(Minghui.org) J’ai 80 ans. Au cours de mes vingt-six années de pratique du Falun Dafa, j’ai été témoin de son pouvoir miraculeux à de nombreuses reprises. J’aimerais partager comment je suis restée en bonne santé alors que je m’occupais de deux patients atteints de la COVID-19 au début de l’année.
En janvier 2023, mon mari a soudainement présenté des symptômes lors de la dernière épidémie de la COVID-19 dans notre région. Il n’arrêtait pas de tousser et d’avoir une respiration sifflante. Il a également vomi et souffert de diarrhée. Les symptômes sont apparus si soudainement que j’ai été complètement prise au dépourvu.
Nous n’avions que notre aide-soignante à domicile, une femme de 50 ans, avec nous à ce moment-là. J’ai appelé mon fils pour qu’il emmène mon mari à l’hôpital. Mon fils, qui était chargé de la lutte contre la pandémie pour l’ensemble du district, était occupé à acheter un nouvel incinérateur et n’avait même pas le temps de prendre ses repas en famille. Il m’a dit que les hôpitaux étaient bondés de patients et qu’il valait mieux que je donne des médicaments à mon mari. Il s’est empressé de déposer des médicaments et des compléments alimentaires devant ma porte.
Ma fille n’a pas pu m’aider non plus. Elle a dit que son entreprise de construction était occupée à construire un hôpital de campagne pour le district et qu’elle ne pouvait pas quitter le chantier. Elle avait également une légère toux et n’osait pas nous rendre visite de peur de nous contaminer. Elle nous a conseillé, à moi et à l’aide-soignante, de nous tenir à l’écart de mon mari.
En tant que pratiquante de Falun Dafa, je n’avais pas peur du virus de la COVID, mais notre aide-soignante avait besoin de protection. Je lui ai dit de ne pas entrer dans la chambre de mon mari et de me laisser m’occuper de lui.
« Je suis plus jeune et je peux faire mieux que vous », m’a-t-elle dit. Elle a insisté pour s’occuper de mon mari avec moi.
Les symptômes de mon mari se sont améliorés au bout de trois jours, mais il toussait toujours et ne pouvait pas boire. Le quatrième jour, l’aide-soignante a présenté des symptômes similaires : toux, douleurs dans les jambes et les yeux, et faiblesse. Je me suis occupée d’elle simultanément pendant une semaine.
Le cinquième jour, mon mari a eu de la fièvre et a pris un médicament contre la fièvre. J’ai alors demandé à ma fille de l’emmener à l’hôpital universitaire de Pékin pour qu’il y soit soigné. Le médecin de l’hôpital n’a donné à mon mari que quelques médicaments et l’a renvoyé chez lui.
L’état de mon mari a fluctué pendant une vingtaine de jours. L’aide-soignante était stupéfaite que j’aie pu m’occuper de deux patients en même temps sans être infectée.
L’aide-soignante m’a dit : « Ma tante, vous êtes extraordinaire ! Vous avez été en contact étroit avec nous tous les jours et il ne vous est rien arrivé. Vous avez vraiment un bon système immunitaire. Je ne vous ai pas vu prendre de médicaments ou tomber malade depuis que je suis arrivée chez vous. Vous êtes en très bonne santé. Vous pouvez manger n’importe quoi même s’il fait froid. »
Elle a ajouté : « En hiver, il vous suffit de porter une chemise d’automne avec un gilet et un caleçon long à l’intérieur de votre pantalon. Nous vivons sous le même toit, et votre mari et moi devons porter des vêtements épais. J’ai soigné de nombreuses personnes âgées et aucune n’est en aussi bonne santé que vous ! »
J’ai répondu : « C’est parce que je suis une pratiquante de Dafa et que le Maître [le fondateur du Falun Dafa] a pris soin de moi. »
J’ai dit à l’aide-soignante que plus de 50 membres de ma famille avaient compris que la persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC) n’avait aucun fondement juridique et était basée sur une propagande calomnieuse. Ils ont compris que le Falun Dafa est bon et ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Beaucoup d’entre eux ont été bénis par la bonne fortune.
