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Passer un test de vie ou de mort avec l’aide de la pensée droite

14 octobre 2024 |   Écrit par une pratiquante de Falun Dafa en Chine

(Minghui.org) Avant de pratiquer le Falun Dafa, je souffrais de nombreuses maladies différentes et j’avais toujours besoin de médicaments. Mon médecin m’a un jour prédit que je serais malade pour le restant de mes jours. Plus tard, j’ai entendu dire que le Falun Dafa pouvait guérir ma maladie chronique et j’ai donc commencé à apprendre les exercices dans le but de guérir ma maladie. Après avoir pratiqué pendant un certain temps, ma santé s’est améliorée et j’ai découvert à quel point Falun Dafa était merveilleux. C’était en 1997.

Quand le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa le 20 juillet 1999, les autorités locales du PCC m’ont dit que je devais cesser de cultiver Dafa. Mais je savais au fond de moi que le Maître de Dafa m’avait sauvé la vie et que c’était Dafa qui m’avait rendu la santé. Je me suis donc dit que, malgré mon manque d’éducation, je voulais utiliser mon maigre pouvoir afin d’influencer et de changer la compréhension erronée que les gens avaient de Dafa. Même si je ne pouvais changer qu’une seule personne, je serais satisfaite.

J’ai progressivement trouvé quelques pratiquants dans ma région et nous nous sommes réunis pour étudier le Fa chez moi. Nous avons discuté de la manière de parler à plus de gens de la valeur de Dafa et d’aller dans des endroits plus éloignés pour le faire. Mais nous savions que nous ne pouvions pas toujours clarifier la vérité à pied, car certains endroits étaient trop éloignés. Mon mari, qui ne pratiquait pas, s’est levé et a dit qu’il utiliserait un tricycle pour nous emmener là-bas. Cela m’a bouleversée. Mais c’était aussi prévisible, car mon mari avait été témoin à plusieurs reprises de mes expériences miraculeuses, qui étaient similaires à celles vécues par d’autres pratiquants de Dafa. Mon mari nous a soutenus et a laissé les pratiquants venir chez nous pour étudier le Fa.

Après cela, nous avons décidé d’étudier le Fa ensemble et de partager nos expériences de cultivation pendant la journée. Le soir, mon mari nous conduisait en tricycle dans des endroits où nous pouvions distribuer des documents de clarification de la vérité. Nous faisons cela depuis longtemps. J’ai également rencontré davantage de pratiquants, je me suis rendue dans de nombreux endroits et j’ai aidé de nombreuses personnes. Ma famille m’a toujours soutenue.

La vie de ma famille s’est améliorée au cours des vingt-sept dernières années. Mes enfants ont également réussi et ils nous ont acheté une maison dans le district. Après notre déménagement, ceux qui voulaient me persécuter n’ont pas pu trouver où je vivais, mais ils ont essayé autant que possible de trouver un moyen de nous piéger, mon mari et moi. Par exemple, ils ont parlé à mon mari, prétextant vouloir faire des affaires avec lui, mais en fin de compte, ils voulaient simplement obtenir l’adresse de mon nouveau domicile. Mon mari s’en est rendu compte et ils ont échoué.

Ils nous ont harcelés pendant des années, mais mon mari s’est toujours défendu. Je me souviens de la fois où mon mari leur a demandé pourquoi ils voulaient persécuter le Falun Dafa. Ils ont répondu que c’était parce que le Falun Dafa voulait renverser le PCC. Mon mari a dit : « Ne parlons pas de savoir si Dafa a ou non entrepris ces actions, pourquoi le Parti communiste ne pourrait pas être renversé ? Le Parti communiste doit-il avoir raison ? » Ces paroles étaient également stupéfiantes et je ne les ai toujours pas oubliées. J’admire ses idées de justice et son courage.

Le Nouvel An chinois 2024 aurait dû être une période heureuse et harmonieuse avec tous mes enfants à la maison, mais au lieu de cela, j’ai perdu l’appétit et je me suis sentie apathique. Je me suis forcée à rester éveillée, mais mon état de santé s’est aggravé. Je n’arrivais pas à dormir pendant des nuits entières. Je ne pouvais que me promener dans le salon de la maison et réciter les passages sur l’émission de la pensée droite. Lorsque j’étais fatiguée, je m’asseyais dans le salon pour méditer. Au bout d’un certain temps, j’ai eu des vertiges et j’ai paniqué. Après plus de dix jours, j’étais épuisée.

