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L’agent de la Division de la sécurité intérieure a décidé de nous laisser partir

24 mai 2023 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Des agents de la Division de la sécurité intérieure du district et du poste de police local ont fait irruption au domicile de deux pratiquants. Ils les ont arrêtés, ont fouillé leur domicile et ont menacé les membres de leur famille. Les membres de la famille nous ont dit que ces pratiquants étaient allés distribuer des informations sur le Falun Dafa et qu’ils avaient été enregistrés par la caméra de sécurité du domicile d’une personne, puis par les caméras de rue et qu’ils seraient détenus pendant dix jours. Nous avons appris que la Division de la sécurité intérieure et le poste de police avaient de nouveaux responsables. Les membres des familles des deux pratiquants avaient de forts griefs contre les deux pratiquants parce qu’ils étaient menacés par la police et qu’ils craignaient que leurs enfants ne soient impliqués.

Les pratiquants locaux ont discuté de ce que nous devions faire. Nous nous sommes rappelés des paroles du Maître :

« Là où on rencontre une difficulté on ne peut pas avancer en la contournant, là où il y a un problème il est nécessaire que vous alliez le résoudre, il est nécessaire que vous alliez clarifier la vérité, vous devez nécessairement retenir ce point ! Dès qu’un problème apparaît quelque part, c’est là où il est nécessaire d’aller clarifier la vérité. Vous ne devez pas l’éviter, aussi perverse que soit sa manifestation. » (« Enseignement du Fa et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain », Enseignement du Fa dans les conférences III)

Nous connaissons le principe du Fa et savions ce qu’il fallait faire. Hui, Ying et moi-même nous rendions au poste de police et clarifions la vérité sur la persécution à la police, tandis que les autres pratiquants attendaient à l’extérieur et émettaient la pensée droite.

C’était un mardi. Les pratiquants se sont rendus au poste de police vers 8 heures du matin. J’ai garé ma moto devant un magasin de petits-déjeuners. J’avais l’intention de demander au propriétaire du magasin les noms du nouveau directeur du poste de police et de l’instructeur politique. J’ai vu un jeune policier sortir du poste et se diriger vers le magasin. Je lui ai demandé poliment : « Votre directeur est-il là ? » Il m’a regardé et m’a demandé pourquoi je cherchais son directeur et si je pratiquais le Falun Dafa. Je lui ai dit que je pratiquais le Falun Dafa. Il a alors crié : « Entrez. Y a-t-il quelqu’un d’autre ? Nous vous arrêterons tous. »

J’ai compris d’après ce qu’il a dit que des pratiquants étaient déjà à l’intérieur du poste de police. J’ai demandé silencieusement au Maître de me renforcer et je suis entré dans le poste de police.

J’ai vu Hui assise sur le canapé et un policier d’une quarantaine d’années qui lisait une lettre que Hui lui avait donnée. Je suis entré et j’ai parlé à Hui. Le policier a crié : « Êtes-vous un pratiquant ? Pourquoi êtes-vous ici ? » Je lui ai dit que nous étions venus leur parler. Il est entré dans une colère noire et a crié : « Vous osez venir au poste de police pour parler du Falun Dafa ? Vous ne rentrerez pas chez vous aujourd’hui ! »

Le policier que j’avais vu au restaurant est entré dans la pièce. Il a dit : « Des gens de la Division de la sécurité intérieure arrivent. Ils vont vous mettre en prison. »

Je n’ai pas bougé. Hui est restée assise calmement. Je savais qu’elle émettait la pensée droite. Je leur ai souri et j’ai dit : « Vous êtes tous les deux des gens gentils et justes. Vous ne ferez pas cela. »

Un policier est entré avec une mallette. Quand il m’a regardé, j’ai dit : « Je crois que je vous connais. » Il m’a répondu : « Vous me connaissez ? Vous êtes.... » Il a dit mon nom. J’ai dit oui. Il m’a alors dit : « Je ne t’ai pas vu depuis plusieurs années. Tu avais l’air plus jeune. Tu dois me détester beaucoup. » J’ai répondu : « Vous ne comprenez donc toujours pas le Falun Dafa et la raison pour laquelle les pratiquants continuent à le pratiquer. »

Il y a plusieurs années, j’ai été dénoncé à la police lorsque j’ai parlé du Falun Dafa à des gens. Cet agent avait rejoint d’autres policiers et m’avait arrêté. J’ai été incarcéré dans un centre de détention pendant six mois, puis condamné à deux ans de prison. Cela m’a causé un grand préjudice, ainsi qu’à ma famille.

Il est maintenant instructeur politique à la Division de la sécurité intérieure. Ying l’a également salué. Il a rencontré Hui et Ying lorsqu’elles sont allées au poste pour lui clarifier la vérité en me portant secours.

