agrippée et lui a dit : « Comment osez-vous distribuer ces affiches ? »

Je marchais dans la direction opposée à ce moment-là, mais j’ai fait demi-tour dès que je l’ai entendue. J’ai dit à l’agent : « S’il vous plaît, laissez-la partir. Je vais rester avec vous. » Il m’a répondu : « Ça n’a rien à voir avec vous. Partez. » J’ai plaidé : « Je suis aussi une pratiquante de Falun Dafa. Nous sommes de bonnes personnes. S’il vous plaît, laissez-la partir et je resterai. »

L’agent ne voulait toujours pas laisser partir la pratiquante, alors je l’ai agrippé et j’ai dit à la pratiquante de courir. Mais elle n’est pas allée bien loin avant qu’un autre policier et le chef de la police locale ne l’arrêtent et ne l’emmènent au poste de police. Je les ai suivis et j’ai refusé de quitter lorsque le chef de la police me l’a demandé. La pratiquante m’a dit plus tard que le chef lui avait dit : « Vous n’êtes pas aussi courageuse que l’autre pratiquante de Falun Gong ». Elle a admis qu’elle pratiquait le Falun Gong, mais vous, vous voulez juste fuir. »

Une pratiquante de ma ville a été arrêtée et emmenée au département de police du district. Pour demander sa libération, j’ai appelé le chef de la police et lui ai expliqué la vérité. Lorsque j’ai demandé à voir la pratiquante, le chef m’a dit : « Ne venez pas. Attendez que je vous appelle. » Dans l’après-midi, il m’a appelée et m’a dit d’aller chercher la pratiquante au poste. Ma sœur et moi nous y sommes rendues, et dès que nous nous sommes arrêtées devant la porte, plusieurs policiers sont venus fouiller ma voiture.

Ma sœur m’a chuchoté : « Vite ! Cours ! J’ai répondu : « Pourquoi ? Je ne vais pas courir. » Les policiers m’ont confisqué quelques biens et mes clés de voiture, puis m’ont emmenée au poste de police. En entrant dans le bâtiment, j’ai dit à voix haute : « Où allons-nous ? Au paradis ou en enfer ? » Les jeunes policiers ont été choqués par mes paroles et n’ont pas su comment réagir. Je me suis dit : « De toute façon, ils ne me laisseraient pas partir, alors pourquoi ne pas leur dire la vérité et les sauver ? Au bout d’un moment, le chef est sorti avec la pratiquante qui avait été arrêtée et a dit : « Je ne peux pas vous rendre les objets qu’ils ont trouvés dans votre voiture, mais voici vos clés. Vous pouvez partir maintenant. »

S’améliorer dans la cultivation de Dafa

La plupart des gens me considéraient comme une imbécile avant que je ne cultive dans Dafa. J’ai tenu tête à mon supérieur au travail et je n’ai jamais compromis mes principes. Mes amis me disaient que je devais « reconnaître la tendance actuelle ». Mon père me traitait d’idiote parce que je refusais de corrompre des fonctionnaires pour obtenir un poste plus élevé. Il fondait de grands espoirs en moi, car j’étais la seule diplômée de l’université parmi mes frères et sœurs.

L’opinion que tout le monde avait de moi a changé après que j’ai commencé à cultiver Dafa. Aujourd’hui, tout le monde pense que je suis intelligente et compétente. Je me débrouille bien avec mes amis et ma famille, et mes supérieurs au travail ainsi que les fonctionnaires du district me respectent et m’apprécient tous.

Mon supérieur m’a dit : « Vous gérez les choses avec audace tout en faisant attention aux détails, avec courage et un plan bien réfléchi. » Pour mon collègue, « les pratiquants du Falun Dafa ont la faveur de tous les hauts placés ». Une personne haut placée a dit un jour à ma greffière : « Je n’ai pas peur du secrétaire du Parti du district ni de votre président, mais j’ai peur de votre présidente du tribunal. » Un avocat m’a dit : « Vous êtes un personnage légendaire. » Un compagnon de cultivation m’a dit : « Tu gères les choses avec sagesse et rien n’est difficile pour toi. » Mon fils m’a dit : « Maman, il n’y a que toi pour survivre et faire un aussi bon travail à ton poste dans le système d’application de la loi et dans une société aussi complexe. Je lui ai répondu : « Merci. L’essentiel est de bien se cultiver. Lorsque tu ne seras plus attaché à ton propre intérêt, tu t’en sortiras bien aussi. »

En fait, je sais généralement tout de suite comment faire face aux situations qui se présentent, sans avoir à réfléchir ou à planifier à l’avance. Tout cela est dû à la sagesse et à la compétence que j’ai acquises en cultivant dans Dafa – elles me permettent de m’élever au-dessus et au-delà de ce monde chaotique, complexe, fortement matérialiste et dépourvu de morale. Tout cela, c’est grâce au Maître.

Traduit de l’anglais