(Minghui.org) Je suis une femme de 80 ans qui pratique le Falun Dafa depuis 26 ans. Avant de cultiver Dafa, je souffrais de nombreuses maladies, telles que la migraine, de l’arythmie cardiaque, une hypertrophie mammaire et des problèmes gynécologiques. J’ai suivi des traitements médicaux et dépensé toutes les économies de ma famille, mais ma santé ne s’est pas améliorée. J’étais constamment de mauvaise humeur et je perdais facilement mon sang-froid.
J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1997 et j’ai suivi les enseignements de Maître Li (le fondateur de Dafa) selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je n’ai pris aucun médicament ni injection et, en moins de deux mois, toutes mes maladies ont disparu. J’avais une énergie inépuisable : je pouvais porter un sac de farine de cinq kilos dans chaque main et marcher un quart de kilomètre avec facilité. Je faisais du vélo plus vite que beaucoup de jeunes. Ma peau rugueuse et bronzée est devenue plus claire et les taches de rousseur sur mon visage ont disparu. J’étais heureuse tout au long de la journée et les gens disaient que j’étais comme une nouvelle personne.
Le Maître nous a enseigné :
« C’est parce qu’un pratiquant de gong doit montrer qu’il est une bonne personne où qu’il soit. » (« Réponses aux questions lors de l’enseignement du Fa à Guangzhou », Zhuan Falun Fajie – Le Fa du Zhuan Falun expliqué)
Il y a quelques années, notre immeuble résidentiel n’avait pas de gérant d’immeubles, les mégots de cigarettes, les restes de papier, etc., jonchaient constamment les couloirs. J’ai acheté un balai et une pelle à poussière et j’ai balayé les couloirs de chaque étage au moins une fois par semaine. S’il y avait des circonstances particulières, je nettoyais chaque fois que c’était nécessaire. De nombreux visiteurs m’ont dit : « Les couloirs sont si propres ! » Lorsqu’il neigeait, mon mari et moi balayions la neige devant le bâtiment dès que nous le pouvions. S’il neigeait le soir, nous déblayions la neige avant que tout le monde ne se réveille. Les habitants s’exclamaient souvent : « Nous sommes vraiment dans vos bonnes grâces, merci ! »
Ma voisine de palier avait une petite fille et avait parfois du mal à préparer les repas tout en s’occupant de la petite. Je l’aidais souvent en surveillant sa fille et en jouant avec elle. Elle se vantait souvent auprès des autres qu’elle avait de la chance d’avoir une si bonne voisine.
Ma famille habite au quatrième étage. Au troisième étage, il y avait une famille avec un nouveau-né, et chaque jour, il y avait un gros sac d’ordures devant leur porte. Chaque fois que je descendais, je prenais leur sac à ordures, en pensant que l’homme de cette famille travaillait en dehors de la ville et que sa femme était censée rester à l’intérieur pendant un mois après l’accouchement. Le Maître nous a appris à être attentifs aux autres, alors pourquoi ne pas faire quelque chose d’utile pour cette famille ?
Au premier étage, il y avait une habitante qui se rendait chez son fils, très éloigné, pour s’occuper de sa petite-fille. Un jour, le compteur d’électricité de son appartement s’est arrêté et lorsqu’elle est revenue quelques mois plus tard, tous les aliments de son réfrigérateur avaient pourri. Par la suite, chaque fois qu’elle s’absentait, elle me demandait de l’aider : « Nous avons réfléchi ; dans notre immeuble, votre famille est la plus gentille et la plus serviable. Pouvez-vous, s’il vous plaît, surveiller mon compteur pour vérifier s’il ne s’est pas déclenché ? » Nous lui avons assuré que nous l’aiderions. Il y a effectivement eu quelques déclenchements de leur compteur et nous l’avons remis en marche à chaque fois.
Lorsque j’ai expliqué à mes voisins les faits concernant le Falun Dafa, je leur ai conseillé d’effectuer les trois démissions du Parti communiste chinois (PCC) et de réciter sincèrement « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » pour recevoir des bénédictions. Ils l’ont fait sans hésitation : « Oui, s’il vous plaît, aidez-nous à faire les trois démissions ; nous croyons ce que vous dites ! » Ils ont tous bénéficié d’avoir fait cela et, pendant la pandémie, ils ont été sains et saufs.