Il a ordonné au jeune policier de sortir la caméra vidéo et de nous enregistrer. Ying s’est levée et a essayé de l’arrêter. Le policier a pris la caméra et a commencé à enregistrer. Je me suis rendu compte qu’ils allaient de toute façon prendre des vidéos de nous, alors j’ai dit : « Vous pouvez nous enregistrer parce que nous sommes venus ici de notre plein gré. Assurez-vous de vous enregistrer et d’enregistrer votre voix. » Ils m’ont demandé pourquoi. J’ai répondu : « C’est la preuve que vous êtes impliqués dans la persécution des pratiquants de Falun Dafa. »

Il a dit : « Le PCC vous traite si bien. Le PCC vous donne de l’argent et pourtant vous êtes toujours contre lui. Je ne veux pas vous arrêter. Mais vous êtes venu ici vous-même. Nous vous condamnerons directement et vos enfants seront impliqués. Vous (il a désigné Hui) avez fait du tort à votre fils. Je peux le renvoyer immédiatement. » Il a demandé au jeune policier d’imprimer nos cartes d’identité. Il a ensuite dit : « Ne pratiquez-vous pas Authenticité-Bienveillance-Tolérance ? Je vais vous tester pour savoir si vous êtes sincères aujourd’hui. Dites-nous l’adresse de votre domicile. Si vous ne le faites pas, c’est que vous n’êtes pas sincères. » Nous n’avons pas coopéré avec eux.

À ce moment-là, le téléphone portable de l’instructeur politique a sonné. Il est sorti pour parler au téléphone. Le jeune policier m’a dit que j’avais fait du mal non seulement à ma fille, mais aussi à mes petits-enfants. Je lui ai dit que je ne reconnaissais pas ce qu’ils disaient. J’ai supplié le Maître de me renforcer et j’ai émis la pensée droite : « Dissoudre complètement les êtres et les éléments négatifs qui les empêchent d’écouter la vérité et qui les manipulent pour persécuter les pratiquants. Ne les laissez pas commettre des crimes contre le Falun Dafa. » Je savais que d’autres pratiquants émettaient également la pensée droite.

L’instructeur politique a fini de parler au téléphone et est revenu. Je leur ai souri et j’ai dit calmement : « Vous êtes des gens gentils avec des pensées justes. Vous êtes des diplômés universitaires et avez la capacité de discerner entre le bien et le mal, le bon et le mauvais. Nous avons le droit légal de venir ici pour vous dire la vérité. Nous n’enfreignons pas la loi. Vous êtes la police de la Chine, vous n’êtes pas la police du PCC. Vous êtes financés par l’argent des contribuables, pas par l’argent du PCC. Il n’y a ni haine ni ressentiment entre nous. Je sais que vous ne nous voulez pas de mal. Nous respectons le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et nous sommes des personnes bonnes et gentilles. Nous disons la vérité aux gens pour qu’ils puissent rester en sécurité. Nous espérons que vous resterez tous en sécurité. »

Hui leur a dit : « Lorsque Jiang Zemin a lancé cette persécution, les membres des départements judiciaires et de la police ont reçu l’ordre de commettre des crimes. »

L’attitude de l’instructeur politique n’était plus aussi féroce. Il a dit : « Vous dites que le Falun Dafa est bon. Je vais chercher dix personnes dans la rue. Si six d’entre elles disent que le Falun Dafa est bon, je ne vous arrêterai pas lorsque vous sortirez pour distribuer des documents. Si six d’entre elles disent que le Falun Gong n’est pas bon, je vous arrêterai. » Je lui ai dit que c’était injuste parce que les gens ne connaissaient pas la vérité sur la persécution. J’ai dit : « Mais il y a une méthode qui peut prouver à quel point le Falun Dafa est merveilleux. Vous pouvez me suivre au tribunal. Le tribunal accepte des dizaines de milliers d’affaires criminelles chaque année. Vous pouvez vérifier si des pratiquants ont commis des crimes. »

Son expression s’est progressivement adoucie. Il a rangé les photos d’identité et la lettre de Hui dans son porte-documents et a dit : « Vous pouvez partir. J’ai d’autres choses à faire. »

Je lui ai dit : « Ne soyez pas impliqué dans la persécution du Falun Gong. » Il a souri et a dit : « Est-ce que je vous ai persécuté ? »

Grâce à la protection compatissante du Maître et à la coopération des autres pratiquants, la persécution apparemment vicieuse a été dissoute. Même si nous n’avons pas parlé à la police de la nature perverse du PCC et ne lui avons pas demandé de se retirer du PCC, le mal a été dissuadé. La police en est venue à comprendre un peu mieux ce que sont les pratiquants. Nous leur expliquerons davantage la vérité à l’avenir.

Merci Maître pour votre protection compatissante !

Traduit de l’anglais