(Minghui.org) Du 21 au 27 mai 2023, la Korean Association of Ethical Organ Transplants (KAEOT, Ndt : Association coréenne pour la transplantation éthique d’organes) a organisé une exposition d’affiches au Museum d’Art du Métro de Séoul, dans le centre de Séoul. L’exposition vise à dénoncer le crime des prélèvements forcés d’organes commis par le Parti communiste chinois (PCC) dont les pratiquants de Falun Dafa et d’autres prisonniers d’opinion sont les victimes. L’exposition a attiré des visiteurs locaux ainsi que des touristes.
Du 21 au 27 mai 2023, l’Association coréenne de transplantation éthique d’organes a présenté l’exposition internationale sur la vie, les droits de l’homme et les prélèvements forcés d’organes au Museum d’Art du Métro de Séoul, dans la station Gyeongbokgung, à Séoul.
Le Museum d’Art du Métro de Séoul est situé à l’intérieur de la station Gyeongbokgung. Comme elle est entourée de bureaux du gouvernement et d’attractions touristiques telles que le palais de Gyeongbokgung, la place Gwanghwamun et la Maison Bleue, environ 50 000 personnes, touristes et locaux, y passent chaque jour. Le musée se trouve au niveau 1 du sous-sol de la station de métro Gyeongbokgung.
Tous les jours pendant l’exposition, les organisateurs de l’exposition ont projeté « Human Harvest » [Prélèvements humains], un documentaire sur les prélèvements illégaux d’organes en Chine, afin que les visiteurs puissent mieux comprendre la situation au sujet des prélèvements forcés d’organes commis par le PCC sur les pratiquants de Falun Dafa détenus. Le documentaire relate les enquêtes indépendantes menées par David Matas, avocat canadien spécialisé dans les droits de l’homme, et David Kilgour, ancien secrétaire d’État pour l’Asie-Pacifique, qui ont été nominés pour le prix Nobel de la paix. Il apporte la preuve de transactions portant sur des organes prélevés sur des pratiquants de Falun Dafa et dénonce ainsi les crimes contre l’humanité perpétrés par le PCC.
L’exposition a permis aux visiteurs d’en apprendre davantage sur les prélèvements d’organes commis par le régime chinois et sur ce qui se passe dans la société internationale pour tenter de mettre un terme à ces crimes. Chaque affiche contenait des informations sur le crime des prélèvements d’organes dans la Chine d’aujourd’hui. De nombreuses personnes ont pris des photos et faits des vidéos qu’elles ont téléchargées sur des plateformes de médias sociaux. Certains visiteurs sont revenus avec des amis et des membres de leur famille pour revoir l’exposition.
Après avoir pris connaissance de la situation des droits de l’homme en Chine, les visiteurs ont exprimé leur soutien à l’exposition. De nombreuses personnes ont téléchargé des photos et des enregistrements vidéo de l’exposition sur les médias sociaux afin de faire connaître la vérité.
Des visiteurs de nombreux pays, dont la France, Singapour, le Japon, le Vietnam, la Thaïlande, le Mexique, les États-Unis, la Chine et Taïwan, ont vu l’exposition.
Après avoir visité l’exposition, un journaliste d’un grand quotidien d’information a déclaré qu’il publierait des reportages sur l’événement. Un représentant d’une organisation internationale de sauvetage a également invité la KAEOT à présenter l’exposition lors de ses événements.
Un ancien fonctionnaire qui a travaillé au service juridique pendant trente ans a été ému par l’affiche récompensée par un prix d’argent. Il souhaitait faire quelque chose pour mettre fin aux prélèvements d’organes et a laissé ses coordonnées aux organisateurs. Il est revenu voir l’exposition avec des amis.
Un plus grand nombre de personnes devraient être informées de ces crimes odieux
Après avoir appris l’existence des prélèvements d’organes, un homme qui possède une entreprise ayant des relations commerciales avec la Chine a déclaré qu’un plus grand nombre de personnes devraient être informées de ces crimes odieux. Il a pris un certain nombre de prospectus pour les distribuer à ses employés.
Il se trouve que l’anniversaire du Bouddha, un jour férié, était célébré pendant l’exposition. Plusieurs fois, des familles entières sont venues voir les affiches. Les parents ont expliqué à leurs enfants que les prélèvements d’organes sont une pratique répréhensible et ils ont discuté de l’éthique humaine en regardant les affiches et les messages véhiculés par chacune d’elles.
Chaque année, des expositions similaires sont organisées à Taïwan, au Japon et en Corée du Sud. L’organisateur, KAEOT, a réalisé en 2021 des expositions à l’université de Corée et en 2022 à l’hôtel de ville de Seongnam. Human Asia, une organisation de défense des droits de l’homme en Corée, a parrainé cette exposition.
Traduit de l’anglais