La femme de mon neveu a été impliquée dans deux accidents de voiture. Les deux fois, la voiture était presque détruite, mais elle était saine et sauve.
Une fois, la voiture du mari de ma sœur a été emboutie par l’arrière et s’est retrouvée dans un fossé. Étonnamment, la voiture ne s’est pas retournée, mais s’est arrêtée et est restée debout au milieu du fossé. Physiquement, il allait bien. À une autre occasion, il est tombé deux fois d’une échelle en essayant de monter sur le toit. Mais il n’a pas été blessé à chaque fois.
La femme de mon frère souffrait d’une septicémie. Elle avait cherché un traitement médical partout, mais en vain. Je l’ai invitée à rester avec nous lorsqu’elle était désespérée. Elle a ensuite étudié le Fa avec moi et d’autres pratiquants tous les jours. Le Maître avait nettoyé son corps avant qu’elle ne commence à faire les exercices. Elle avait auparavant des diarrhées plusieurs fois par jour, mais elle s’est rapidement rétablie. Cela fait maintenant plus de quatre ans et tous ses indicateurs de santé sont normaux. Tel est le pouvoir du Falun Dafa !
Le mari devient un pratiquant
L’aide-soignante était émerveillée par le pouvoir miraculeux du Falun Dafa et a exprimé son désir de faire les exercices avec moi. Je lui ai conseillé de lire d’abord le Zhuan Falun, l’enseignement principal du Falun Dafa. Dès qu’elle a terminé ses tâches ménagères, elle a lu le livre autant qu’elle le pouvait.
Elle m’a dit : « Tante, je comprends maintenant que le Falun Dafa n’est pas une secte comme le dit le PCC. Il enseigne aux gens à être bons et attentifs aux autres. Il n’y a rien de mal à cela. Je veux cultiver le Falun Dafa avec vous. Je parlerai à votre mari pour voir s’il veut aussi pratiquer avec nous ».
Elle a dit à mon mari : « Mon oncle, ma tante est en bonne santé depuis que je suis chez vous. Nous vivons tous les trois dans cette maison et elle est la seule à ne pas avoir été infectée. Elle s’occupe encore de vous jour et nuit. Les personnes en aussi bonne santé que votre femme à cet âge sont rares. Pourquoi ? »
« Oui, votre tante est en bonne santé », a dit mon mari.
L’aide-soignante a dit : « C’est parce que ma tante pratique le Falun Dafa. J’ai également lu le livre. C’est vraiment un bon livre. Il n’y a rien de mal à être une bonne personne, n’est-ce pas ? Pratiquons tous ensemble, d’accord ? » Il a répondu : « D’accord, pratiquons ensemble demain ! »
Mon mari avait l’habitude de pratiquer le Falun Dafa, mais il était obsédé par le mahjong (un jeu de table) et a ensuite abandonné la cultivation. Il craignait également que la pratique du Falun Dafa n’affecte la carrière de notre fils, c’est pourquoi il ne m’a plus soutenue dans ma pratique. Il m’a même empêché d’inviter d’autres pratiquants chez nous.
Cette fois, j’ai pu m’occuper de lui à un moment de vie ou de mort. De toute évidence, il a dû être profondément impressionné par le pouvoir du Falun Dafa !
J’étais heureuse pour lui. Nous avons commencé à faire les exercices ensemble à 7 h le lendemain matin après le petit déjeuner.
Constitution d’un groupe d’étude du Fa
Une fois, une pratiquante âgée qui habite en face de chez moi a été repoussée par mon mari et mes enfants lorsqu’elle a voulu me rendre visite. Après son infection par le virus de la COVID, mon mari s’est senti désolé d’avoir agi de la sorte. Lui et moi sommes allés voir la voisine pour nous excuser et l’avons sincèrement invitée à se joindre à notre groupe d’étude du Fa. Elle a souri et a accepté avec joie.