Je ne pouvais que demander l’aide du Maître, brûler de l’encens pour le Maître et lui dire : « Je ne sais vraiment pas où j’ai fait fausse route, s’il vous plaît, aidez-moi. » J’ai dit au Maître : « Je ne suis pas sous le contrôle des forces anciennes. Tout ce qui a été arrangé par les forces anciennes est invalide et les forces anciennes ne peuvent rien dire. Je crois fermement qu’avec le Maître et le Fa, je serai assurément capable de surmonter cette tribulation. » J’ai répété cela au Maître encore et encore dans mon cœur.

Après avoir demandé l’aide du Maître, j’ai étudié le Fa, fait les exercices, médité et récité silencieusement les passages sur l’émission de la pensée droite tous les jours. Cependant, les pressions mentales et spirituelles étaient encore énormes. Chaque fois que je me sentais fatiguée et que je voulais me reposer, j’avais l’impression que quelqu’un m’étranglait dès que je m’allongeais, ce qui me rendait agitée. Cet état a duré plus de deux semaines. Puis, une nuit, j’ai senti que tous les démons se manifestaient. Ils m’ont crié : « Tu es finie et cette famille est finie aussi. » J’ai senti que c’était un moment critique et que je ne pouvais pas être vaincue par les démons. J’ai renforcé ma pensée droite, mais j’étais incertaine et je ne pouvais que demander de l’aide au Maître. C’est alors qu’une pensée m’a soudain traversé l’esprit : « C’est un test de vie et de mort ! Je n’ai pas peur ! » Dès que j’ai dit cela, j’ai eu faim et ces pensées de peur ont disparu. Je suis allée chercher de la nourriture et après avoir mangé, j’ai bien dormi. Je crois que j’ai réussi le test.

Ensuite, encore une fois, je n’ai pas pu me rendormir de toute une nuit. Le lendemain, j’ai de nouveau brûlé de l’encens pour le Maître et je lui ai dit : « Maître, vous seul pouvez me sauver. » Mais je craignais de ne pas y arriver et je me demandais ce que je devais faire.

Ce soir-là, j’ai dit à mon mari : « Ma santé n’est pas bonne depuis le Nouvel An chinois et je me sens encore plus mal depuis quelque temps. Je voudrais te demander quelque chose. » Mon mari m’a demandé ce qui n’allait pas. Je lui ai parlé des difficultés que je rencontrais. Je lui ai dit : « S’il m’arrive quelque chose d’inattendu, tu ne dois pas blâmer le Maître. Tu sais que mes premiers problèmes de santé ont été résolus par le Maître. La situation actuelle est peut-être le résultat du karma de mes vies antérieures. Tu as toujours soutenu Dafa. Tu dois continuer de le soutenir. Tu ne dois pas avoir de mauvaises pensées. Penses-tu pouvoir y arriver ? »

Je me suis assise sur le canapé et j’ai regardé mon mari se lever. Il s’est retourné et m’a demandé : « Tu as peur ? » Je n’ai pas répondu. Il m’a alors dit : « N’aie pas peur. Tu pratiques le Falun Dafa depuis tant d’années. Je vois que ton visage n’a pas changé du tout. Tu es encore très jeune. Ta colonne de gong a été cultivée à un niveau très élevé. Tu as presque 70 ans, mais tu es encore si jeune ! La force de ton gong est si puissante. N’aie pas peur. Laisse la peur s’en aller ! » J’étais bouleversée. J’ai senti que cette phrase n’avait pas été prononcée par mon mari, mais par le Maître, à travers sa bouche ! J’ai immédiatement compris !

J’ai immédiatement offert de l’encens au Maître : « Maître, je vais assurément laisser la peur s’en aller. Je crois dans le Maître. Avec le Maître et le Fa, je vais assurément traverser cette période difficile ! » J’ai parlé au Maître pendant un long moment ce jour-là et après cela, ma santé s’est améliorée.

Merci Maître d’avoir pris soin de moi et de ma famille. Sans votre compassion, je ne serais pas ce que je suis aujourd’hui !

Traduite de l’anglais