(Minghui.org) Pour aider à produire des documents d’information qui clarifient la vérité sur le Falun Dafa et la persécution, j’ai commencé à enseigner aux pratiquants comment installer des systèmes informatiques et d’autres compétences connexes. Ce faisant, j’ai réalisé qu’il était important de cultiver notre parole.

J’ai enseigné à Aixi, qui a ensuite enseigné à Baozhen. Nous avions une seule ligne de communication : lorsque Baozhen rencontrait un problème, il demandait à Aixi, et si elle ne pouvait pas le résoudre, elle me contactait. J’évite de contacter d’autres pratiquants à moins que ce ne soit absolument nécessaire.

Aixi parlait souvent de Baozhen et de ses capacités. Je lui ai dit : « Il n’est pas nécessaire de me parler de lui, concentrez-vous simplement sur les problèmes spécifiques. »

Selon ma compréhension, aider les pratiquants à résoudre des problèmes techniques est une opportunité de cultivation, mais il n’est pas nécessaire de savoir qui est impliqué. Discuter des problèmes des autres peut conduire à parler dans leur dos, ce qui n’est pas conforme à la cultivation de la parole exigée par le Fa.

Aixi m’a demandé une fois pourquoi je n’avais jamais mentionné qui m’avait enseigné les techniques. Je lui ai expliqué qu’il n’était pas nécessaire de dire à qui que ce soit quel pratiquant m’avait enseigné les techniques, car je devais tenir compte de la sécurité de ce pratiquant. J’ai senti que cette approche était cohérente avec ce que le Maître a dit sur la cultivation de la parole et le maintien de la sécurité.

Caixing avait du mal à se connecter à internet et m’a demandé si je pouvais l’aider. J’ai également eu des difficultés à accéder à internet ces derniers jours, mais lorsque j’ai aidé Dawei, il n’a eu aucun problème du tout. Je pense que c’était parce que Dawei ne sentait pas qu’il y avait un problème et que tout irait bien.

Caixing a mentionné que trois autres pratiquants qui travaillaient tous avec des ordinateurs ne pouvaient pas non plus se connecter. J’ai senti que je devais l’encourager à renforcer sa pensée droite, alors j’ai souri et j’ai dit : « Si tu étudies davantage le Fa et que tu regardes à l’intérieur, tu devrais pouvoir te connecter. » À ma grande surprise, ma propre connexion internet s’est améliorée peu de temps après, et j’ai senti que c’était parce que je n’avais rien dit de négatif.

Quand j’ai revu Caixing, il m’a dit avec joie : « J’ai pu me connecter ces derniers jours ! » J’ai répondu : « C’est parce que tu as élevé ton xinxing (caractère), n’est-ce pas ? » Il a souri et a dit : « Oui, j’ai mémorisé le Fa et fait les exercices tous les matins. »

Eiling a soumis un article à l’Hebdomadaire Minghui et il a été publié. À notre groupe d’étude du Fa, un autre pratiquant a dit avec enthousiasme qu’Eiling en était l’auteur. J’ai dit : « S’il vous plaît, ne parlez pas de cela ; nous devons penser à la sécurité des autres pratiquants. »

J’ai senti que si le téléphone portable d’un pratiquant ou celui d’un membre de la famille était près de nous lorsque nous parlions, et que ce téléphone était surveillé, mentionner les compagnons de cultivation pouvait être risqué. Si Eiling a des problèmes à cause de cela, c’est peut-être parce que ce pratiquant l’a mentionné avec désinvolture. La pratiquante n’avait pas l’intention de dénoncer Eiling aux autorités, mais ces informations peuvent quand même finir entre les mains de la police, il est donc important de faire attention à ce que nous disons.

D’un autre côté, si nous cultivons la parole, la police aura moins d’informations concrètes, ce qui lui donnera moins d’excuses pour persécuter les pratiquants. Moins ils en savent, moins ils peuvent commettre de crimes contre Dafa. Cela montre à quel point il est important de faire attention à nos paroles.

J’avais du mal à contrôler mes paroles, mais grâce à l’étude régulière du Fa, j’ai réalisé que cultiver la parole reflète notre état de cultivation. Cela montre également si nous pouvons avoir de la considération pour les autres et de la compassion.

Traduit de l’anglais