(Minghui.org) À la fin des années 1980, Jia, une parente éloignée, a subi un choc anaphylactique après avoir reçu une injection de pénicilline dans une clinique locale. Le technicien n’a pas pu la réanimer et l’a transférée dans un grand hôpital. À ce moment-là, le meilleur moment pour la réanimer était passé. Après un mois passé dans une unité de soins intensifs, elle a survécu, mais se trouvait dans un état végétatif.
Bien des années plus tard, un vieil ami de Jia l’a aperçue dans la rue. Il n’en croyait pas ses yeux. Il lui a dit : « N’es-tu pas Jia ? Tu es encore en vie ! »
Comme nous le savons, lorsque les cellules cérébrales sont privées d’oxygène, comme c’est le cas lors d’une anaphylaxie, les dommages sont irréversibles. Il n’y a pas de remède connu. La guérison de Jia était un véritable miracle. Comment cela avait-il pu se produire ?
Lorsque Jia était à l’hôpital, j’étais collégien. Comme j’habitais près de l’hôpital, j’apportais des repas au fils et à la fille de Jia, qui restaient à l’hôpital pour être avec leur mère pendant leurs vacances d’été. Ils étaient encore plus jeunes que moi. Cela me faisait de la peine de penser à ce qu’ils feraient si leur mère ne reprenait jamais connaissance.
Après mes vacances d’été, j’ai cessé de me rendre à l’hôpital. J’ai entendu dire que Jia avait été soignée dans le service général pendant longtemps, mais que son état ne s’était jamais amélioré. Jia n’avait pas d’assurance médicale. Sa famille avait dépensé toutes ses économies pour payer ses soins, et ses parents et amis avaient aussi contribué à les aider. Finalement, ils avaient dû la ramener chez elle.
Le soir du Nouvel An, ma famille et moi sommes allés voir Jia. Elle était allongée dans son lit, les yeux ouverts, immobile et osseuse. Toute la famille était malheureuse.
Avance rapide jusqu’aux années 1990. Lorsque le Falun Dafa s’est rapidement répandu en Chine, son mari a adopté cette pratique ancestrale du corps et de l’esprit. Il faisait souvent écouter à sa femme les cassettes des conférences de Maître Li (le fondateur du Falun Dafa), espérant que cela l’aiderait.
Lorsque j’ai revu Jia en 2006, elle était en fauteuil roulant. Elle était toujours maigre, mais elle pouvait émettre des sons et faire des gestes avec les mains. C’était une amélioration incroyable.
Dix ans plus tard, en 2016, j’ai revu par hasard le mari de Jia et je lui ai demandé comment allait Jia. Il m’a emmené chez lui pour la voir. Lorsque la porte s’est ouverte, j’ai été bouleversé de voir Jia assise sur son lit en position du lotus, écoutant la cassette des enseignements du Maître. Son teint était clair et rosé.
Elle a souri en me voyant. Son mari a dit : « Regarde qui est là. » Je ne m’attendais pas à ce que Jia se souvienne encore de moi, mais elle a prononcé mon nom sans réfléchir. Je l’ai entendu clairement, même si sa prononciation n’était pas aussi claire qu’avant. J’ai été très surpris.
Je lui ai demandé si elle pouvait se lever. Elle s’est levée lentement, s’est tenue à la table à côté d’elle et a fait quelques pas. Son mari m’a dit que cela faisait plusieurs années qu’elle pouvait marcher ainsi et qu’il lui arrivait de s’accrocher à quelque chose et de marcher jusqu’à la fenêtre.
La famille, les amis et les proches de Jia ont tous été témoins de la guérison de Jia et du pouvoir miraculeux de guérison du Falun Dafa. Ils ne croient pas à la désinformation et à la propagande calomnieuse du Parti communiste chinois. J’espère que de plus en plus de gens sauront à quel point le Falun Dafa est merveilleux et qu’ils seront eux aussi bénis.
Traduit de l’anglais