Nos immeubles résidentiels ont été construits dans les années 90 et, il y a quelques années, il a fallu ajouter de l’isolation aux murs extérieurs. J’ai distribué de l’eau chaude, des fruits et d’autres choses aux ouvriers. Je leur ai parlé de démissionner du PCC pour rester sains et saufs et ils ont été réceptifs à ce que je disais. Lorsque la nacelle de chantier est passée devant ma fenêtre, ils ont voulu laisser une feuille d’isolant dans mon appartement, en disant que cela permettrait de garder notre chambre plus chaude en hiver.
Je leur ai dit que je ne pouvais pas l’accepter. Ils m’ont répondu : « D’autres familles sont impatientes de l’avoir, pourquoi ne pas la prendre gratuitement ? Gardez-la de toute façon, cela ne nous coûte rien. » J’ai répondu : « J’apprécie votre offre attentionnée, mais je ne veux pas prendre l’isolation. Notre Maître nous a dit d’être de bonnes personnes et de ne pas profiter des autres. » Ils ont fait l’éloge de Maître Li pour avoir été si merveilleux et pour avoir enseigné aux pratiquants à être de bonnes personnes.
Il y a une banque près de chez moi qui donne à ses clients des points quand on fait des dépôts, qui peuvent être échangés contre du riz, de la farine et d’autres denrées alimentaires de base. Une fois, j’ai effectué un dépôt et je suis rentrée chez moi sans vérifier les points dans mon carnet. J’ai découvert plus tard que j’avais accumulé près de six cents points non gagnés, ce qui me permettait d’obtenir dix sacs de farine, d’environ 4,5 kilos chacun.
Je me suis précipitée vers la banque et j’ai chuchoté à la responsable : « Pouvons-nous avoir une discussion privée ? » Elle a accepté. Dans son bureau, je lui ai montré les points de mon carnet. Elle a compris qu’il y avait une erreur et l’a corrigée tout de suite. Elle m’a serré la main et m’a dit : « Ma tante, vous êtes si gentille. Sinon, notre banque aurait perdu beaucoup d’argent. Merci beaucoup ! » En fait, ce n’est pas que je sois si gentille, c’est que le Falun Dafa est si bon. Dans le monde d’aujourd’hui où la morale est en déclin, Maître Li a dit :
« Dafa, la solution pour ce monde chaotique
Qui intercepte et empêche la chute vertigineuse de la société »
(« Illumination universelle », Hong Yin II)
Une fois, alors que j’achetais des légumes, j’ai vu une dame à un stand de légumes à qui j’avais expliqué les faits concernant Dafa et elle savait que le Falun Dafa était bon. Ce jour-là, un homme en tricycle a écrasé plusieurs bottes de sa coriandre, et le conducteur ne s’est pas arrêté pour s’excuser. Elle était tellement en colère qu’elle a gémi. Je me suis précipitée pour la réconforter : « Ne vous mettez pas en colère, cela ne vaut pas la peine de nuire à votre santé. Le chauffeur ne l’a pas fait exprès. Je vais vous acheter la coriandre écrasée, car elle est encore comestible. »
Elle s’est exclamée bruyamment devant de nombreuses personnes : « Cette dame est si gentille ; elle n’est pas difficile lorsqu’elle achète ses légumes et elle ne discute jamais le prix. Les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes. Seul l’ancien dirigeant du PCC, Jiang Zemin, calomnie le Falun Dafa, je ne crois pas aux mensonges qu’il a inventés. Si tous les gens étaient comme les pratiquants de Falun Dafa, la Chine serait un meilleur endroit depuis longtemps ! »
En janvier 2023, le Maître a publié l’article « Pourquoi l’humanité existe-t-elle » pour tous les êtres humains, ce qui était une manifestation de son incommensurable compassion. J’ai mémorisé l’article et je l’ai donné à mes voisins et aux personnes qui ont une affinité prédestinée avec moi. Je les ai invités à respecter l’article et à le lire plusieurs fois. Je leur ai dit qu’il contenait des secrets célestes et qu’il fallait le conserver précieusement pour recevoir des bénédictions divines. La plupart des gens ont volontiers accepté ce que je disais et étaient reconnaissants du fond du cœur pour le salut compatissant du Maître.
Merci, Maître.
Traduit de l’anglais