Elle a demandé à mon mari : « N’avez-vous pas peur que je vous cause des ennuis cette fois-ci ? »
Mon mari a répondu : « Si quelqu’un ose vous causer des ennuis, je m’en occuperai pour vous ! »
C’est ainsi que mon mari et moi, ainsi que notre aide-soignante et notre voisine, avons formé un groupe d’étude du Fa.
Mon mari et l’aide-soignante ont tous deux étudié le Fa et fait les exercices très diligemment. L’aide-soignante a appris les cinq séries d’exercices en dix jours. Le cinquième jour, elle a pu terminer les positions debout. Elle pouvait également méditer dans la position du lotus pendant une heure. Plus de dix jours plus tard, les bosses sur son poignet, dont l’enflure atteignait la taille d’un doigt, ont disparu, de même que l’hémangiome sous sa langue. Nous étions heureux pour elle. Elle n’a pas pu retenir son enthousiasme et a appelé sa sœur aînée pour lui faire part de ce miracle.
Ma fille avait l’habitude de s’opposer à ma cultivation en raison de la persécution du PCC. Elle arrêtait les autres pratiquants devant ma maison, disant qu’ils n’avaient pas le droit de me voir. Elle ne laissait pas non plus son père pratiquer et ne me permettait pas de clarifier la vérité au sujet de Dafa à l’aide-soignante.
Lorsque la situation de la pandémie s’est un peu améliorée, ma fille est venue me rendre visite. Dès qu’elle est arrivée chez moi, l’aide-soignante s’est empressée de lui raconter toute l’histoire.
L’aide-soignante a dit : « Ma sœur, regardez comme votre mère est en bonne santé depuis qu’elle pratique le Falun Dafa ! Votre père et moi avons été infectés cette fois-ci, surtout votre père qui a beaucoup souffert pendant longtemps. Votre mère a pris soin de nous. Elle était en contact étroit avec nous jour et nuit sans être touchée. Je suis ici depuis si longtemps et je n’ai jamais vu votre mère tomber malade ou prendre des médicaments. »
Connaissant les faits, ma fille s’est finalement éveillée et son attitude envers le Falun Dafa a changé. Elle ne s’est plus opposée à notre pratique. Elle a également accueilli d’autres pratiquants chez moi.
Mon fils travaille pour le gouvernement. Il a un tempérament dur. Dans le passé, il était celui de la famille qui s’opposait le plus à ma cultivation. Une fois, il a même brûlé de nombreux livres de Dafa et injurié le Maître.
Il est venu nous rendre visite le 24 mars. Lorsqu’il a frappé à la porte, nous étions tous les trois en train de faire la méditation dans le salon. Mon fils a demandé ce que je faisais dès que l’aide-soignante a ouvert la porte.
« Je fais les exercices », lui ai-je répondu.
« Qu’est-ce que vous faites ? » a-t-il demandé à l’aide-soignante.
« Je faisais aussi les exercices », a-t-elle répondu.
Mon fils a dit que la cultivation était une bonne chose et qu’elle améliorait la santé des gens. Nous avons été surpris par ses changements. Sa sœur lui avait peut-être raconté comment je m’était occupée de leur père et de notre aide-soignante sans être infectée.
Mon mari a dit qu’il n’était pas sorti depuis qu’il avait été infecté. Étonnamment, mon fils lui a suggéré d’aller se promener dehors après les exercices. Ce genre d’atmosphère détendue entre nous n’était pas arrivée depuis longtemps. Sous le pouvoir divin du Falun Dafa, cette atmosphère froide a finalement fondu.
Grâce à nos expériences au cours de ces quelques mois (janvier à mars), nous avons été témoins de la puissance illimitée du Falun Dafa, et nous avons ressenti la compassion infinie du Maître envers ses disciples et le monde !
Traduit de l’anglais